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Avalanches: comment freiner les têtes brûlées
Proposé par Jeroen le 13.01.10 à 21:09 :: www.illustre.ch :: 778 vus :: 729 clics :: 4 commentaires :: Ski de randonnée
En parler ne pose aucun problème à Perret. «Je veux d'abord dire que je me sens proche des gens touchés par ces accidents.» Puis il se fait pugnace, autant que sur les pentes raides qu'il affronte. «Je suis surpris qu'il y ait deux poids deux mesures! Quand il s'agit de freeriders comme à Anzère, avec zéro blessé ou mort, on les traite de tous les noms et on les met en prison. Quand il s'agit de simples randonneurs à peau de phoque, avec des morts, dont des sauveteurs comme au Diemtigtal, on ne les inquiète pas. Si l'on parcourt la montagne en se faisant plaisir et en pratiquant un sport jeune et sexy, on est un débile mental. Mais la peau de phoque, c'est aussi du plaisir, non?» »Commentaires
Une belle leçon écrite d'une belle plume.
une coulé de 200m de long et 400m de large c'est quand meme enorme ca me semble plutôt la mauvaise securisation de la station de ski
Les pistes sont censé etre des zone sécurise non ???
peut importe si ils ski ou pas
ca veut dire que si un lapin declenche une avalanche en station c'est la faute du lapin !!!!
Je suis pas vraiment d'accord avec cet article
Bien délicat tout ça.
On en sait quelque chose, en faisant du ski de rando et à l'occasion de la piste.
Les skieurs rando sont 'dangereux'.
Les skieurs de pistes aussi?
exemple contraire
aujourd'hui je faisait du ski de rando dans un vallon parallele a la station de ski des 7 laux l'apres midi ils ont fait pété leur daisy bell un truc qui declenche des avalanche mais ca résonne dans toute la montagne
si un avalanche me tombe dessus a cause de ce truc c'est la faute a qui ???
à moi !!!