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Accueil > Actu > Ski de randonnée > No comment

No comment - Ski de randonnée


19 votes

No comment

Proposé par le ded le 29.02.16 à 13:21 :: www.ledauphine.com :: 2525 clics :: 19 commentaires :: Ski de randonnée

Ils avaient été pris dans une avalanche le matin, lors de l’ascension du mont Charvet »

Commentaires

Invité, le 29.02.16 16:01

Pas facile de les blamer non plus car je pense que j'aurai agi un peu de la même façon qu'eux. Faut il appeler les secours a chaque fois que l'on se fait bousculer par une avalanche ?

Invité, le 29.02.16 16:14

Dans la mesure ou ils ont laissé leurs affaires sans plus d'explication ils auraient pu au moins le signaler.

Vivagel, le 29.02.16 16:25

Oui mais le signaler à qui ?
Appeler le PGHM pour leur dire qu'on a laissé son sac de couchage au refuge ?
Comment le PGHM va gérer cette information ?

Invité, le 29.02.16 16:37

Il y a une sorte de suivi des appels et signalements.
cela permet d’éviter les recherches quand c’est inutile. Personne ne se fâchera si on appelle pour se signaler de la sorte. Promis !

Bon ski à tous

Invité, le 29.02.16 17:00

Ca illustre une évolution de notre société. L'omniscience de la communication/secours et surtout sa rapidité, même quand tout va bien. Ce n’est ni une critique des secours, ni une critique des personnes ayant laissé les sacs de couchage. Mais, ça permet de s’interroger sur la démesure des moyens et la rapidité. Je dois vieillir car je me rappelle de l’époque où pas de nouvelles signifiait bonnes nouvelles. Aujourd’hui, les non-nouvelles conduisent à l’alerte suivie de l’intervention quasi immédiate. Encore heureux que les secours ne sont pas déclenchés à chaque fois que je ne finis pas une course à 17h ou même le lendemain matin. Passer la nuit dehors, y compris en hivers (et sans prévenir), fait partie de nos activités montagnes. Aujourd’hui comme nous avons des moyens de communications, nous n’avons pas d’autres choix que de nous en servir et donc de déclencher le plan ORSEC au moindre imprévu.

Invité, le 29.02.16 20:06

D'accord avec Nimby.
Il m'est arrivé la même chose, pris dans une coulée, je suis rentré en me demerdant sur un ski.
un peu choqué, quand vous etes pris dans une avalanche et que vous vous en sortez vous etes dans un mélange d'état de choc et de honte qui fait que vous avez vite envie de rentrer chez vous. j'ai passé un coup d'arva pour vérifier qu'il n'y avait personne dans la coulée et je me suis barré. Pas du tout pensé au PGHM, je me suis dit pas de nouvelles, bonnes nouvelles.
donc les donneurs de leçons...

T
tibo74, le 29.02.16 20:50

Avant, dans les voitures, il n'y avait ni ceinture de sécurité ni airbag…est-ce que c'était mieux? Je ne vois pas de donneur de leçon dans les précédents commentaires, juste des remarques concernant l'inquiétude justifiée d'un randonneur découvrant du matériel abandonné dans un refuge et qui contacte le PGHM. Quoi de plus normal ensuite que de vouloir 'lever' cette inquiétude en faisant des recherches?

Invité, le 29.02.16 21:12

quand une telle actu s'appelle "no comment" c'est quoi à part une leçon ?

L
le ded, le 29.02.16 22:13

Bien justement, je ne fais pas de commentaires et chacun fera sa propre analyse.
L'actu aurait pu se nommer "sans titre".

J
JeromeG, le 29.02.16 22:14

L'article n'est pas franchement ecrit sur le ton "donneur de lecon". Il conclue logiquement qu'avec un simple petit coup de telephone pas mal d'effort de pas mal de gens aurait pu etre eviter. Il informe, c'est bien. Il ne faut pas chercher le negatif partout et tout prendre comme une offense personelle (ou systematiquement pleurer le temps passe)

J
JeromeG, le 29.02.16 22:14

@leded - ah ah, meme reaction au meme moment ;)

Invité, le 29.02.16 22:22

Après, faut pas trop leur en vouloir ..... ils ont des circonstances atténuantes ? il y avait peut-être des puces dans les sacs de couchage des cafistes :)

Invité, le 01.03.16 09:43

On ne va pas s'en sortir s'il faut appeler à chaque fois que tout va bien. Ca m'est déjà arrivé d'avoir des pépins plus ou moins grave, de laisser du matériel, de descendre par mes propres moyens, et de remonter ultérieurement pour récupérer le matériel que j'avais laissé (sans informer spécialement quelqu'un).
Si je découvre du matériel le soir, j'attends le lendemain matin pour me préoccuper outre mesure (c'est courant de passer la nuit dehors en montagne). Je fouille le matériel pour trouver des infos sur le propriétaire afin de le contacter. Si je ne peux pas contacter le propriétaire, je descend le matériel à l'OT ou au bureau des guides du coin. D'une manière générale, j’essaie d'assumer le plus possible ma pratique, y compris en aidant les autres. Mais, j'ai du mal avec le fait de dégainer mon téléphone à la moindre anicroche.
A partir du moment où les secours ont été prévenus, ils n'ont pas d'autres choix que de faire le maximum. C'est donc à nous, pratiquants, de ne pas les appeler pour n'importe quoi.

Y
Yoann-51, le 01.03.16 10:47

On voit régulièrement ici une rafale de blaireaux tout fier de venir raconter leur fameux old-up qui, s'il tournait pourrait engager la vie de bcp de monde, mais là on ne dit rien..... par contre 5 randoneurs sans doute très choqués qui preferent rentrer chez eux plutôt que de passer une nuit en refuge, on les pourrit ? Où est la logique ?

S
squal, le 01.03.16 16:15

Euh vous avez vu où qu'on les pourrissait ???
On relate juste quelque chose qui s'est passé et a entraîné un secours qui aurait pu être évité.
On ne juge pas les gars. Ca soulève juste le fait que certains ne réagiront pas de la même manière devant une telle situation. Donc peut-être à garder dans un coin de tête et simplement se dire que si ça nous arrive un jour, passer un coup de tel au PGHM ça coûte rien et ça peut éviter ce genre de situation.

Après tout se termine bien donc c'est tant mieux et les gars du PGHM auront fait un entraînement sans le savoir au départ.

Et pour ce qui est de signaler un accident rapidement, je vous trouve bien sûrs de vous... Rappelez-vous le gars qui a passé un bon moment bloqué dans une avalanche sous le Pertuis, je pense qu'il aurait été content qu'on s'inquiète de lui avant le petit matin... C'est rare, mais parfois ça peut sauver une vie quand on a eu un accident et que malheureusement on peut pas gérer. Attention, je ne dis pas qu'il faut partir la fleur au fusil en se disant qu'en cas de pépin on dégaine le mobile.

Invité, le 01.03.16 17:06

ça va couper.. ;) je parle de ce post.. Il est 17h, les modos vont rentrer du taf..

Invité, le 01.03.16 22:29

Franchement, que sur cinq types, même choqués par leur mésaventure, pas un ne se pose la question de la réaction du premier randonneur qui allait trouver les cinq lits prêts et personne de retour au refuge à la nuit et bien moi, ça me fout la trouille sur le niveau des mecs !

R
RGB, le 02.03.16 09:02

Samedi 27 février, situation très particulière dans les Aravis;
Fortes bourrasques de vent, transport et accumulation de neige, nombreuses coulées de plaques plus ou moins épaisses déclenchées au passage de skieurs.
Les secouristes et les pilotes de Dragon 74 sont intervenus à plusieurs reprises dans des conditions difficiles et miraculeusement n'ont eu à évacuer que des blessés légers.

Lorsque les Cafistes d'Annecy constatent la présence de 5 sacs de couchage au Refuge Gramusset, avec perspicacité, ils alertent les secours.
Compte-tenu du contexte de la journée, le PGHM en toute logique craint l'avalanche et déclenchent les recherches.

Je cite Squal
"Après tout se termine bien donc c'est tant mieux et les gars du PGHM auront fait un entraînement sans le savoir au départ."
A mon avis, les gendarmes du PGHM, les pompiers du Groupe Montagne et les pilotes de la Sécurité Civile se seraient passé de cet "entraînement" de nuit ainsi que les bénévoles des Sociétés de Secours en Montagne de la Haute-Savoie qui auraient été engagés. Heureusement un "découcheur" avait oublié sa carte d'identité!!

Ce type d'incident n'est pas rare. Le 8 mars 2009 à Abondance suite à la découverte sur une avalanche récente de différents matériels et effets vestimentaires, une importante opération de secours (50 secouristes dont des bénévoles, plusieurs chiens et 2 hélicoptères) est déclenchée.
2 jours plus tard, à la lecture du Dauphiné Libéré, les 2 raquetteurs se sont présentés à la mairie de Chatel. A leur décharge, c'étaient des vacanciers du Nord.

Pour en revenir à l'article du Dauphiné Libéré, les recommandations du PGHM d'Annecy sont tout à fait pertinentes et de bon sens

RB bénévole du Secours en Montagne et skieur

S
squal, le 02.03.16 10:04

RGB désolé je n'ai pas été très "clair" dans mes propos. Je ne voulais pas dire que c'était un exercice sans risque pour les pros comme un entraînement. C'est jusque qu'au final tout se termine bien et pas de casse pour les secours. Donc on peut assimiler ça à un "exercice" d'entraînement avec des conditions difficiles dans lesquelles un "vrai" entraînement n'aurait pas été décidé.

Je comparerai ça avec une mise en situation où des pilotes doivent gérer un incident tout en sachant que c'est un exercice et la gestion d'un incident réel mais qui se termine bien. Gros stress, et dans ces cas là on sait que les "Hommes" ne réagissent pas toujours de la même manière que sur un entraînement. Au final c'est enrichissant même si bien entendu ils s'en seraient bien passé.

En tous cas c'est certain que cette journée là à due être assez complexe et intense pour les secours.

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