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Mes enfants ne lisent pas trop Skitour (encore), mais un jour ils diront sans doute "en suivant mes parents, c'etait chiant au debut mais maintenant on en redemande, meme si on est presque au point de les attendre (les parents).
Début en 1987 avec des dynastar course (pas les dorés, les blancs) de 1m95 je crois, ou un peu plus, des sécura-fix en guise d'insert dans les fix de piste (le grand défi les a utilisées au début) + des chaussures à un crochet trappeur ! le top pour la légèreté 🤣
ceci dit, vu que je préfère descendre vite et monter doucement 🙄 j'ai gardé mes sécura fix jusqu'en ... 2007 ! + des chaussures 4 crochets depuis 1989. bah on s'y habitue ! c'est comme le léger, si on commence avec, on ne peut plus virer au "lourd" ! 😉
J'ai acheté en 1987, des vraies peaux de phoques autocollantes 🤭 mais j'ai changé depuis ! je ne sais pas s'il y avait déjà des synthétiques ...
Par certains posts, nous avons confirmation que le service militaire a fait découvrir le ski de rando à pas mal de skitouriens.
Plusieurs de mes compagnons de sortie en sont des exemples qui ont fait leur service à Varces ou à Bourg St Maurice.
Merci à la Grande Muette pour avoir fait du prosélytisme...
Et vive le service militaire... Euh non, je n'irai pas jusque là...
Ski dans les prés en 66, ski de piste à la station d'Arrondaz devenue Valfréjus. Je montais déjà les pentes du Grand Argentier à pied, skis sur épaule, pointe du fréjus, Grand vallon.*
Ski de randonnée depuis l'hiver 2011, après le décès de mon p'tit frère dont j'ai récupéré le matos de randonnée, je pensais de toute manière m'y mettre, le ski en station devenant "Chiant", trop de monde, et pistes trop monotones.
J'ai débuté en décembre 1973 avec un pote pyrénéen.
Nous visions de grand sommets mais avons à peine atteint quelques refuges.
Nous étions seuls à brasser d'énormes quantités de fraiche, avec sans doute une grosse prise de risque.
les skis: "haute route" de Rossignol. (2m, bien droits!) avec des peaux tenues par des étriers métalliques qui entouraient le ski.
Chaussures en cuir pas très hautes et fixations à câble.
Ça déchaussait souvent dans les montées raides.
Douves de tonneau ski bois rossignol Haute Route rouge a câble .rossignol sérac altitude plus Emery armée Haute Route blanc ,ski hps atomic tour cap et toute la lignée des trab chaussures cuir et un peu de tous ensuite 1.0 maintenant 45ans de pratique
Etienne -H- a dit :Faut être retraité pour répondre au forum ou tous les moins de 40 ans sont partis skier ( ou partis tout court 🤢 )
Non, ils ne sont pas tous au ski 😉
J'ai débuté il y a 15 ans, en 2002 (j'avais 17 ans) avec des Dynastar Yéti montés avec des Silvretta 404. Niveaux chaussures c'étaient des vieilles chaussures de ski de pistes que j'avais ouvertes au max!
Combe de Balafrasse, grosse chaleur... J'ai à moitié fait une hypoglycémie au milieu de la combe, mais après une barre céréales salvatrice, je me suis accroché (loin) derrière mon père jusqu'au sommet! 😄
Et malgré ce démarrage un peu chaotique, j'ai pris le virus et je n'ai jamais arrêté depuis (ni même pensé à arrêter 😜 ) ... et depuis c'est mon père qui s'accroche derrière moi 🤣 🤣
A oui j ai oublié de précisé j ai skié aussi dans les année s75 avec des ski en aluminium qui provenait de l 'armée l' ancêtres' des hps blanc avec3boutons pour les peaux j ai aussi fait l armée au 27annecy 3 em compagnie de combat 81 02 Tom Morel.
Comme d'autres, déjà skieur et un peu alpiniste, mais pas de ski de rando avant l’armée au 7e BCA de Bourg St Maurice (95/10).
C’était un froid matin de novembre, -19 en arrivant aux Arcs, et j'avais l'impression de redécouvrir le ski, chaussé de Koflach para à lacets, essayant de faire glisser les peaux à boutons avec un bon paquetage sur le dos... et un ARVA jaune. Les mois suivants ont été bien remplis de nombreuses courses. De très bons souvenirs - dès l'instant qu'on mettait de temps en temps le cerveau sur off.
Puis achat de matos puis arrivée sur Grenoble un peu plus tard, et enfin inscription sur Skitour 😄
Weekend d'initiation en 1997 avec des vieux cousins alors que je n'ai que 18 ans pour un objectif merveilleux : Le tour de l'Aiguille de la Vanoise sur 2 jours avec nuit au refuge de Barmettes par les sièges.
Impossible de me souvenir du matos de location, si mes souvenirs sont bons, c'était les débuts des Diamir.
Grosse suée pour tout le monde le deuxième jour et pause appréciée au refuge Felix Faure.
Tous bons skieurs alpins, le but n'était pas de skier, mais de profiter de la montagne l'hiver.
Un moment d'exception ou les moins en forme d'entres nous rappelleront aux plus sportifs ce que doit être notre conception de la montagne : ''Eloge de la lenteur, partage et contemplation''
Définition qui guidera et donnera un sens à ma pratique.
PS : A la lecture de tous ces beaux témoignages, ce qui saute aux yeux est le rapport passionnel que nous entretenons avec notre matériel ! 🙂
gb_chambery a dit :PS : A la lecture de tous ces beaux témoignages, ce qui saute aux yeux est le rapport passionnel que nous entretenons avec notre matériel ! 🙂
Tout à fait d'accord car quand tu as connu les SM cuirs à lacets avec 2 tailles de trop et à la courbure comme des douves de (petit) tonneau, qu'il fallait mettre dans le sac de couchage lors de bivouac pour éviter qu'elle ne gèlent, ça te laisse des souvenirs impérissables. 😜
leded a dit :gb_chambery a dit :PS : A la lecture de tous ces beaux témoignages, ce qui saute aux yeux est le rapport passionnel que nous entretenons avec notre matériel ! 🙂
Tout à fait d'accord car quand tu as connu les SM cuirs à lacets avec 2 tailles de trop et à la courbure comme des douves de (petit) tonneau, qu'il fallait mettre dans le sac de couchage lors de bivouac pour éviter qu'elle ne gèlent, ça te laisse des souvenirs impérissables. 😜
+1 😄
Début en 1999 pour ma part, à Chamonix, dans la tempête. C'était quelques jours avant la grosse avalanche de Montroc 🤢
Le WE était organisé par l'école d'ingé, encadré par des guides, on bricolait en forêt à proximité des remontées mécaniques, ou vers le Montenvers.
Le matériel ne m'a pas laissé un bon souvenir: Koflach usées jusqu'à la corde, Dynastar Yeti, Silvretta 404. Au bout de 3 jours je ne distinguais plus mes malléoles tellement mes pieds étaient enflés 😮
Je n'avais aucune endurance à l'époque, les montées étaient looonngues... mais les descentes en poudre et le sentiment de liberté m'ont plu et j'y suis revenu 😉
printemps 78 ou 79, le pas de berrieves par le ravin de farnaud, chaussure cuir d'alpi aux pieds avec les chaussures de piste dans le sac et les rossignol SM de plus de 2m sur le sac.