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@president effectivement le post de jeff etait positif,mauvaise lecture de ma part.merci de me le signaler.
nico a dit : Et l'hiver , vous les citadins vous etes bien content que je monte un mec des telecom en moto neige pour reparer un relais et que vous puissiez utliser votre 3G.
Il n'y a pas que des citadins sur skitour mais aussi des personnes comme toi qui vivent à l'année en montagne.
La loi, et le bon sens autorisent bien évidemment l'accès ( motorisé ) aux services publics, aux travailleurs en montagne ( bergers, forestiers, ... ), et aux ayants droits légitimes ( propriétaires, ... ) dans le cadre de leurs activités, rien de plus normal
Il n'y a pas de gloire à ceci, ni motif à en justifier les dérives par ailleurs
La même loi prévoit de nombreuses exceptions, mais pas celles de voir des "hordes actuelles" de quads et autres engins sur roues ou sur chenilles ravager les espaces naturels, pour leur simple plaisir à eux
certes, je conçois que labourer une prairie ou un sentier en tournant la poignée de droite est jouissif ... mais reste totalement injustifiable ... et illégal en France
Merci bianchi, malheuresement pas beaocoup persones pensen comme toi a l Andorre, a la catalogne, et a l espagne. Mais je voldrais croire que qui on france
Bonjour,
Pas de quoi, Trappeur... et merci Président pour la mise au point, c'était effectivement dirigé contre tous ces emm... motorisés, quel que soit l'engin utilisé dans la nature, et je précise bien "dans la nature" (et pas sur les routes faites pour ça).
Je ne vois pas comment Nico peut justifier ses ballades en trial par la nécessité pour un technicien ou un sauveteur de se rendre en altitude pour accomplir une mission de service public: va falloir m'expliquer ça un peu mieux! N'oublions pas que le principe d'égalité conduit à ce que ce qui est permis à un doit l'être à tous...
J'invite à cet égard chacun à s'interroger sur ce paradoxe (apparent): pourquoi les mesures de protection de la nature sont-elles pratiquement toujours venues de l'extérieur (CAF, services centraux de l'Etat pour les Parcs Nationaux par ex, ou "urbains") et ont dû affronter les résistances des "locaux", prétendument (mais faussement) bien placés pour défendre leur environnement (ce schéma s'est vu quasiment partout: St Christophe en Oisans, Parc national des Ecrins, parc des Calanques, extension des stations de skis en Maurienne, etc...)?
De là à dire que les locaux sont les moins bien placés, car soumis à des contraintes économiques (non nulles je le concède), il n'y a pas loin (désolé pour eux). En tous cas, ça demande de la prudence: "local" n'est pas (nécessairement) égal à "défenseur de la nature".
Bonne journée,
Jeff
Les locaux ? ... C est la consanguinité ! 😄
Si les lois sont respectées, oui, il y a de la place pour tout le monde!
Des pistes carrossables ouvertes à la circulation, ou pourquoi pas les pistes de ski en dehors des heures skieurs?!
Mais lorsque des véhicules à moteur utilisent des voies non ouvertes à la circulation
( mardi 1er Mai: 2 motos enduro descendaient en toute impunité le GR9, entre le col de Mirmande et Buis les Baronnies; j'étais à vtt. Je les ai attendues à la séparation piste carrossable-GR pour les laisser passer en espérant qu'il continuent la piste, d'autant plus qu'il ne restait que quelques centaines de m de GR pour rejoindre Buis, mais non ils ont pris le GR malgré le petit signe interrogateur montrant la piste que je leur ai adressé! Après la pluie de la nuit j' vous dis pas les traces laissées par leurs roues AR! Encore qu'ils n'avaient pas l'air particulièrement excités de la poignée droite!
Je n'ai pas eu le réflexe de sortir l'appareil pour mémoriser les immatriculations et envoyer les clichés en marie et gendarmerie)
Pourquoi un tel mépris des autres, sans parler des réglementations!
On pourrait partager l'espace naturel en respectant un minimum les lois et les autres usagers, en laissant toujours la priorité au moins-nuisant, au moins rapide!!...
Jeune j'ai eu une moto et même si avec l'âge et la conscience de la situation de la planète je trouve cela ringard, je comprends que ce soit un plaisir, une passion respectable, à condition de l'utiliser sur des terrains autorisés!
Hélas c'est trop souvent la loi du: "moi d'abord!" et je me fous des conséquences. Il est donc obligatoire que les règles soient imposées de l'extérieur afin de préserver ce qui peut encore l'être!
Les photos c'est pour la gendarmerie et la mairie,...la Marie elle s'en fout, mais vous aviez compris!!!
Mince, c'était le 29/04, pas le 1er/05!
Si les modos peuvent regrouper ces trois messages, ou corriger mes 2 erreurs! Merci à eux.
bien triste tout ça
une plainte ( ou une main courante ) en gendarmerie est toujours œuvre utile, mieux si accompagnée de photos, car motive au bout du compte l'autorité de police et de justice de faire ( de rares ) action répressive sur le terrain ...
ce sont les mêmes décérébrés qui plaident pour eux mêmes la " tolérance" et " le respect d'autrui" avec l'air sérieux et convaincu ce que le lobby motoreux leur a appris à réciter ...
Vous me faites bien rire avec votre objectif "0 moteur" dans VOTRE espace de jeux. Je sors ma moto d'enduro de mon garage ce week end. 3 heures de sortie dans des petits chemins techniques, et aussi des GR, mais pas de pistes, aucun plaisir sur ce genre de terrain. Bilan de ma journée, 7 litres d'essences consommés. Combien en avait vous consommé pour monter faire votre sortie ce W.E ?
Arretez de croire que vous êtes les seuls sportifs à utiliser correctement l'environnement qui vous entoure, nous en reparleront le jour ou sera crée des itinéraires obligatoires pour les skieurs de randos, avec interdiction de sortir de la trace. Et delation à la gendarmerie pour ceux qui osent braver la loi
Pour info, ces dernieres années, une grande partie des chemins disparaisse, l'interdiction à tout bout de champs en ai la cause principale.
maT a dit :Pour info, ces dernieres années, une grande partie des chemins disparaisse,
...et en une fraction de seconde une plante alpine qui aura mis des années à pousser de quelques cm, va disparaître du paysage par la faute d'une moto dite verte 🤢
La plante aurai poussé dans les chemins?, et survecus au randonneurs et VTT'istes ?
"'Je sors ma moto d'enduro de mon garage ce week end. 3 heures de sortie dans des petits chemins techniques, et aussi des GR" etc bla bla bla "
que voilà un digne représentant de la confrérie des motoreux
un décérébré de plus
qui doit adhérer à l’ineffable Codever, vous savez, ceux qui défendent la soi disante "moto verte" ... et se peignent en vert, et comptnte leurs litre de gas oil pour se justifier
tout en massacrant sans vergogne l'espace naturel, les sentiers ravinés, labourés, la faune la flore qui n'a qu'à aller se mettre à l'abri
sans parler du mépris affiché par rapport aux autres usagers, promeneurs, riverains, bergers ( attention, certains répliquent avec un flingue ... )
et l’irrespect grossier de la loi
coût de la chose
tribunal correctionnel
1500 Eu d'amende par infraction
voir plus qi destruction d'espèces protégées, etc
saisie du véhicule
peines annexes ( parties civiles, etc )
si je savais joindre des pdf au post, je vous citerai bien des exemples
en voilà un ( tout récent ), pour le quel outre la plainte du procureur, les associations régionales et nationales se portent partie civile
Marquer le territoire. » C'était l'un des objectifs affichés hier par le lieutenant Thierry Ortiz, à la tête de la communauté de brigades du Luc-Gonfaron. L'opération, baptisée « BioMaures », ciblait la réserve naturelle nationale Plaine des Maures. Soit un territoire de plus de 5 000 hectares autour du lac des Escarcets, bénéficiant d'un statut unique dans le département. Cet espace concerne les communes du Cannet-des-Maures, de la Garde-Freinet, de Vidauban, des Mayons et du Luc-en-Provence.
La création de la « réserve naturelle nationale » (1) remonte à 2009. Depuis cette date, la Plaine est protégée par un arsenal réglementaire. L'enjeu : la préservation d'une faune et d'une flore riche et singulière, dont la tortue d'Hermann est l'un des symboles.
Une mission interforces
À site exceptionnel, moyens exceptionnels. Hier, des 4x4, des motos et l'hélicoptère de la gendarmerie ont été déployés sur le terrain souvent pour faire de la prévention, parfois de la répression, en présence de Danielle Drouy-Ayral, procureur de la République à Draguignan, qui a délivré les réquisitions permettant aux officiers de faire ouvrir les coffres des voitures.
Dans leurs missions, les militaires étaient accompagnés par Concha Agero, gestionnaire du site, et des responsables ou représentants de trois polices de l'environnement (2).
Une trentaine d'hommes et de femmes répartis en cinq patrouilles mixtes ont ainsi sillonné le site classé, avec l'appui de l'hélicoptère et d'une patrouille du peloton de surveillance et d'intervention de la gendarmerie (PSIG) de Draguignan.
Un 4x4 pris en flagrant délit
Les infractions les plus courantes touchent à la circulation.
Les automobilistes n'hésitent pas à braver les panneaux de signalisation en s'engageant sur certaines pistes réglementées, voire carrément à faire du tout-terrain. Un constat a ainsi été dressé à l'encontre d'un militaire espagnol, résident varois, qui s'amusait à dévaler au volant d'un 4x4 des dalles de grés, support d'une faune (lézards ocellés) et d'une flore (des orchidées sur le point de fleurir) fragiles. L'individu risque des poursuites pour dégradation de l'habitat naturel d'espèces protégées. Pour cette même raison, les responsables du site déplorent aussi la pratique du quad et autres motos tout-terrain.
Hier de nombreux promeneurs ont été rappelés à l'ordre. Les chiens non tenus en laisse - dont l'un pataugeait dans le lac des Escarcets - ont été relativement nombreux. D'autres personnes ont été invitées à se débarrasser des végétaux prélevés (seuls les consommables - aromates, champignons - sont tolérés dans des quantités raisonnables).
Au total, une petite dizaine de PV ont dressés. Le nombre d'infractions est moins élevé que lors de la précédente opération de ce type, le 11 novembre dernier. « Le message est en train de passer, se satisfait Concha Agero. Le but n'est pas d'interdire l'homme dans la réserve, au contraire on veut le maintenir. Il s'agit de respecter la nature telle qu'elle est. »