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Et quand on passe à l'échelle ça donne ça
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Michel a dit :Et quand on passe à l'échelle ça donne ça
Tout à fait !
Comprendre le principe même des facteurs propice au avalanche très bien .bocoup de montagnard aguerris le savent. Vous n'est êtes pas le seule à vous en inquiétez. Mais ancor et surtout faut t'il en tenir compte. 😄
Enfin des posts intéressants dans lesquels les internautes ne règlent pas leurs comptes! 🙂
Ben ça vous scie un peu le moral....non?
Merci pour la vidéo Alain. En HD sur un bon écran grâce à Youtube on peut ralentir encore plus et c'est très intéressant à voir.
Et puis ça,
C'est comment on déclenche une accumulation due au vent, depuis l'endroit le moins chargé :
youtu.be/maaWSUHZUwQ
... Alors comme c'est un peu prévu que ça se mette à souffler, et que la neige de surface est facilement transportable.. 😉 🤢
Merci Alain pour toutes les infos que tu partages.
J'aime bien la réponse que tu fais à Michaël sur le " souvent " ou tu expliques ta procédure et l'importance du test du bâton.
Pour ce test du bâton ( de mémoire il me semble que tu avais fait une vidéo dessus ) c'est vraiment intéressant de le faire le plus souvent possible non ?
Encore merci à toi et bon ski à tous.
laurent69 a dit :Pour ce test du bâton ( de mémoire il me semble que tu avais fait une vidéo dessus ) c'est vraiment intéressant de le faire le plus souvent possible non ?
oui !
Certes, on ne détecte pas tous les types d'instabilités, mais c'est tellement mieux que de ne pas avoir la moindre idée de ce que l'on a sous les pieds !
Bonsoir,
Je suis depuis quelques années tes tests et bons conseils concernant la neige et ses dépôts. Ces textes ( et ces videos) sont toujours au top. Cela donne une bonne idée de ce qui se passe sous nos pieds.
N'ayant pas du tout ton niveau d'expert la dessus, je me pose ces questions:
- creuser/cisailler a un endroit précis la neige, ne veut pas dire que tout un versant sera de la meme consistante. Cela, tu l'as déjà dit, et c'est bien entendu normal.
- Les exemples que tu montres, tu y a déja passé un bout de temps dessus ( et meme en équipe). Tu as du fragilisé le manteau, mais finalement meme en piétinant le coin, sciant cette neige, rien n'est parti. Un, deux ou 4 skieurs sur ce manteau auraient pu ils faire partir ces couches?
- le vide créé artificiellement dans ces tests procurent une descente libre des couches sans freins naturels. Faites vous des coupes régulières (genre tous les 4/5/10m) dans la meme pente pour imaginer un scénario? La densité/cohésion sur une pente donnée, doit donner d'avantage d'infos que juste sur une seule coupe . ( mais je comprends bien le fait " de sous les pieds" pas du 'sous les pieds 10 m plus bas".
Une autre :
www.youtube.com/watch?v=ouxd2zZOUuc
Ça craint un peu quand même ces jours 😯
Et c'est pas fini 🤢
Oui en effet. Il y a danger comme tu l'explique très bien sûr l'intranet guide 😉
magnifique et très spectaculaire, sauf que je vois des cr dans des versants N, etc.... avec accumulations récentes importantes liées au vent,et souvent(heureusement....)rien ne bouge.D'ailleurs tes test montrent que ,si la fragile est souvent ( toujours) présente, l'ensemble n'est pas vraiment cuit à point et tu es obligé d'aider (un peu !!!!beaucoup)le système pour que s'enclenche la glissade finale.
Or l'accident survient quand c'est cuit à point ;donne nous les bonnes lunettes pour trouver ce clignotant....Ou bien ne dispose t on de rien d'autre que la vigilance accrue: espacements, pentes inf à 30°,choix de la trace,etc...On ne peux pas passer la journée à gratter comme un chien....
merci pour tout
rominet a dit :la fragile est souvent ( toujours) présente
Faux : Essaye de faire des test positifs n'importe où et n'importe quand. Tu verras que bien souvent, ça ne fonctionne pas.
rominet a dit :tu es obligé d'aider
Manque de pente ;-) Et puis ce n'est qu'un test destiné à montrer une situation nivologique particulière.
rominet a dit :sauf que je vois des cr
...
Une notion qui mériterait d'être mieux connue :
"Nombreuses avalanches" signifie "environ 10 avalanches pour 100 km2".
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est issu d'un article de Jurg Schweizer (patron du SLF de Davos), présenté au colloque ISSW en octobre dernier ("Quantifing the obvious: The avalanche danger level")
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