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Accueil > Actu > Ski de randonnée > Ski alpinisme & Dopage : sur une pente dangereuse

Ski alpinisme & Dopage : sur une pente dangereuse - Ski de randonnée


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Ski alpinisme & Dopage : sur une pente dangereuse

Proposé par Jeroen le 17.10.08 à 19:08 :: www.ledauphine.com :: 1640 vus :: 532 clics :: 7 commentaires :: Ski de randonnée

Après l'affaire Patrick Blanc, c'est l'heure du règlement de comptes sur les cimes. "Pas de suspicion généralisée à partir d'un cas exceptionnel," s'énerve Patrick Rassat, entraîneur de l'équipe de France

C'est comme une gueule de bois après une si grande fête. Comme un réveil brutal après un si beau rêve. On voulait croire que le ski-alpinisme était l'un des derniers sports purs échappant à toutes les tentations. Qu'il n'y avait que des filles et des garçons élevés au Beaufort et au fromage d'Abondance, des enfants du pays aussi purs et sauvages que des chamois sur les pentes des Alpes »

Commentaires

Invité, le 21.10.08 19:46

Arretez de rever, on est pas au pays d'Alice au Pays des Merveilles ! Le dopage gangrène ce sport comme d'autre, c'est désèspérément triste, mais c'est profondément humain !!

G
grizzlyski, le 21.10.08 23:00

Ce qui est surtout plus grave, c'est le produit détecté, de la CERA, EPO 3ième génération soit une utilisation 3 mois avant que ce produit ne défraye la chronique dans le tour de france avec Ricco, Kohl, Piepoli, ... On est loin des bidons à la caféine de Coppi ou des amphèt' achetés aux States, on tape dans le très haut de gamme.

Pour infos, 3e génération ne veut pas dire grand chose, cela signifie juste qu'elle est à effet retard.
Auparavant on devait s'injecter ce produit une fois par semaine dorénavant c'est en gros une injection par mois soit pour nous skieur alpiniste 4 à 5 injections par saison.
Je rajoute pour les candidats que les dopés avaient sans doute de l'aide, protocoles, dosages à utiliser, examens de suivi, ...

Plus besoin d'une grosse logistique d'élimination des déchets comme avec les perfusions, du transport réfrigéré, des frères et soeurs à ponctionner, plus à se cacher de son coéquipier dans les toilettes.

C'était l'ARME ABSOLUE du point de vue pharmacologique.

MAIS Bordry est arrivé, sans se presser et avec les labos de Chatenay et de Lausanne a mis un énorme coup de pied dans la fourmilière en détectant l'indétectable et surtout en n'ayant pas 3 plombes de retard sur les Dr Mabuse.

Il m'est d'avis qu'au mois de Mars, les contrôleurs ont dû littéralement halluciné en testant P. Blanc ce qui explique sans doute que ce retard dans la publication des résultats.

Dernier point et le plus grave, c'est l'utilisation même de l'EPO dans notre sport qui se pratique en altitude. J'ai essayé de faire une recherche sur le net mais les seuls études concernent l'EPO endogène (que nous fabriquons) et dont les taux s'élèvent en altitude pendant une certaine période.

Si on se souvient de l'arrivée de cette substance dans le monde du cyclisme dans les années 90, des tatonnements du début, des cyclistes se réveillant en pleine nuit pour faire des pompes, des centrifugeuses dans les bus bref tout pour éviter les risques thrombo-emboliques.

On peut être très, très inquiet quand on sait que l'altitude potentialise ces mêmes risques (le sommet de la PDG se situe vers 3600m et la mezza passe 2 fois les 4000).

Pour finir, espérons que la FFME arrête de faire le canard et instaure un passeport biologique sur le modèle de la FFC et ce, avant qu'un coureur ne décède.

A
Altirando, le 22.10.08 12:08

Pour répondre au premier commentaire en rapport avec ce malheureux, mais réel événement. Je ne crois pas que la communauté de ski de randonnée quel que soit sa provenance ne rêvait pas à propos du dopage dans la compétition de ski-alpinisme. La plupart des randonneurs ne se soucis peu de la compétition, ils font de la randonnée pour se faire plaisir, pour faire de la pente raide, pour avoir de la bonne neige ou pas sous les spatules. Alors on ne rêvait pas, on se doutait de quelque chose nous aussi. Au vue des chronos qu'ils nous font, c'était impossible de passer à côté de cette pensée.

De plus, le spirit des randonneurs à ski n'est pas comme ça, il sont proche de la nature, et à ce que je peux dire de mon expérience dans ce domaine, la nature ne nous montre pas la voie du dopage. Alors, ceux qui se disent proche de la nature et qui se dopent de cette façon, ils devraient revoir leur copie.

2ème paragraphe un tantinet coup de gueule.
Je m'en excuse auprès des personnes qui ne penseraient pas comme moi :-)

Invité, le 22.10.08 15:32

Le skieur de rando proche de la nature ????????????????

A
Altirando, le 22.10.08 18:09

Il la respecte (plus qu'un skieur classique)

Jeroen, le 22.10.08 22:08

... mais moins qu'un veloskieur :wink:

A
Altirando, le 22.10.08 22:26

alors là, je suis d'accord avec toi, pas de doute ;)

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