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Il ne lui reste plus qu'à écrire un livre comme celà il pourra se payer du bon matos tout neuf et repartir pour de nouvelles aventures ! 😄
Bon rétablissement ! 😉
Ça Buzz chez Laurent !
Sans lunettes, c'est mieux ?
Un homme qui vous regarde droit dans les yeux
et chez les suisses
ok pas top en geo ces suisses.
Laurent en train d'expliquer qu'est que c'est une plaque avant.
ça y est le Gros est de retour ... 🙁
=-=-=-=-=
Je trouve que Laurent est un grand bonhomme. Il en est surement sorti grandi de cet épreuve que l'on ne souhaite à personne. Pour avoir eu une petite expérience de la sorte (mais bien minime à comparer), je vous laisse imaginer comme l'esprit peut échafauder des plans dans ces situations. Parce que les nuits sont longues.
Imaginez (mais avec le froid glacial en plus) le désarroi d'être cimenté sans pouvoir bouger.
Peut-être y'a t'il une douceur à se voir partir car de baisser les bras, pour ne plus lutter, ne plus souffrir.
laissez lui son 1/4 d'heure tranquille 😎
heu....., pour les photos de ma tronche..... =
1) j'avais prévu -avant cette petite histoire imprévue- à l'issue de 6 ou 8 jours à gambader autour de l'Oule / GLeysin/ Comberousse etc, d'aller chez coup-tif.
Toujours pas eu le temps d'aller chez mon coiffeur-arabe-à 10 euros- service très aimable compris -
2° Les lunettes = le seul truc qui m'a fait vraiment pleurer = perte des bonnes et solides et jolies lunettes de vues dans lesquelles j'avais investi, pour lesquelles je m'étais endetté. Donc en ce moment, j'ai vielles lunettes, verres piqués, et qui tiennent à peine....
Plus sérieux, voici artcile Dauphiné, dimanche 22 mars , édition papier. (Je vous dispense de la Une, où mon histoire (et ma tronche) occupent la + grande place).
Une de mes devises, un de mes cris nocturne (ou diurune) , ça fait du bien !!! = MERDE AUX CONS (mais j'en ai d'autres encore)
docs.google.com/file/d/0B9OHrQMhNJ5ZX0lHZnA2UER0Y2M/edit?pli=1
ouais, 🤣 il ya aussi comme dit + haut les plaques avant, que je connais pas mal.
Plaques arrière, ça existe aussi, ça me rappelle des trucs ! suis débordé, je sais plus trop, mais ça va me revenir... 😉
cadeau pour tous et toutes =
Laurent Montagne , de Montpellier (pas celui de Grenoble ni Voreppe donc) très créatif et varié
j'ai bien rigolé avec lui, à l'issue d'un concert à St Pierre de Chartreuse / Festival Rencontres Brel .On continue encore à se marrer ensemble à l'occasion
www.youtube.com/watch?v=LrlM_5h0-Cg
www.facebook.com/laurentmontagnemusique
www.laurentmontagne.com/
Mes Pas ( by Laurent Montagne)
J’ai remis mon sac en bandoulière
Un vieux blue-jean et des docksides
Moi j’ai encore du monde à faire
Un bout de vous dans mes bagages
Comme compagnon de voyage
Me rend la vie plus légère
Le son de mon cœur sur la route
Guide mes pas à son écoute
J’ai remis mon sac en bandoulière
Un vieux blue-jean et des docksides
Moi j’ai encore du monde à faire
Si ce n’est pour le bout de la terre
J’ai tant d’histoire à découvrir
Au dos des portes entrouvertes
Le son de mon cœur sur la route
Guide mes pas à son écoute
J’ai des kilomètres d’appétit
Vos mises en garde je les confie
Au soin des gens trop raisonnables
Reste à franchir quelques obstacles
La peur joue son piètre spectacle
Derrière les murs on se protège
Le son de mon cœur sur la route
Guide mes pas à son écoute
En tout cas, pour tes lunettes, je veux bien me cotiser avec d'autres pour que tu puisses t'en racheter une paire.
Belle leçon pour tout le monde!
loranger a dit :la solution était toute simple. J'avais tout mon temps pour rejoindre le refuge, qui n'était plus qu' 3/4 heure, dautant plus qu'il faisait météo très douce, incitant à flanerie = ne surtout pas m'engager dans les rails à ce moment là, surtout pas entre 16h et 17h, attendre tranquillement que le soleil ne tape plus
Solution toute simple, moi j'aurais fait comme toi.
Et J'ai déjà vu tomber une coulée énorme qui a coupé la route de la Bérarde devant ma voiture à 22h.
Bon rétablissement.
Pour les lunettes peut être l'opticien ( qui se prend 400% de marge en général) peut les prendre en vol ou casse?
Je vois que l'article Le Parisien n'est plus en accès gratuit. (je vérifie avant d'accorder ITW que le / la journaliste sont des gens corrects.... je vous raconte pas les tentatives grossières d'intrusion, quand j'étais dans le service de réa (durant 3 jours) de non pas journalistes mais plutot paparazzi....
Donc voici article Le Parisien, faiit par 1 grenoblois, qui fait aussi du ski de rand. Une petite erreur dans l'article, = "la Monatgne et vous', l'excellent livre du médecin militaire Xavier Maniguet (décédé dans un crash davion sur l'Etendard, ) Ce livre ne parle pas que "hypothermie", mais fournit infos de base, conseils de bon sens, explications claire sur montagne comme sur rando nature en général.
C' était ma bible dans mes débuts d'apprenti-montagnard . J'appends encore, apprendre ne me gêne pas ,j'adore ça , ( apprendre de qqu'un comme apprendre à qulequ'un)
23h3O= les cachetons vont bientôt faire effet. Bonne nuit et bon réveil à tout le monde. !
Avalanche : "J'ai réalisé que je sentais le début de l'asphyxie", dit un miraculé
Par Serge Pueyo , La rédaction de RTL.fr | Publié le 23/03/2014 à 07h42 | Mis à jour le 23/03/2014 à 14h14 | RTL Week-end
faits divers - environnement
Laurent Greopler, 56 ans, a passé 15 heures sous la neige
Laurent Greopler, 56 ans, a passé 15 heures sous la neige
Crédit : Serge Pueyo pour RTL
DOCUMENT RTL - Après avoir été emporté par une avalanche, un homme de 56 ans a passé une nuit entière sous la neige avant d'être secouru. Ce miraculé s'exprime pour la première fois.
Laurent Groepler est un miraculé. Ce skieur de 56 ans a passé une nuit entière sous la neige, après avoir été emporté par une avalanche. "Je suis un dure à cuir", explique au micro de RTL.
Après avoir passé près de 15 heures enseveli sous la neige, il a finalement réussi à s'en sortir. "J'ai vu vaguement la lumière, j'ai eu l'énergie de repousser une plaque de neige avec mon bras, se souvient-il. C'était impossible de bouger mes jambes, puisque j'avais toujours mes skis aux pieds. Je me suis dit : 'Il faut que tu restes éveillé'. J'ai gardé mes mains sur le cœur, et j'ai crié : À l'aide !"
Écoutez le témoignage de Laurent Groeple. >www.rtl.fr/actualites/info/environnement/article/avalanche-j-ai-realise-que-je-sentais-le-debut-de-l-asphyxie-dit-un-miracule-7770681389
www.leparisien.fr/reactions/informations/j-ai-senti-que-je-m-asphyxiais-23-03-2014-3698189.php
Laurent Groepler : « J'ai senti que je m'asphyxiais... »
Laurent Groepler, 56ans, est resté bloqué pendant quinze heures sous une avalanche dans l'Isère. Il raconte comment il s'est organisé pour survivre.
Serge Pueyo | Publié le 23 mars 2014
Voreppe (Isère), hier. Laurent Groepler a passé la nuit du 13 au 14 mars prisonnier de la neige. Voreppe (Isère), hier. Laurent Groepler a passé la nuit du 13 au 14 mars prisonnier de la neige.
Pour les sauveteurs de la CRS Alpes qui l'ont secouru la semaine dernière, cet homme est un miraculé. Laurent Groepler, un randonneur à ski de 56 ans originaire de Voreppe (Isère), est resté bloqué quinze heures sous une avalanche. Sans doute un record. Après sept jours d'hôpital, il raconte pour la première fois son incroyable aventure, évoque les réflexes et la force mentale qui lui ont permis de résister toute une nuit, par des températures négatives, dans son piège de glace. Tout commence le jeudi 13 mars, vers 17 heures, dans le massif de Belledonne (Isère), alors que Laurent Groepler tente de rejoindre seul, à ski et sans téléphone portable, le refuge de l'Oule, à 1 836 m d'altitude.
« Il faisait beau et très chaud. Lorsque je suis passé dans un couloir très exposé au soleil, je ne me suis pas méfié. Pourtant, tout était réuni pour qu'une avalanche se déclenche. Alors que je montais, j'ai entendu un bruit au-dessus de moi. Et j'ai vu la coulée arriver. En une seconde, j'ai décidé de me mettre face à la pente avec mes skis, pour essayer de surfer sur l'avalanche et éviter d'être enseveli. Cela a marché quelques mètres, mais ensuite, sous la poussée de la coulée, je suis tombé et j'ai été recouvert par la neige. Quand l'avalanche s'est arrêtée, j'ai senti que je commençais à m'asphyxier. Heureusement, je n'étais pas sous trois mètres de neige. Je devinais la lumière du jour. J'ai alors eu l'énergie folle de repousser avec mon bras le bloc de neige qui était sur mon visage. Et j'ai pu respirer à nouveau. J'ai ensuite dégagé le haut de mon corps avec ma seule main droite, celle qui n'était pas bloquée. Je me suis servi de mes doigts comme d'un piolet. Il fallait aller vite car la neige se compactait. Cela a été un terrible effort. Impossible de dégager mes jambes car j'avais encore les skis aux pieds, mes gants et mon bonnet étaient dans les poches de ma polaire. Je les ai récupérés difficilement.
» La nuit a commencé à tomber. Je me suis dit : Tu dois rester éveillé pour ne pas tomber dans un coma hypothermique. Il devait faire - 1 ou - 2 degrés. Je tremblais de tous mes membres. J'ai réussi à mentalement stopper ce phénomène pour garder de l'énergie. J'ai adopté un rythme, un automatisme, pendant quinze heures d'affilée. Je m'autorisais deux minutes d'ensommeillement. Et après un léger mouvement de mon corps pour éviter l'engourdissement, je poussais un grand cri dans la montagne : A l'aide ! J'avais totalement la voix cassée. Avant, j'avais lu le livre d'un médecin militaire, le docteur Maniguet, qui donnait des conseils pour lutter contre l'hypothermie. Je m'en suis inspiré et j'ai gardé en permanence mes mains sur le coeur, pour le protéger. Je savais aussi que des randonneurs allaient certainement emprunter cet itinéraire le lendemain matin. Il fallait donc tenir. C'était la pleine lune. Cela m'a aidé à tenir car j'ai suivi l'avancée de la nuit. Quand la lune était au-dessus de ma tête, je me disais : Tiens, il est 1 heure du matin. Quand je l'ai vue disparaître, j'ai pensé qu'il était 5 heures. Et je me suis dit : C'est bon, mon pote, accroche-toi, le jour est bientôt là. »
La délivrance est venue vers 8 heures : « J'ai entendu des randonneurs parler, j'avais peur qu'ils ne me voient pas. J'ai rassemblé mes dernières forces pour secouer un bras. Ils sont venus me dégager. J'ai ensuite été héliporté à l'hôpital de Grenoble, en hypothermie, mais sans gelure. A l'arrivée, ma température était de 32,5 degrés. Aujourd'hui, j'ai encore des douleurs. Mais rien de grave. Tout le monde dit que je suis un miraculé. Je dirais plutôt que je suis un dur à cuire et que j'ai eu les bons réflexes. »
Laurent,
je sais que ca n'apporte rien au débat, mais je me demandais qque chose en voyant ce récit et ces photos...je me demandais si ce n'étais pas toi que nous avions croisé au parking, au départ...Nous étions 2, redescendions du pertuis, après une plaque partie au refuge de l'Oule et un "embarquement" en haut du pertuis pour cause de plaque aussi...tu partais seul faire une traversée de belledonne, avec pour premier objectif de dormir à l'Oule...nous avons échangé qque mots sur le parking en début d'après midi....notamment pour savoir s'il y avait du bois au refuge!! 🙂
Si c'est bien toi, nous avons eu "plus de chance" parceque mon coéquipier n'a pas été enseveli au pertuis....en tous cas le coin était décidément pas favorable...si ce n'est pas toi, mes excuses, et quoiqu'il en soit, bon rétablissement...
mick38 a dit :(...)
Pour les lunettes peut être l'opticien ( qui se prend 400% de marge en général) peut les prendre en vol ou casse?
encore un qui a tout compris... Peu-être faudrait-il s'informer autrement que par Capital ou 60 M de Cons-ommateurs ?
(mais ce n'est pas le sujet)
Pour tes lunettes, pense à ton assurance, elle t'en remboursera une partie.
Aucun souci , David .... !
😉
Tu parles du lundi , sans doute , jour initial de mon "expé de flemmard" ??? Dans ce cas, oui, c'était bien moi, et me souviens de vous 2.
Initialement, j'avais l'intention de rester basé 2 nuits à refuge de l'Oule, puis de rejoindre un autre terrain de jeu que j'adore, + isolé, le chalet du Merlet, et d'aller là-bas, 2 ou 3 jours après, en passant par Col Morétan.
Le lendemain, mardi, je suis allé à ce col , chargé ..... = j'y ai posé sous une pierre, sac plastique, avec petit mot "réserve bois pour refuge du Merlet", sac qui contenait aussi 5ou 6 bonnes bûches .
Car j'avais entendu dire qu'il n'y avait pas de bois au Merlet. En général, il y a énormes rondins de bois déposés en hélico par commune/ asso d'Allevard, et en général je dois passer 2 jours à dégager ces grands rondins de la neige /glace, car souvent les gens ne pensent pas à rentrer 3 ou 4 rondins à l'intérieur, avant les grosses neiges.... ni quand ils consomment ce qui a été mis à l'intérieur.
Chalet Merlet bcp plus ptit que l'Oule, qui devait très probablement être quasi entièrement enfoui sous la neige....
Et donc, le mardi, je fais 1ère dépose de bois au col Morétan, (puis, je me régale de la moquette à la resdecente, je monte aussi le Gleysin et retour à l'Oule) pensant remonter le lendemain le Morétan, avec mon gros et lourd sac, afin de basculer ensuite au refuge Merlet.
J'ai changé d'avis le mercredi matin = gros coup de flemme ! J'étais tellement bien à l'Oule !!!! Et au desssus, j' avais largement de quoi m'amuser.... et en plus, à l'Oule, j'avais du boulot à finir = dégager au maximum de la neige-glace les 2 ou 3 dernières grosses buches qu'il y avait.
J'en profite pour dire astuce à tout le monde .
Les gens ont pu constater que autour du refuge Oule, tout est resté propre, malgré ma longue présence .
1) ça fait longtemps que pour le PQ, j'ai trouvé cette solution = je le brûle.
(moi qui suis fumeur, - du moins fumeur encore pour quelques semaines ) j'ai toujours 1 briquet dans ma poche, et au moins 1 "briquet de sécurité" dans mon sac.
2) à l'Oule, il y avait un grand seau plastique. Le soir, je mettais une première couche de neige dedans, le matin, je m'en servais comme chiotte, une nouvelle couche de neige par dessus.... nickel ! après, j' avais plus qu'à balancer ça dans le ravin devant l'oule....
C'est tout pour ce matin !
car suite de mon planning de ce matin (levé à 6h30 malgré les cachetons, et avec jambe de meilleure humeur ce matin) =
* RDV kiné , .....,
* faut que je déniche un papelard pour mon organisme HLM, ....,
* faudrait que je m'occupe enfin !de remettre la main sur ma derniere ordoannance et facture lunettes -
Remerciez de ma part aussi ma voisine de palier HLM, qui m'a prêté un vase pour y mettre jolies fleurs qu'on m'a offert
Mais va falloir , + tard , que je vous cause du site REFUGES-INFO, de l'usage et du service que tout randonneur ( à ski ou non) devrait y faire.
BONNE JOURNEE!!!!
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