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Une équipe de véloskieurs part de Grenoble en bus à 8h00, ils arrivent au point de départ de leur rando et commencent à monter (500 m/h) à 9h00. Ils posent les vélos, puis partent en ski (500 m/h) à 10h30. Ils arrivent à un col à 13h00. Là, ils posent tout le barda et préparent le bivouac pour la nuit.
Le lendemain matin; ils font la grasse matinée, rangent le bivouac et commencent la descente à 10h00 et font le trajet en sens inverse (descente à 1000 m/h).
Y a t'il un point où ils passeront à la même heure et à la même altitude entre la montée et la descente ? 😮
Vous avez 10 secondes pour répondre....
😮 ça me rappelle de vieilles khôls de maths en prépa tout ça... De mémoire, je dirai oui, et d'ailleurs je crois me souvenir que ça ne dépend pas de la vitesse de montée, de descente, ou du dénivelé...
Pour la démo exacte, faudra demander aux petits jeunes parce que pour moi, ça commence à dater !!! 😄
Donc ils montent de 500m par heure avec un départ à 9h00... 😯 😮
L'altitude de départ (définie ici par "Alt") importe peu car tout est relatif 🤣
à 09h00 ils se trouvent à = Alt + 0m
à 10h00 ils se trouvent à = Alt + 500 m
à 11h00 ils se trouvent à = Alt + 1000 m
à 12h00 ils se trouvent à = Alt + 1500 m
à 13h00 ils se trouvent à = Alt + 2000 m (belle rando ! 😉 ) stop et bivouac
Le lendemain départ à 10h00 de Alt (Altitude du départ) + 2000m et ils perdent 1000 m en 1 heure, donc ils repasseront à 11h00 à Alt + 1000 m.
Bien sûr cela n'est valable que si l'itinéraire n'impose pas de remonter à un sommet ou de faire une boucle. 😉
Ai-je juste ? 😊
Oui : imaginons qu'une équipe identique monte le lendemain, celle de la veille et du jour ne manqueraient pas de se croiser. (?) 🙂
Sauf que pour un véloskieur, le temps et l'espacent ne s'articule pas comme pour un skieur, et le principe d'indétermination d'Heisenberg s'applique. 🤨
=> Tu ne sais jamais exactement où ils sont ni quand ils y sont. 😊
Et comme on s'en fout royalement, ça n'a aucune importance.... 🤣
C'est Johan-K qui trouve l'explication la plus simple : même les enfants peuvent comprendre.
La suite des enigmes ce soir. Ce sera à propos d'un Ourien avec sa bouteille de vin et d'un autre avec son sacàflotte.
même réponse en traçant deux droites : elles se coupent à 11h00 à 1000m 😉
Pour BeB74, si la prépa te manque, il faut invoquer la continuité de la fonction qui à l'heure de la journée associe l'altitude. Mais bon, la réponse de Johan-K est plus sympa...
p'tain ils étaient sympa tes colleurs !! 😮 moi les questions ça ressembler pas trop à ça
encore que bon vu que je les ai jamais comprises 🤣
Deux Ouriens, appelons les J et X, partent faire le même sommet.
J est un montagnard expérimenté, il emporte toujourse avec lui, pour la sécurité, son TGV (terrine, vin et génépy). X est un acharné du dénivelé.
J et X partent en même temps du bas de la rando vers le sommet. X en athlète performant est parti avec son sacaflot de 1,5 litre plein. J lui est bien sûr parti avec sa bouteille de vin, son paté et sa fiole.
X part comme une fusée, monte au sommet et redescend, il a bu la moitié de son sacaflot. Pour sa deuxième montée il croise J.
Papotage de rigueur, et J grand seigneur ouvre sa bouteille et verse un bonne dose de vin dans le sacaflot de X.
X, pour ne pas passer pour un rustre, secoue bien son sacaflot et reverse dans la bouteille de J jusqu'à raz bord.
La question est :
Y a t'il plus de vin dans le sacaflot de X que d'eau dans la bouteille de J ?
Cela dépend du volume de la bouteille de J 🤭
Comme J ne veut pas se déshydrater durant la rando, sa bouteille est certainement un magnum de 5L 🤣 🤣 🤣