Saint-Véran – Ceillac par le col des Estronques

Massif : Queyras - Alpes Cozie N
Départ : Saint Véran - Pont du Moulin (1850 m)

Orientation : S

Dénivelé : 800 m.
Ski : 1.3

Conditions pour le ski : bonne

D+ 800m

D- 1000m (dont ~200m sur piste de skis de fond)

Activité avalancheuse : r.a.s.

Bulletin avalanche : niveau 2 au dessus de 2200 m en faces Est à Ouest en passant par Nord, et niveau 1 en dessous ou autres faces.

Horaires : départ 10.50, col à 13.45

Participante : Valérie

Qualité neige :
A la montée neige relativement dure au départ, et couteaux nécessaires après les premiers lacets et le changement de face – enfin pour nous, car un couple qui nous avait dépassés n’en a pas eu besoin à cet endroit (mais a progressé assez délicatement à ce passage).
A la descente neige souvent croûtées sur les pentes sommitales. La quantité de neige est encore bonne coté Ceillac, mais on sent que cela ne durera pas sur ces pentes plein Sud.

A la montée, à noter deux conversions délicates (pour nous) juste avant le dernier replat, à la côte ~2500 m. A aborder calmement et ça passe.

A la descente coté vallée du Cristillan à Ceillac, nous avons un peu trop profité des pentes douces orientées Sud, sans aller assez à l’Est pour arriver aux Chalmettes. Du coup nous nous sommes retrouvés à devoir traverser un petit bois. Et vu notre niveau, on y a passé pas mal de temps et un peu galéré. Nous sommes arrivés aux Chalmettes alors que les chalets étaient à l’ombre et la neige avait bien durci.

Ensuite retour sur Ceillac via la piste de fond.

N’étant pas motorisé lors de nos séjours d’hiver en montagne (merci le train de nuit Paris-Briançon), nous avons utilisé les navettes de l’Escarton pour rejoindre le point de départ au pont du Moulin sous St-Véran. C’est un super service, un grand merci à la région pour cette organisation !

Ces navettes sont gratuites et permettent de changer de vallée les mardis et jeudis des vacances scolaires d’hiver. Nous étions une vingtaines depuis Ville-Vieille jusqu’au Raux en dessous de St-Véran. Cela explique notre heure de départ relativement tardive.