Reprise Brouffier, le 20.04.25 par Kirk, Bertrand38320, Alex Panda

Massif : Taillefer - Matheysine
Départ : La Morte (route du Poursollet) (1450 m)

Topo associé : Crête de Brouffier, Normale W

Sommet associé : Crête de Brouffier (2434 m)

Orientation : NW

Dénivelé : 700 m.
Ski : 2.1

Faune : Afficher les zones sensibles

Sortie du dimanche 20 avril 2025

Kirk, Bertrand38320, Alex Panda

Conditions nivologiques, accès & météo

Météo/températures : beau, doux, rafales de vent de Sud
Conditions d'accès/altitude du parking : route noire / parking épingle 1720
Altitude de chaussage/déchaussage : 1820 / 1820
Conditions pour le ski : Neige dure sur le plateau, pas décaillée avec le vent

Combe salière neige douce rapportée par le vent

Bas lourdasse

Conditions nivo et activité avalancheuse : Nombreuses traces de plaques parties sous l’arête de Brouffier et Pas de la Mine. Gros transport en cours sous le vent de Sud.

Skiabilité : 😐 Correcte

Compte rendu (par Kirk)

Itinéraire suivi : topo a raccourci par parking à 1720
Horaires : 10h / 13h30

Sortie de reprise après blessure, on choisit un plan connu et facile, avec un dénivelé modeste. Pour corser un peu le truc ; le commissaire décide de laisser son sac au chaud dans son salon. Pas de peaux, pas de gants, finalement il reste l’essentiel : les bottes et le split, le reste est superflu !

On porte environ 100m avant de trouver la neige en continu dans le haut de la forêt et d’attaquer la combe des salières : rive gauche hivernale pour ceux qui ont des peaux, et rive droite printanière pour les étourdis.

Le commissaire fournit un bel effort et parvient en haut de la combe des salières avant de faire demi tour, tandis qu’on continue avec le professeur sur le plateau, accompagnés de bonnes rafales de vent de sud. Pas un pèlerin à l’horizon, l’ambiance est magique la haut et le vent rajoute un côté sauvage pas si désagréable (quatre mois sans montagne ça rend un peu lyrique je le reconnais).

La manip dans les bourrasques est toujours un bon moment ; mais bien cramponnés au bottes de terre on parvient à chausser sans se retrouver à Livet Gavet.

La descente est vite avalée avec une portion agréable dans la combe grâce à une petite couche de neige rapportée par le vent puis la lourdasse du bas apparaît, quelques virages physiques et on déchausse pour enfin retrouver le commissaire assoupi dans la bagnole…