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haha, j'étais au grand duc et ce que je sais c'est qu'étans mauvais skirandonneur, je suis également mauvais trailer!
Dugnoux a dit :Même si le le travail concentrique et le travail isométrique sont importants en ski, les bons skieurs font également de l’excentrique. C’est différent du trail à la descente mais il suffit de faire une descente en course (pas obligé de faire la Streif de Kitzbuhel) avec une réception de saut, ou des bosses, pour s’en rendre compte. Mais, les courses à pieds sur neiges, avec ski au pied, également appelé ski-alpinisme, ne nécessitent pas d’etre un bon skieur et probablement pas trop d’excentrique au delà des 1er mondiaux. Néanmoins une Préparation Physique avec un peu d’excentrique en fin de cycle doit permettre de progresser rapidement(si on en a jamais fait).
J'ai souvenir d'avoir vu il y a des années des vidéos de skieurs alpins (plutôt des slalomeurs ? Tomba ? je ne me souviens plus) s'entraînant à courir en forêt en montagne à la descente pour à la fois renforcer les muscles et aiguiser les réflexes ! C'est pas nouveau ...
Oui, ça n’a rien de nouveau. Les pistes des stades de slalom étant nettement moins bien préparées dans les années 80, la plupart des compétiteurs en niveau régional avaient l’habitude de passer dans des baignoires et faisaient donc de l’excentrique.
fgenereau, le sport est bon pour le corps, en règle générale (sauf de se casser la g ... 🤢 )
néanmoins, l'apparition des ironman, des défis mondiaux de l'endurance, et des trails, poussent les compétiteurs bien au delà de leur limite. C'est là où le bas blesse. 😯
Courir 100 bornes par semaines à raisons de 20 kms, ok, mais courir 100, 160 ou 200 à la suite, le corps n'est pas fait pour cela. pas besoin d'être toubib ou kiné pour s'en aperçevoir. 🙂
ce que j'ai dit n'est pas un préjugé, mais un constat suite à des avis de médecins du CHU ... premier traumacenter d'Europe ... il doit bien y avoir un interne qui a du faire une thèse sur les effets à court et moyen terme du trail ou des sports d'ultra-endurance... 😉
Cyril marais : d'accord avec toi. Le trail en exces est mauvais comme tout chose en excès. Mais j'ai moins mal au dos depuis que je le pratique...
Cyrille Marais a dit :C'est là où le bas blesse
C'est vrai que les pieds ont tendance à s'échauffer mais c'est un problème mineur face à ceux qu'endurent le dos et les articulations.
Matt a dit :Cyril marais : d'accord avec toi.
Encadrons le : un gonze d'accord avec Cyrielle Marais
Bonne journée 😉
Thomas : relis bien là fin. Pas complètement d'accord avec c marais... Désolé 🤣
A mon avis, un trailer ne fait pas forcément un bon randonneur à ski ne serait-ce parce qu'il n'a pas le bagage technique pour la descente dans des neiges parfois difficiles et avec un sac à dos.
Le trail ca reste assez basique fondamentalement, c'est de la course à pied.
La randonnée à ski, ça réclame beaucoup de savoir-faire et de connaissances: nivologie, topographie, sens du terrain, de la trace, perception de la neige, des dangers objectifs, technique de descente.
A caisse physique égale, je pense qu'on puise davantage dans le trail qu'en rando.Il m'est arrivé de faire de grosses dénivelée à la journée en peau sans rentrer le soir exténué. En trail à la demi-journee, ça laisse des séquelles !
Je répondrais qu'à caisse physique égale un randonneur à ski peut faire un bon traileur mais l'inverse est plus compliqué. Le ski de randonnée exige des connaissances et des savoir faire pointus: nivologie, topographie, sens du terrain, de la trace, perception des dangers objectifs, technique de descente parfois dans des neiges difficiles avec un sac à dos...on ne s'improvise pas skieur de randonnée !
Pour une fois où je récolte des avis de médecins ... 🤣 🤣 🤣
Les sports de choc ski, motocross, trail, sauts (athlé), tennis et autres sont des producteurs de traumatismes (j'invente rien !). Les anciens bosseurs, et motocross man pro sont défoncés (renseignez vous) ... et les coureurs à pied, rare sont ceux qui continuent après 60 ballets ! après, tant qu'on a rien, on pense pas aux conséquences du sport que l'on fait ... après, c'est une toute autre histoire ... 😯
un avis personnel ici ne sert à rien (j'ai rien eu, donc CM a tort !) 😜
il faut se renseigner, et penser à + 10 ans, ou + 20 ... et pour cela, le ski de rando est considéré soft par le corps médical, contrairement au ski de piste (neige damée donc pas amortissante). La course en montagne, elle , avec les chocs successifs ds les descentes (multiples amortissements en décélération), reste un sport très traumatique ... 😉
Bonjour,
j'en remets une couche :
ne sommes nous pas avant tout des montagnards qui, pour certains ont débuté par du ski et sont allés vers la rando ou le trail et pour d'autres l'inverse.
Si, après plusieurs tentatives dans une discipline ou une autre on se rend compte que manifestement on est plus à l'aise ou plus doué ou plus motivé par l'une d'entre elles alors il est logique de se faire plaisir dans cette discipline. 😎
Pour le reste, par rapport à l'alternance été/hiver de nos latitudes il est aussi logique d'alterner une discipline estivale et une hivernale (ou plusieurs).
Je pratique le trail comme une course nature (je n'ai pas trop le choix car en sortant de chez moi ou ça monte ou ça descend) mais suis resté à un niveau entrainement ; les potes qui ont tâté à la compétition se sont à peu près tous mis au vélo au bout de 8-10 ans (because le genou, le dos ou la cheville). 🤢
Je ne suis absolument pas convaincu que le trail soit une discipline sur le long terme, à l'inverse du ski de rando 😉
Encore une fois beaucoup de préjugés sur le trail ou l'ultra trail qui conduiraient forcément les pratiquants à avoir des problèmes articulaires au bout de 10 ans.
La comparaison avec la CAP a ses limites, car ce n'est pas la même chose de courir 42km sur du goudron moyennant des chocs très répétitifs, et de courir sur des terrains variés, moyennant des sollicitations qui évoluent, et l'alternance de phases de marche et de course.
L'ultra trail c'est aussi moins de vitesse et d'intensité en course mais aussi à l'entrainement, la volonté de s'économiser et de se préserver pour pouvoir tenir la distance, s'écouter soi plutôt que suivre un type qui va trop vite pour nous. Pas de blessure depuis 2 ans pour moi, en limitant le nombre de compétitions à un ultra et 3 à 5 trails autour par an. En croisant beaucoup avec d'autres sports également (vélo / ski de randonnée / alpi quoique ça fasse encore plus mal aux genoux finalement) et des séances d'étirements régulières.
Par contre, j'ai pratiqué le vélo en compétition étant jeune, j'ai eu des problèmes de genoux très rapidement car le mouvement imposé sur le vélo, certes porté, n'est pas forcément un mouvement naturel. Et quand on ne fait que ça, on s'use...
Donc, la source des blessures et des usures c'est plutôt de la pratique intensive et unilatérale d'un seul sport. Si on pratiquait le ski de randonnée comme certains vont courir, à raison de 5 fois par semaine (ou plus), il y aurait aussi des problèmes physiologiques majeurs (la poudreuse, c'est bon mais ça finit par faire mal aux genoux, la neige taulée on n'en parle pas...). Simplement, c'est un sport que pour la plupart nous pratiquons seulement 2 jours par semaine pendant une moitié de l'année, moyennant une grosse coupure estivale, qui laisse au corps le temps de se régénérer.
Bref, c'est surtout une pratique sportive variée, croisant plusieurs sports, et laissant une grosse place à la récupération, qui préserve des blessures, dans la mesure où elle laisse le corps encaisser et récupérer des sollicitations diverses et variées qu'il subit (chocs, mais aussi mouvements répétés).
Cyrille Marais a dit :Courir 100 bornes par semaines à raisons de 20 kms, ok, mais courir 100, 160 ou 200 à la suite, le corps n'est pas fait pour cela. pas besoin d'être toubib ou kiné pour s'en aperçevoir. 🙂 😉
En même temps, le corps humain n'est pas plus "fait pour" glisser sur deux planches aux pieds, ou pour monter des sommets, ou autre chose... Paraitrait même qu'à l'origine, le corps humain est davantage fait pour fonctionner sur ses deux pieds, éventuellement courir pour chasser, davantage que pour se poser dans un bureau avec tous les risques et les conséquences que la vie sédentaire implique.
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