Départ : Le Plan (1220 m)
Topo associé : Roche Perfia, Couloir du Chien
Sommet associé : Roche Perfia (2430 m)
Orientation : E
Dénivelé : 1600 m.
Ski : 5.1
Sortie du samedi 28 février 2015
Conditions nivologiques, accès & météo
Couvert surtout sur les crêtes par cumulus vers 2000, quelques éclaircies versant Sud.
A 6h00 aux confins -3°, globalement pas bien chaud sur les versants Nord. Petit vent de S/W sur les crêtesEtat de la route : enneigée ce matin
Altitude du parking :
1450Altitude de chaussage (montée) : 1450
Altitude de déchaussage (descente) :1450
Activité avalancheuse observée : RAS. Quelques sluff dans le couloir, poudre sur fond dur dans les contrepentes
Lieu | Alt. | Ori. | Heure | Qté. | Type | Com. |
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grand crêt | 1450/2450 | NW | 6/9 h | 10/20 | Poudre | |
Passage du père | 2450/1900 | NE | 9 h | 20/30 | Poudre | Les 100 premiers mètres sont très durs ( vent ?) |
Couloir | 2000/2400 | NE | 9h30 | 30 | Poudre | brassage à mi cuisse dans le cône inférieur |
trè le crot | 1900/2400 | S | 11h00 | 20 | Poudre | |
Grande forcle | 2400/1400 | N | 13h30 | 20/25 | Poudre | Soufflée sur les 200 premiers mètres |
Skiabilité : 🙂 Bonne
Compte rendu
Avec M 31
Confins, grand crêt, trou de la mouche, passage du père,couloir du chien, vallon de tré le crot, passage de grande Forcle, la bombardellaz
Départ à la frontale des confins à 6h00. Mathieu a rendez vous à Thônes a 11h00, il fera donc l'aller retour grand crêt-couloir en express. On retrouve la trace de montée jusque vers 2000 M, ensuite il faut tracer dans la neige d'hier, c'est Mathieu, très en forme, qui s'y colle tout comme la montée dans le couloir.
Le passage du père , à part les 100/200 premiers mètres très durs, est en très bonne poudreuse.
Rencontre avec Bruno au pied du couloir, qui participera très activement à la trace, ça brasse beaucoup au départ.
Belle descente pour nous trois dans le couloir, puis Mathieu et Bruno remontent le passage du père et je continue vers le passage de la grande Forcle, il y a un peu de monde et une belle trace de montée.
Bonne descente dans la combe, même si les 100 premiers mètres sont bien soufflés.
Je me laisse griser par la qualité de la neige, décide de ne pas traverser vers les roches noires pour grignoter quelques beaux virages que je paie par une séance de "ski sanglier" dans le bas de la combe et un retour par la Bombardellaz absolument interminable