Sommet : Tête de la Cassille (3069 m)
Orientation : N
Dénivelé : 1360 m.
Difficulté de montée : AD+
Difficulté ski : 4.1 E3
Pente : 45° sur 150 m
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Accès en bus LER 35 (horaires)
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Du sommet, descendre la face puis prendre plein ouest jusqu'au l'extrémité nord du Grand Lac en prenant les courbes de niveau; rephoquer pour rejoindre le col à l'ouest de roche Colombe à l'altitude 2738 dans un grand mouvement circulaire.
Du col, descendre sud puis est pour trouver le torrent du Plan Chevalier puis les chalets de l'Alpe du lauzet et enfin le sentier emprunté à la montée
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Face nord de la Tête de la Cassille: froide et austère à cette époque de l'année (ne voit pas le soleil)
Couloir sud du col 2738 de Roche Colombe à aborder en neige transformée
Ensemble de l'itinéraire trés esthétique avec des vues magnifiques sur les Cerces et les Ecrins mais aussi sur une grande partie des Alpes du nord au sud

Dernières sorties Toutes
Date | Titre | Auteur | ❆ |
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17.02.25 | Tête de la Cassille, le retour | Brubru13 | |
Météo/températures : Conditions d'accès/altitude du parking : Altitude de chaussage/déchaussage : parking Conditions pour le ski : Ski moyen voire physique Conditions nivo et activité avalancheuse : Face sud dure et béton tant que le soleil ne réchauffe pas, pour les autres faces, un peu carton, ou poudre tassée. Quelques petites plaques à vent assez compacte. Aucun départ déclenché. |
Valable jusqu'au 24.02 en soirée
Au-dessus de 2400m indice de risque limité, plus bas indice faible.
Risque Accidentel : rares instabilités en versants froids d'altitude
Risque Naturel : en neige humide, restant peu volumineux
Résumé : Départs spontanés : en neige humide, restant peu volumineux Déclenchements skieurs : rares instabilités en versants froids d'altitude
Stabilité : PLAQUES SE LIMITANT AUX VERSANTS FROIDS D'ALTITUDE, DIFFICILEMENT DECLENCHABLES MAIS PARFOIS VOLUMINEUSES Déclenchements provoqués : rares instabilités en altitude. Des structures de plaque dure difficilement déclenchables restent en place en versants peu ensoleillés d'altitude. Elles reposent sur une couche fragile enfouie à la base du manteau neigeux, difficilement détectable de la surface. Ces instabilités se situent surtout en orientations nord-ouest, nord et nord-est d'altitude supérieure à 2400/2500 m. Les endroits les plus propices à leur déclenchement restent les ruptures de pentes, et les zones de transition entre secteurs peu enneigés et plus enneigés, surtout loin des crêtes. En cas de déclenchement, non exclu à distance par un groupe de skieurs, cassure potentiellement épaisse et de grande ampleur, engendrant des avalanches de taille moyenne (taille 2), très rarement grande (taille 3). Départs spontanés : départs ponctuels et superficiels de neige humide restant de faible ampleur (taille 1) possibles sous les larges éclaircies.
Qualité : Enneigement plutôt déficitaire pour un mois de février. Données observées ce 23 février : 1m20 au refuge du Clot des Vaches à 2250 m, 85 cm dans le vallon du Chardonnet à 2455 m, 83 cm à Montgenèvre à 2130 m, 55 cm à la nivôse des Rochilles à 2450 m. Limite d'enneigement skiable : vers 1500/1600 m en ubacs, plutôt 2000 m en adrets en terrain herbeux peu pentu. État de la neige de surface : lundi matin on trouve un minuscule saupoudrage de neige fraîche, tombée humide sous 2400 m. Elle recouvre un manteau neigeux ancien, dense et irrégulier, humidifié en profondeur en adrets jusque 2600/2800 m environ, souvent travaillé par le vent en ubacs, et encore d'aspect poudreux dans de rares combes nord de haute altitude. En cours de journée, à nouveau de l'humidification superficielle en toute orientation au moins jusque 2400/2500 m avec le voile épais, bien plus haut en adrets en cas de larges éclaircies. Crêtes souvent dégarnies, parfois pelées.