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super interressant et finalement on revient souvent aux bases : chutes de neige récentes , vent , froid : méfiance , mais assez dur de garder un niveau de concentration élevé sur tout un itinéraire
et la tentation de la belle peuf .......... 😯 d'ailleurs la vidéo des trois skieurs dans la clairière avec peu de pente et déjà des traces , fait froid dans le dos 🤢
bonjour, j'aime bien cette présentation (d'Alain Duclos), le fait de farfouiller dans le site permet justement (enfin pour ma part) d'être actif dans la lecture. bravo en tout cas.
Olivier a dit :mais pas du vent.
Si : compris dans la neige nouvelle
desnoes a dit :Serait-il possible d'utiliser tes présentations pour les formations qu'on fait dans mon club ?
Oui, bien sûr. Ma seule demande est d'indiquer la source 😉
Alain Duclos a dit :Oui, bien sûr. Ma seule demande est d'indiquer la source
c'est bien le minimum. Merci.
Très beau boulot, le contenu est top. Les vidéos qui montrent l’écrasement des couches fragiles particulièrement, je les avais jamais vue, c'est impressionnant. Comme des autres j'ai des problèmes de zoom et c'est un peu lourde a télécharger (bon, là j'ai une connexion pathétique). J'ai aussi l'impression de n'avoir vu tout, un séquence traditionnel peut être préférable.
Euh... je n'ai peut-être pas compris comment fonctionner la presentation mais il me manque des infos pour la trouver vraiment "efficace" en terme de formation ou pour une aide à la prise prise de decision, pour trouver son "plus" complémentaire par rapport aux outils et formation de base existants. Remarque qui ne se veut que constructive. Je reconnais ton expertise Alain c'est pour ça que je me permets cette reflexion. Par exemple comment faire pour estimer la présence de cette fameuse couche fragile (gobelets, givre enterré, couche très différente enterrée versus une chute récente). Sans outillage scientifique trop lourd bien sûr. Une coupe est-elle efficace à 100%? Comment la pratiquer (selection du site, fréquence, outils, ...)? Quelle est l'efficacité moyenne d'une coupe réalisée sur l'itinéraire versus le declenchement à distance d'un skieur seul ou par surcharge dans le cas d'un groupe? Merci en tout cas pour cette synthèse mise à disposition de la communauté (gratuitement qui plus est, ça se fait rare le désintéressement). Dans l'espoir d'un complément d'infos.
Merci Alain pour ton lien! La présentation peut paraître un poil compliquée avec les encadrés, les zooms, etc, mais on comprend tout de même assez vite comment ça fonctionne 🙂
Sur le fond, j'ai trouvé ça très intéressant (évidemment 😎), bien expliqué avec des photos et vidéos bien "parlantes" ( 🤢 les 3 skieurs dans la clairière!) et finalement ça reste assez synthétique. 😊
Mathieu Touchet a dit :comment faire pour estimer la présence de cette fameuse couche fragile
Mais elle ne s'estime pas, elles se voit !
Il faut creuser, gratter, tirer, appuyer, observer... apprendre, quoi 😎
- 1ère étape : comprendre ce qu'on a sous les pieds.
- 2nde étape : essayer d'imaginer ce qu'il y a ailleurs, ou ce qu'il y aura ensuite.
... pas l'inverse 😉
Alain Duclos a dit :Il faut creuser, gratter, tirer, appuyer, observer... apprendre, quoi 😎
J'ai toujours eu une curiosité. Il y a combien de risque de déclencher l’avalanche en touchant la couche fragile avec la pelle? Ou, pour mieux dire, est-ce que il y a un technique particulière pour creuser sans faire dégâts?
Maki a dit :un technique particulière pour creuser sans faire dégâts?
Loin des trop vastes pentes à 30° et davantage 😉
Un talus fait l'affaire si tu veux voir ce qui se passe dans du raide 😉
Tiens, par exemple :
<www.data-avalanche.org/static/dataavalanche/joomla/index.php?option=com_wrapper&view=wrapper&Itemid=134&aval_id=1354743275748>
Bien content d'avoir été prudent pour le choix du lieux de mes démos 😄
Bonjour, concernant ce sujet souvent traité j'ai deux interrogations suite au dernier accident vu sur le dernier Free-ride World Tour . Malgré toute les précautions prises ( tirs, reco avant course, etc...) comme vu sur l'accident la plaque se décroche lors de remontée sur le ski, donc pas de grosse surcharge à priori. Serait il possible que toutes les précautions prises en amont de l'épreuve (mais je le comprend indispensables ) soient à l'origine de l'accident, et dans un deuxième temps le phénomène de rupture peut il être du comme sur une soudure mal faite ( on parle d'une paille dans la soudure qui lâche ) à la cohésion qui se rompt à un endroit bien précis ( il me semble que la plaque part au dessus du ski perdu donc elle se serait rompu bien en dessous ) et pourquoi ? Merci pour vos réponses
je pense pas qu'on puisse parler de surcharge : le poid du skieur est négligeable devant celui de la plaque
par contre, le skieur (ici à pied) "traverse" la plaque et touche (directement ou indirectement) la couche fragile, qui s’effondre ... effondrement qui se propage
et les précautions prises en amont, à mon avis, ne fragilisent pas : simplement les tirs d'explosif n'ont pas eu lieu "au bon endroit", cad qu'il n'ont pas fait s'effondrer la couche fragile là ou il y a eu l'accident et du coup cette zone est resté dangereuse
en gors soit les tirs font partir ce qui doit partir (et donc sécurisent), soit il font rien (ni ne sécurisent ni ne fragilisent ... a part le fait qu'ils puissent donner un sentiment de sécurité)
Bonjour, Alain, présentation exhaustive et attractive pour la connaissance du grand blanc!Bel effort.
il me reste un questionnement: comment préserver et exercer son autonomie de jugement dans une foule...qui suit la même trace....profonde...et difficile à refaire.En 2015, s'extraire des idées reçues, en matière d'objectifs, de danger, de mode de plaisir est un vrai défit; une lacune dans les apprentissages; peut etre devons nous nous exercer à apprendre.
Tu en es un des contributeurs, merci.
Daniel Colin
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