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Tout à fait d'accord avec Phil'Ô.
Tant qu' à être tolérant, je vais même tolérer la tollérance et les tollérants 😉
"Le dérapage est au ski ce que l'électricité est à l'éclairage !"
C'est pas pour autant que si je dérape je dois prendre une chataigne ! 😉
alex a dit :du4photo, reste chez toi.
+1
le genre de skieur jamais content "la neige est trop molle et pis c'est trop dur...." qui voudrait que la montagne lui fasse des courbettes, que les séracs se pavanent devant lui, bref, des co......... en post comme ça, ça interpelle sur les motivations de certains
je signe pas, je fais pareil 🤢
😄 salut , je pense qu'il vous faudrait sortir des classiques, sûrement qu'il y a des endroits où peut de monde a tracé, moi quand je vois la sortie qui m'intéresse sur un site je change vite d'idée et la garde pour plus tard quand elle sera tombée aux oubliettes.
En plus si tu y monte dedans avant de le descendre rien ne t'y oblige d'y alller. 🙂
Sur ce bon ski à toutes et tous 😉 .
Le pire c'est le surfeur qui dérape dans un couloir.... 😉
C'est qu'on a la flemme d'aiguiser les carres, alors on fait un virage et hop! ça dérape jusqu'en bas...
Moi, j'en vois qui ont dérapé sur l'orthographe à la petite école ... 😉
Phil'Ô a dit :La fréquentation humaine de l'itinéraire convoité fait partie de ces paramètres aléatoires. Il faut juste accepter que l'on est pas tout seul au monde (même en montagne 😎 ), et que nous n'avons pas tous la même approche du milieu 😉
Pourtant une approche communément admise un peu partout est de laisser les lieux dans l'état dans lequel on aurait aimé le trouver en arrivant.
A ski on ne peut évidemment pas ne pas laisser de trace, mais si on peut limiter ses traces à des traces de ski et non des traces de perte de dénivelé, c'est mieux.
Perso, tout ce que tu décris (dérapage, trace dans la grosse soupe, etc), je considère que c'est du vandalisme vis à vis de ce que viendront chercher les suivants. J'y participe aussi t'inquiète, mais j'en suis conscient et je n'en suis pas fier, et j'essaie de limiter les dégats les fois suivantes.
Mais il ne faut pas trop décrier les dérapeurs non plus, car à leur niveau ils participent à la propagande disant que "la montagne, c'est difficile/inintéressant/dangereux, faut pas y aller", permettant de limiter la fréquentation (sans la propagande il y aurait au moins 3 fois plus de monde).