Départ : Chalets de Laval (2030 m)
Topo associé : Mont Thabor, versant SW depuis Laval par le col des Muandes
Sommet associé : Mont Thabor (3178 m)
Orientation : SW
Dénivelé : 1500 m.
Ski : 2.3
Sortie du lundi 9 avril 2012
Conditions nivologiques, accès & météo
beau au départ, puis se bâche, un peu de vent, puis se débâche, et donc grand beau pour la descente.Etat de la route : sèche jusqu'à Fontcouverte
Altitude du parking : 1857
Altitude de chaussage (montée) : vers le refuge des Drayères
Altitude de déchaussage (descente) : 1800, au niveau du lac vert
Activité avalancheuse observée : rien, mais se méfier de la traversée sous la Roche du Chardonnet
Lieu | Alt. | Ori. | Heure | Qté. | Type | Com. |
---|---|---|---|---|---|---|
ravin des Muandes | 8-11h | Soufflée | ||||
Roche du Chardonnet | 2900 | SE | 11h30 | Poudre lourde | sur fond dur pas bien loin |
Skiabilité : 🙂 Bonne
Compte rendu (par hobbes)
Avec Papi Alain
Fontcouverte - Drayères - col des Muandes - Thabor - descente vallée étroite
On a rattrapé notre semi-échec d'hier (www.skitour.fr/sorties/pic-de-la-mouliniere,41177.html#sortie), en repartant du parking de Fontcouverte alors que nous aurions dû dormir au refuge de Laval. Du coup, un peu de bornes en plus.
La montée se passe sans encombres jusqu'aux Muandes, d'abord sous le ciel bleu, puis les nuages apparaissent accompagnés d'un peu de vent, nous donnant quelques inquiétudes quant à la suite. Etant les bons derniers, nous progressons dans la plus totale solitude (même pas un petit poulet aperçu comme d'autres dans le secteur !)
Au col des Muandes, nous suivons les conseils d'un randonneur qui nous indique que tout le monde est descendu pour ensuite remonter afin d'éviter la traversée scabreuse sous la Roche du Chardonnet. Résultat, on se dit qu'on n'aurait pas dû, car la trace de traversée était faite, et passait sans problème. Ce qui fait que nous avons remonté quelques mètres (peut-être 50), car pas envie de descendre dans le bas du vallon, ce qu'à fait Papi Alain. Résultat, nous aurions dû suivre Papi Alain, car la remontée, même si elle s'est bien passée, commençait à être un poil tardive. En plus, on est arrivé en même temps que Papi Alain au col de Valmeinier. Tout ça pour ça.
Puis fin de montée jusqu'au sommet doucement mais sûrement.Une bonne descente, avec de la bonne neige, tantôt transfo, tantôt poudre pas trop lourde.
Très beaux paysages, tout au long de la rando, surtout quand on arrive vers la vallée étroite (le Grand Séru est impressionnant !).