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Accueil > Tous les forums > Divers montagne > Rencontres du cinéma de montagne de Grenoble 2008

Rencontres du cinéma de montagne de Grenoble 2008


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Jeroen
[13052 posts] - Le 01/10/2008 19:34

[Transmis par YE]

[dailymotion]x6xv0k[/dailymotion]

Le programme tout beau, tout chaud :

Cinq soirées, cinq portraits


Lundi 3 novembre : Natural games, avec le team Petzl

Dawa Sherpa
Coureur d’altitude

« Je me présente : Sherpa Dachhiri, je suis né en 1969 dans le petit village de Chulemo-Takindus, dans la région de l’Everest. Nous sommes neuf enfants. ». Après sept années de monastère, Dawa travaille comme cuisinier dans les treks, où, grâce à son caractère enjoué, il sympathise avec des alpinistes qui l’aident à prendre des cours et financer son diplôme de guide. C’est alors que débute le conte de fées pour le jeune sherpa : en octobre 1994, un client suisse lui propose de participer à une course à pied au Népal, où non seulement il s’illustre avec brio, mais où il rencontrera aussi celle avec qui il partagera sa vie. Aujourd’hui installé en Suisse, Dawa travaille la semaine dans une entreprise de bâtiment et s’entraîne assidument le week-end pour des résultats éloquents. Vainqueur de courses prestigieuses comme l’Annapurna Trail, la 6000D ou l’Himal Race, le champion népalais excelle particulièrement sur les courses longues et physiques… ainsi qu’en ski de fond l’hiver : « en 2002 lorsque j’ai gagné l’Himal Race, le comité Olympique du Népal m’a convoqué en me disant que puisque j’avais la possibilité de faire du ski en Suisse, j’irai aux Jeux Asiatiques au Japon en février 2003 ! ». La belle histoire de Dawa Sherpa sera racontée avec le film « le léopard des neiges », réalisé par Jean-Michel Jorda.


Mardi 4 novembre : les voyages au long cours

Lionel Daudet
Voyageur des cimes

Quarante ans cette année, quelques doigts de pieds en moins depuis l’hivernale au Cervin en 2002, « Dod » fait partie de ces alpinistes à propos desquels on a du mal à trouver les qualificatifs exacts. Depuis ses classes à l’Equipe Jeunes Alpinistes en 1991, son diplôme de guide en poche, il enchaîne des réalisations qui laissent un peu pantois, que ce soit dans les Alpes ou aux quatre coins de la planète. Entre ses solos en hivernal (comme la directissime nord-ouest de l’Olan) et les voies d’escalade non encore répétées en France ou à l’étranger, la liste suffirait déjà à remplir une vie d’alpiniste de très haut niveau ! Sans compter que notre Dod aime à grouper ses réalisations par « thème » : naissent ainsi de fantastiques projets nécessitant des mois entiers d’efforts à haute altitude, comme la Trilogie des Directissimes dans le massif du Mont Blanc, ou la Skyline, dont le principe consistait « tout simplement » à rallier les plus belles faces des Ecrins par les crêtes. Enfin, pour compléter un curriculum éloquent, Lionel Daudet est surtout connu pour ses expés et autres « grands voyages » aux thèmes originaux et à la difficulté toujours démesurée : tour du monde des parois extrêmement difficiles (Cristal FFME et Piolet d’Or 1995), l’Odyssée Verticale du Groënland à la Patagonie… sans oublier les région polaires avec le Mont Ross en Antarctique, les Kerguelen et la Géorgie du Sud en 2007 avec Isabelle Autissier, Philippe Batoux et Manu Cauchy qui sera le thème phare de la soirée.


Mercredi 5 novembre : des planches et des ailes

Karine Ruby
Du snowboard à l’alpinisme

Vous avez polyvalence ? Karine Ruby, née à Chamonix en 1978, a pratiqué le snowboard à haut niveau jusqu’en 2006, avant de se consacrer exclusivement à l’alpinisme. Six fois championne du monde en douze années de compétition, médaille d’or en 1998 à Nagano, Karine n’hésite pas non plus à transgresser les barrières des disciplines : de l’alpin au boardercross en passant par le freeride, on a même pu la croiser aux XGames aux côtés des ténors de la discipline (Tanner Hall, Xavier DeLeRue…), faisant d’elle la snowboardeuse la plus titrée de tous les temps. Il faut bien dire que Karine, qui vit toujours dans la vallée de Chamonix, a chaussé sa première paire de skis à l’âge d’un an, son premier snowboard à 11… et se débrouille tout autant avec une paire de piolets, des chaussons d’escalade ou suspendue dans un portaledge. D’une pratique de loisir, l’alpinisme est devenu aujourd’hui l’activité principale de l’ex-championne : membre de l’Equipe Féminine de la FFME depuis quelques temps, Karine s’est cette année brillamment illustrée parmi les 46 aspirants-guides reçus à l’ENSA. Avant de peut-être vous emmener faire un tour sur l’un des glaciers des Alpes, Karine, de retour d’une expé au Pakistan et accompagnée de sa comparse Julie Pomagalski, nous emmènera rider en Bulgarie, sous la caméra de Bertrand Delapierre.


Jeudi 6 novembre : expéditions et Himalaya

Henri Sigayret
Sherpa d’adoption

Grenoblois d'adoption, autrefois ingénieur et enseignant vacataire, alpiniste depuis toujours, Henri Sigayret -Sherpa Sig ou Riri Lama suivant le lieu- a gravi deux sommets de plus de 8000 mètres, trois 7000 et une dizaine de 6000 (notamment l’Everest et l'Annapurna en 1978 avec Yves Morin), dont certains par des voies très difficiles.
Cet explorateur poète et écrivain est un spécialiste incontournable du peuple sherpa. Il s’est aujourd’hui installé définitivement au Népal dont il est tombé amoureux fou, avec sa femme sherpani, la belle Dawa Gyalzen de Penboche (« Danzi »), et leur fils Sonam. Le couple s’y investit sans relâche pour le développement de leur village et du peuple sherpa : lui invente, conçoit les projets, gère les aspects techniques et finance ; elle, recrute les hommes, dirige les chantiers, traduit en népali ou sherpa les mots barbares de la technique du béton… Parmi les projets réalisés, il y a par exemple la création d’une école ou d’une micro-centrale électrique, pour que les enfants puissent étudier le soir et éviter ces interminables corvées de bois qui entraînent les femmes sur les sentiers abrupts et glissants, mais aussi des réalisations plus osées : la construction d'un mur d'escalade en plein Himalaya (le mur de Kakani, petit village perché, à ¾ d’heures de Katmandou) aura certainement fait partie des projets les plus originaux jamais menés au Népal ! Tourné en avril 2008, le film de Christophe Raylat raconte l’histoire de cet homme passionné, qui aura consacré sa vie et jusqu’à son dernier sou à aider ce peuple sherpa.


Vendredi 7 novembre : soirée Lafuma – Alpinisme engagé

Catherine Destivelle
Pionnière des faces nord

Des longues promenades dominicales en famille dans la forêt de Fontainebleau, on peut dire que Catherine Destivelle fut piquée par le virus de l’escalade dès sa plus tendre enfance. Et pourtant, même si à 17 ans elle « bouffe une voie par jour » pendant les vacances, Catherine ne se destinait pas particulièrement à une carrière de grimpeuse professionnelle. Au contraire, dès la fin de ses études, elle exerce comme kinésithérapeute et arrête l’escalade pendant quatre ans… jusqu’à ce qu’un ami lui propose un rôle dans un film : il s’agissait tout de même de grimper du 7b+, niveau encore peu atteint chez les filles dans les années 80, incitant Catherine à reprendre l’entraînement. S’ensuit alors plusieurs années de compétition où elle excelle (1ère femme à atteindre le niveau 8a), mais ne s’y sent pas tout à fait à sa place. L’âme d’alpiniste finira par prendre le dessus, avec une première expé à la Tour de Trango (Pakistan) en 1991 avec Jeff Lowe, début d’une longue série d’exploits. Au Dru en solitaire, elle grimpe le pilier Bonatti, ouvre une nouvelle voie dans la face ouest, et réalise, toujours en solo et en hivernale, le triptyque des grandes faces nord des Alpes : Eiger (1992), Grandes Jorasses (1993), sans oublier la voie Bonatti au Cervin (1994). Portée par la médiatisation, Catherine grimpe également plusieurs 8000 (Shishapangma, tentative sur la face sud de l’Annapurna), souvent accompagnée de son ex-mari Erik Decamp, mais préfère définitivement les grandes faces nord alpines ! Un accident en Antarctique en 1996 et la naissance de son fils Victor l’année suivante sonnent conjointement le coup d’arrêt définitif des expéditions lointaines. A 48 ans, Catherine continue aujourd’hui à grimper et à voyager pour son plaisir, et à faire partager sa passion au travers de reportages et de conférences partout dans le monde : le film « Au-delà des cîmes » retrace l’itinéraire de cette femme exceptionnelle.


Témoignages


Luc Jourjon, directeur technique national de la FFCAM
J’aime les Rencontres parce qu’elles renouvellent le genre, dans un esprit convivial de transmission et de partage. Cet évènement se pose comme un acte concret, qui crée une communauté entre les passionnés sans être exclusif. Au CAF, cette dynamique nous plait beaucoup, car nous aimons tout ce qui promotionne la pratique de l’alpinisme.

Bruno Peyronnet, réalisateur
Ce qui me séduit, c’est qu’il n’y a pas d’esprit de compétition comme dans d’autres festivals. Il y a un vivier de films, le réalisateur vient montrer son travail dans une vraie ambiance de convivialité avec le public. Le mot Rencontre n’est pas galvaudé, les soirées sont bien réfléchies en termes de rythme, alors qu’il n’est pas toujours évident de trouver la bonne alchimie entre film et débat.

Rémi Lécluse, rider pro
Sur les deux éditions où j’ai présenté des films, j’ai apprécié l’accueil, le côté où tu ne te sens pas perdu malgré la taille de la salle. Et à la sortie, des gens dans le public viennent te demander des conseils sur les pentes raides tout en fumant une cigarette.

Cécile Thomas, alpiniste et aspirant-guide
Quand je suis rentrée d’expé, j’avais envie de faire partager mon expérience sans trop savoir comment m’y prendre. De la vidéo amateur que j’avais montée, Yves m’a aidée à l’améliorer et en faire quelque chose de « pro ». Aux Rencontres, on attache de l’importance à l’esprit d’un film, et pas seulement aux aspects techniques !

Yannick Ardouin, skieur et expéditionnaire
J’aime bien le côté où on mélange les films pro et amateur : c’est ce qui fait que quelqu’un comme moi peut se trouver sur le même plateau que des pointures de l’alpinisme ! Et l’organisation se fait dans un esprit familial, on retrouve les copains, le bar, la musique, il y a un côté bonne franquette.

Claude Gardien, rédacteur en chef de Vertical
Les Rencontres ont le mérite d’exister ! Des évènements bien construits et fédérateurs sur l’alpinisme et la montagne, et qui en plus s’adressent à tous, il n’y en a pas beaucoup. La programmation est variée, montagne, aventure, ça donne ou ça entretient l’envie d’aller en montagne. Dans une ville comme Grenoble, il y a beaucoup de gens qui ne pratiquent pas l’alpinisme mais qui regardent les montagnes sous leurs fenêtres et qui y sont sensibles.

Pascal Maltherre, directeur des éditions Nivéales
C’est toujours agréable de voir un vrai évènement populaire et qui marche. A Nivéales, nous sommes contents d’être partenaires de ces Rencontres qui rassemblent sur une semaine autant de grenoblois qui s’intéressent à la montagne. Pour moi, ça pourrait même à l’avenir devenir un vrai festival avec une remise de prix.

Evrard Wendenbaum, réalisateur
J’aime le principe de diversité, ça ne cause pas « que » montagne. La réussite est là, les soirées sont pleines, parfois trop, mais avec le Summum cette année le problème devrait être réglé ! Pour moi, les Rencontres sont aussi souvent le moment où je lance mes films, il y a mes potes, ma famille dans le public, je m’y sens chez moi.

Michel Faraut, directeur de la librairie Gaia Store
Pour moi, les Rencontres doivent leur succès à la capacité fédératrice de la Maison de la Montagne et de son directeur, Yves Exbrayat, qui forme un tandem sympa à l’organisation avec Antoine Haincourt. L’évolution est assez incroyable depuis l’époque du CRDP ! Pour nous à la librairie, c’est incontournable d’y être, on peut toucher à la fois le milieu des grimpeurs pro et tous les passionnés de montagne.

Christian Trommsdorff, himalayiste et guide de haute montagne
Malheureusement, je rate souvent les Rencontres… en automne, je suis en expé !
J’aime le principe où c’est gratuit, où l’on peut rencontrer des gens. Côté programmation, il y en a pour tous les goûts, du coup c’est au public d’apprécier la qualité d’un film et de l’authenticité des « aventures » qui sont derrière… Pour autant, un évènement qui fait la promotion de l’esprit montagne et aventure, c’est très positif !

Sam Beaugey, alpiniste et base-jumper
J'aime les Rencontres car c'est le festival le plus complet en terme de choix de films, avec chaque jours un thème différent qui permet à tous les publics de s'y retrouver.
Pour les intervenants comme moi, l'accueil de Yves et son équipe est toujours chaleureux et le public connaisseur : il faut vraiment garder cet esprit de partage des images sans forcément lui accoler des prix ou un concours. On y retourne à chaque fois avec le sourire, et on est sûr qu’on verra des images nouvelles. Alors détendez-vous et allez-y !





La plaquette (.pdf 3Mo) est ici

[Transmis par YE]

B
Brigitte
[152 posts] - Le 30/10/2008 16:57

C'est bientôt !

L
loulou38
[130 posts] - Le 30/10/2008 18:17

oui, tu y vas ?

K
Kayaski
[255 posts] - Le 05/11/2008 13:12

Au programme ce soir, le veloski !!(entre autres courtes projections). Voir ici.
Ca rappellera de bons souvenirs à certains 😉

Manu
- Le 05/11/2008 14:52

J'y étais hier soir pour Autissier et le Dod... soirée mitigée... voir ici manuturlututu.free.fr
Vos avis ?

S
stef74
[424 posts] - Le 05/11/2008 22:39

Sur l'assise du Summun ... no comment c'était mieux la salle de l'année derniere, mais bon pour une soirée gratos faut pas trop en demander non plus 😎
Sur le tractage ... j'ai du passer entre les mailles parce que j'ai rien vu.

Sur les blagues de présentateurs c'est un peu lourd à la fin ... on est d'accord.

Par contre là ou je suis moins d'accord c'est sur les deux "entractes", perso j'apprécie beaucoup de voir des truc 'amateur' au milieux d'image plus professionnel, ca casse un peu le coté élitiste, et je me dis pourquoi pas moi aussi je tenterais pas l'aventure ...

Ensuite sur la profondeurs des debats, vu le temps imparti fallait pas s'attendre à grand choses.
J'avais vu horizon vertical il y a 2 semaine (à Albertville) en version intégral (là vous avez eu droit à 25' sur 52'), qui est à mon gout nettement mieux car la version courte va un peu vite, on l'impression que tout s'enchaine tres vite, on a moins de retour sur ce qu'on vecu les protagoniste (ils ont montré l'action surtout), il c'était suivi d'un debat d'environ 1h nettement plus intéressant ... mais on peut pas concilier 2H de video et un debat interessant derrière sinon ca fini trop tard et au final les gens se lasses.

La prochaine vendredi pour moi (c'est pas la porte à coté quand même 🤢 )

Manu
- Le 06/11/2008 09:30

Steph,

je suis d'accord avec ton analyse. Je pense que les deux "films amateurs" n'ont pas été assez mises en valeur vues leurs positions d'interludes dans la soirée. Leurs points de vues sont tout aussi importants mais n'ont pas été mis en valeur.

Le festival veut peut-etre trop en faire, trop en montrer. Ce n'était à mon sens pas le cas dans les éditions précédentes. Cela n'empêche que j'apprécie bien ces soirées...

A
agnes
[95 posts] - Le 06/11/2008 10:36

Certes certes certes!
La critique est facile....
Il ne faut quand même pas oublier que cette année, toutes les soirées ont lieu au sumum ce qui permet à un plus grand nombre de venir à un festival GRATUIT!!!!!
Alors ok, on est mal assis!
Ok les présentateurs sont un peu lourds!
Ok les débats sont pas profonds (d'ailleurs il en me semble pas avoir lu quelque part que les Rencontres du cinéma de Montagne de Grenoble était des soirées débat... mais j'ai sans doute mal lu... 😮 )
Moi je dis bravo car tout le monde (même les bébé de 3 mois qui braillent et les petits garçons qui donnent des coup de pied à la personne de devant parce que eux du haut de leur 3 ans... ils en ont marre d'être ici.....) peut venir voir de bien belles images, de gens plus ou moins amateurs, de gens plus ou moins professionnels, et de nous faire rêver!

Alors bon on critique tout ça, mais le public lui..... il part avant la fin et ne prend pas le temps de rester applaudir tous ces protagonistes qui sont venus nous faire découvrir leurs images et nous faire rêver...

Merci pour cette soirée (de mardi soir pour ma part)


Juste une petite question en passant : qui paye cette salle pendant 5 soirs de suite?

davidl
[544 posts] - Le 06/11/2008 10:48

agnes a dit :qui paye cette salle
Ben Destot non? qu'est-ce qu'on ferait pas pour 3000 électeurs

Manu
- Le 06/11/2008 11:15

Oui la critique est facile... mais pourquoi ne pas proposer quelques améliorations... 😉

Moins de films par soirs et plus de profondeur par exemple. Certaines années ont été très riches de ce point de vue... n'en faisons pas trop mais de la qualité.
Exemple, quand on annonce la fin à 22h30 c'est normal que les gens sortent à la fin du dernier film à 23h... 😮
Et puis ce n'est pas compliqué de cibler des questions plus intéressantes que "alors ces gros skis pour faire du plat, pas de regret ?". Je veux bien que l'on rigole de ces expériences, mais à mon sens il y aurait beaucoup plus à retirer sur ces beaux défis qui forgent des femmes et des hommes, brouillard ou pas. 🤨

B
bruno_G
[431 posts] - Le 06/11/2008 12:01

DavidL a dit :Qu'est-ce qu'on ferait pas pour 3000 électeurs

Ah oui, c'est très mal de faire des festivals gratuits et ouverts à tous, bouh la vilaine manœuvre politicienne ! Ah ces salauds, qu'est-ce qu'ils feraient pas pour récupérer des voix...

Et si plutôt on se réjouissait que la municipalité propose ce genre d'évènements, sans y chercher forcément un calcul politicien ? Il existe peut-être (sûrement ?), mais dans ce cas, dès qu'une mesure populaire est prise, c'est mal ?

Je dis cela indépendamment du bien ou du mal que je pense de Destot.

Jeroen
[13052 posts] - Le 06/11/2008 14:04

Je note certaines remarques exacerbés ! Si vous y étiez, et que vous prenez la peine de vous exprimer ici, c'est que vous trouvez la manifestation intéressante, donc merci de vous exprimer !

Vous savez pertinemment que rien n'est gratuit, et que les choses sont toujours intéressées (vous faire plaisir par exemple 😉), mais là n'est pas la question.

La question est de savoir si la formule telle qu'elle est proposée vous convient, car même si c'est "gratuit" on peut/doit en attendre certaines choses.

Évidemment que ces rencontres sont perfectibles (ne serait-ce que les fauteuils du summun 🤢 ), le but de cette discussion devrait être de faire remonter les choses que vous avez aimé, vos attentes, pour contribuer à l'évolution de ces rencontres. Soyez respectueux des personnes qui fournissent un gros travail pour vous offrir ces soirées. C'est avant tout une histoire de passion.

Je peux vous dire que vous êtes lu au plus haut niveau, et que ce que vous dites aura forcément un impact sur les futures rencontres. La critique est attendue, oui, mais soyez constructifs et étayez vos remarques !

K
kikou
[169 posts] - Le 06/11/2008 15:13

Jeroen a dit :Je peux vous dire que vous êtes lu au plus haut niveau, et que ce que vous dites aura forcément un impact sur les futures rencontres.


Yes we can ...change .... les fauteuils of the summum for 2009 😄

Manu
- Le 06/11/2008 15:17

Oula, il va falloir nuancer. 😉 Aucun soucis.

En aucun cas je ne souhaite dénoncer cette belle manifestation. Je me permets seulement de remonter des remarques personnelles qui n'engagent que moi. Cela fait plusieurs années que je participe à ce festival. Je l'apprécie et souhaite qu'il se poursuive, bien sûr. 🤭

Saluons avant tout la très belle chance que nous avons d'avoir un tel festival à Grenoble. Toute chose étant perfectible, une orientation vers le public averti me semblerait préférable. 😜

Une plus grande salle comme celle du Summun ne doit pas induire une baisse du niveau du festival, surtout vues les invités de marque que nous avons la chance d'avoir. Bravo à l'équipe qui se charge d'une telle organisation !

A suivre... ce soir par exemple. 😉 Pour le reste, chapeau.

M
mathieu91
[72 posts] - Le 06/11/2008 17:48

Pour les sièges du summum, suffit juste de se mettre en bout de rangée pour étendre ses jambes vers les escaliers 😉
Moi elles me plaisent bien ces soirées en tous cas 🙂

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