Je veux dire un grand merci à l'équipe de Data Avalanche.
Les alertes,les infos avalanche,les conférences,tout ça c'est vraiment super.
A propos des conférences,j'espère que les webinaires persisteront même après la fin de l'épidémie.
J'aurai bien fait ce merci sur leur site mais j'ai pas trouvé de lien de contact.
Par contre,je sais qu'il y en a de l'équipe qui traîne sur ST 😜 😜
En cette saison un peu particulière on trouve plus d'informations nivologiques via Data Avalanche que sur le BRA.
Merci pour ce travail et pour le partager.
+1
pour Mr duclos : h**p://duclos.transmontagne.pagesperso-orange.fr/ ou courriel ou profil sur skitour
Effectivement l'outil d'observation des avalanches et les avancées dans la compréhension des couches fragiles sont intéressants.
Mais n'oublions pas trop vite le BERA ( qui apporte nivologie, météo, vent) et surtout sa lecture qui demande de la méthode pour bien le comprendre et l'utiliser dans la préparation de la course. Dans notre club , nous faisons des formations pour expliquer sa lecture , à partir des méthodes proposées par l'ANENA.C'est absolument clé pour préparer sa course et éviter de se trouver trop souvent en mode vigilance.
PS; il est regrettable que Météo France ne mette pas plus en avant ses méthodes, mais c'est une administration!
Météo France fait beaucoup d'agregation de données notamment des stations de ski, ça ferait lourd de publier tout cela.
Data avalanche a un côté plus recherche universitaire
donc merci aux 2 et pourvu que cela dure
Data Avalanche , je suis d'accord est un outil universitaire, qui doit être utile pour faire le lien entre la prévision (BERA ) et la réalité.Mais dans quels cas, peut-il être un outil de prévision?
Dans ma compréhension d'amateur de ski de rand, la préparation à la maison est fondamentale pour aller dans des endroits où on progresse en mode détendu et ne pas se faire pièger à raser les murs en mode alerte voire hasardeux.
Cette préparation se fait surtout 1/ avec le BERA tel qu'il est et son assimilation n'est pas si simple 2/ en travaillant son itinéraire 3/ en travaillant nos biais psychologiques
Si on devait aller plus loin:
1/ ne faudrait-il pas renforcer pour l'amateur la connaissance des modèles météo pour anticiper les quantités de chutes de neige et le vent avec les derniers runs des modèles Arome.( le bulletin sort à 16h avec les runs???)
2/ ne faudrait il pas mieux connaitre les limites des méthodes de MéteoFrance pour établir le BERA ( entre recueil des données terrain et leurs modèles numériques)
Après et après seulement, quand on est sur place si possible au bon endroit, commence l'observation du terrain avec la réévaluation du risque nivologique, méthode Cristal ou les autres méthodes de réductions de risques
L'exemple au Col vieux en 2013 donné par Paul Bonhomme lors de la conférence récente sur la méthode Cristal était excellent.Il a bien géré avec de la chance comme il le dit.
Dans ma compréhension, Il me semble qu'il manquait une info: quel était le BERA Français et Italien du Piémont la veille de la traversée du Col vieux pour revenir sur la France? soit il ne l'avait pas ? Soit il était inexact? soit il était exact ? Et qu'est ce qui la conduit à traverser, sachant le renoncement obligeait à 4h30 de route supplémentaire.