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Accueil > Tous les forums > Neige & avalanches > Quel est le profil type "à risque ?"

Quel est le profil type "à risque ?"


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S
stef74
[424 posts] - Le 15/10/2009 13:47

En farfouillant le site de l'anena j'ai trouver une stat intéressante.
On comparant le nombre d'accident randonnée et HP

Saison 2008/09
Activités Accidents Accidents mortels Décédés
Randonnée 31 12 20
Hors-piste 28 9 10

Saison 2007/08
Activités Accidents Accidents mortels Décédés
Randonnée 22 10 14
Hors-piste 9 3 3

Saison 2006/07
Activités Accidents Accidents mortels Décédés
Randonnée 23 9 12
Hors-piste 27 5 5

Saison 2005/06
Activités Accidents Accidents mortels Décédés
Randonnée 33 18 21
Hors-piste 60 24 26

Difficile de tirer des conclusions ... mais excepté en 2005/2006 le risque d'y passer en rando est nettement plus grand. Aussi bien sur le nombre gobale, que le risque de décédé suite à un declenchement (plus de gens supris à la monté avec des vetements light peut être)
Donc le mythe du chevelu décérébré en prend un coup ...

En HP c'est globalement 1 mort par accident ... en rando c'est moins vrai (distance de securité non respecté ...)

Phil'Ô
[1651 posts] - Le 15/10/2009 14:05

Pour en revenir à la question du boss.

Je ne pense pas qu'il y ait un profil type..., car cela voudrait dire que certaines catégories sont plus exposées que d'autres. Or on constate que les accidents impliquent aussi bien les randonneurs très expérimentés (guides) que les novices.

Le premier danger ne vient pas de l'homme (pour une fois 🙄 ), mais de la nature qui masque le danger objectif, qui le rend peu lisible voir parfois totalement imprévisible 🤢 (qui peut se targuer de deviner où se trouvent réellement les plaques à vent, et si elles vont partir 🙄 )

En revanche, certains dangers peuvent être lus ou prédits (chute de neige avec vent par exemple), là alors la nature humaine reprend l'ascendant sur le facteur déclanchant de l'accident, et l'humilité de certains en regards à d'autres fera la différence...

Différence qui peut être fatale 🤭

Disons que personnellement j'essaye de ne pas prendre de risque objectif, mais que je réalise souvent en prendre de manière subjective 🤭

S
squal
[3072 posts] - Le 15/10/2009 14:18

Sympa ces infos Stef.

Par contre je pense qu'on ne peut pas négliger certaines choses ou remarques.

1- En dehors de l'année 2007/2008 le HP et ski de rando c'est même combat en accidentologie. Par contre le nombre de décès est moins grand. Ne serait-ce pas dû aussi au fait que les secours sont plus proches et donc rapidité d'intervention... Non négligeable 🙄

2- L'année 2007/2008, c'était pas l'année où il y a eu peu de chute de neige ? Dans ce cas le HP devient moins "tentant" et moins dangereux car pas de poudreuse... Faudrait voir quelles sont les dates des accidents et les conditions (avalanches de fonte ?)

3- Pour les chiffres de 2005/2006 peut-on en conclure que les pratiquants de HP sont plus prudents aujourd'hui ? Je ne le pense pas. Par contre peut-être mieux équipés -> ARVA, ABS, ... Donc c'est un bonne évolution sur le papier, mais pas sûr que la prise de risques soit moins importante !?!

Bref pas de procès vers les "chevelus", mais une chose est certaine, il y a de plus en plus de monde en montagne. Et clair que ça implique 2 choses. Plus d'accidents car plus de monde et surtout une augmentation de la superficie du terrain de jeu car tout le monde veux son petit champ de poudre ou son coin calme. Et donc petite course pour aller choper la bonne neige avant tout le monde 🙄 . Et ça on le fait tous plus ou moins 😉

S
stef74
[424 posts] - Le 15/10/2009 14:25

Concernant l'année 2007/08
(source anena.org)


Répartition par activités

Comme pour la saison 2006-2007, le fait marquant est le faible nombre d’accidents mortels en hors-piste, comparé aux dix-huit saisons précédentes.

On note ainsi trois fois moins d’accidents mortels en hors-piste qu’en moyenne.
Au contraire, pour la randonnée, on constate un nombre d’accidents mortels légèrement supérieur à la moyenne calculée sur les dix-huit dernières années.
Si le nombre d’accidents mortels en alpinisme est égal à la moyenne annuelle (2,4), le nombre de décès (12), du fait de l’accident au Mont-Blanc du Tacul, est près de trois fois plus élevé qu’en moyenne (moyenne de 4,5 décès par an dans cette activité).

En termes d’accidents mortels, c’est donc la faiblesse du nombre d’accidents mortels en hors-piste qui explique le bon résultat général de cette saison.

[...]

Conclusion

à l’image de l’année précédente, la saison d’avalanches qui vient de s’achever est l’une de celles totalisant le moins d’accidents mortels depuis 1989-1990. Mais le seul accident du 24 août au Mont-Blanc du Tacul ramène malheureusement le nombre de victimes à un niveau proche de la moyenne sur les dix-huit dernières années.

Il s’agit donc, à plusieurs titres, d’une année particulière.
D’une part, de manière exceptionnelle, les Hautes-Pyrénées sont le département le plus touché en ce qui concerne le nombre d’accidents mortels. à l’inverse, les trois départements des Alpes du Nord, habituellement les plus concernés, ont un nombre d’accidents mortels deux fois plus faible qu’en moyenne. Mais c’est bien le département de la Haute-Savoie qui totalise cette année le plus grand nombre de décès.
D’autre part, et comme l’année précédente, on remarque un très faible nombre d’accidents mortels en hors-piste, alors même que l’on constatait depuis plusieurs années une tendance croissante pour cette activité.

Une fois de plus, les raisons de cette particularité sont à rechercher principalement dans les conditions nivo-
météorologiques qui ont prévalu au cours de l’hiver, notamment dans les Alpes du Nord. En effet, entre la mi-janvier et la fin février, du fait d’une météo sèche et surtout remarquablement douce, le manteau neigeux a souvent présenté une bonne stabilité, et avec un enneigement qui est devenu déficitaire fin février. Les conditions nivologiques ont donc été durant toute cette période peu favorables à des déclenchements accidentels d’avalanche, et même peut-être tout simplement peu propices à l’activité du ski hors-piste en station, alors que cette période est normalement la plus concernée par des déclenchements provoqués d’avalanches.

S
squal
[3072 posts] - Le 15/10/2009 14:50

Merci Stef 😉
On voit bien que finalement les chiffres c'est une chose et que l'analyse globale permet de recentrer et recadrer. Ca fait juste plaisir de voir que l'on a des gens sérieux à l'ANENA qui ne font pas que paraphraser des chiffres. Chose beaucoup plus rare voir inexistante dans les médias !!!


Dernières choses qui seraient à prendre en compte, c'est :

- le nombre de pratiquants rapporté au nombre d'accidents.
- le fait que le skieur HP évolue dans un domaine sécurisé en partie et surtout le danger potentiel souvent signalé sur le terrain.
- les périodes des accidents et le lieu. On ne peut comparer station et Haute Montagne avec milieu glaciaire...

Bref pas simple de faire un comparatif objectif entre ces 2 activités. Les seules craintes que l'on peut avoir c'est que le skieur de HP arrive en montagne pour faire de la rando avec la même approche que pour faire du HP en station.

Et coûte que coûte, un décès c'est toujours un de trop !

S
stef74
[424 posts] - Le 15/10/2009 15:07

squal a dit :Merci Stef 😉
On voit bien que finalement les chiffres c'est une chose et que l'analyse globale permet de recentrer et recadrer. Ca fait juste plaisir de voir que l'on a des gens sérieux à l'ANENA qui ne font pas que paraphraser des chiffres. Chose beaucoup plus rare voir inexistante dans les médias !!!


En fait sur chaque bilan tout à la fin en tout petit t'a un lien vers un bilan textuel (celui de cette année est pas encore tombé), dommage que ca soit pas mis plus en valeur parce la vrai analyse elle est là ... les chiffre ca reste des chiffre et leur fait souvent dire ce qu'on a envie qu'il nous disent !


squal a dit :
Dernières choses qui seraient à prendre en compte, c'est :

- le nombre de pratiquants rapporté au nombre d'accidents.
- le fait que le skieur HP évolue dans un domaine sécurisé en partie et surtout le danger potentiel souvent signalé sur le terrain.
- les périodes des accidents et le lieu. On ne peut comparer station et Haute Montagne avec milieu glaciaire...


- je dirais qu'on doit atteindre des nombre similaire (enfin c'est qu'un avis personnel).
- Beaucoup de station déclenche des secteurs HP (vague souvenir d'un massacrage à la dynamite au sept laux)
- Tous les accidents sont identifier individuellement sur le site. Un parcours rapide indique que globalement les accident au lieu vers 2000m (2 accident au dessus de 3001m hormis la traditionnel plaque du tacul). Globalement des gens qui ski en Haute-Montagne ne sont pas légion (parce il faut avoir la connaissance du milieu en +)

Les accident ne sont identifié qu'individuellement que depuis
2008-2009
2007-2008

T
tucco
[2105 posts] - Le 15/10/2009 15:38

En reprenant le Bilan provisoire des accidents d'avalanches de janvier à juin 2009 de l'ANENA et en excluant les décès en randonnée raquette, on a :
15 décès en randonnée à skis
BRA 2 : 1 mort ( accidentelle tiers )
BRA 3 : 3 morts dans un groupe de 10
4 morts dans un groupe de 7
1 mort dans un groupe de 3
BRA 4 : 6 morts dont 3 dans un groupe de 3

Pourrait-on en déduire qu'il vaut mieux randonner seul que ma accompagné ? L' importance du groupe est-il un facteur de risque déterminant dans le déclenchement des avalanches ?

K
kaiser38
[565 posts] - Le 15/10/2009 16:17

L' importance du groupe est-il un facteur de risque déterminant dans le déclenchement des avalanches ?

C'est même multifactoriel... :

- Au moment de choisir la course, le phénomène de groupe entraine une prise de risque inévitablement plus grande. On se sent plus en confiance, c'est naturel, le réflexe de peur diminue. On hésite donc moins à sortir même si le risque est marqué et à aller dans un endroit plus risqué.
- Ensuite, dans un groupe il y a tjs un dominant auquel on se réfère. Ce dominant pourra être sage et permettre d'éviter la catastrophe, mais souvent c'est l'inverse et le dominant est confiant (par sa pratique régulière, sa connaissance du terrain...). Il entraine les autres en leur donnant une impression de confiance. Alors que si tu avais été seul, tu aurais rebroussé chemin... C'est le second degré je dirais dans la prise de risque induite par le groupe...
- Enfin, en étant nombreux, on "charge" plus les pentes et le manteau neigeux, que seul (valable pour les avalanches de plaque). Tu augmentes encore donc le risque de te faire piéger, alors que tu as déjà pris largement plus de risque en allant en groupe sur la course et on continuant parce que le "leader" est confiant...
- Aussi, qui dit groupe, dis parfois débutant, ainsi, il est pas impossible qu'un skieur de niveau plus faible ferra moins gaffe au "piège" connus des pratiquant plus chevronné. Il skiera peut être moins léger, reflechira moins à ses trajectoires...

Seul, tu n'iras pas au même endroit, tu prendras moins de risque c'est quasi certain, à moins d'être barge.

J
jihef
[27 posts] - Le 15/10/2009 21:07

L' importance du groupe est-il un facteur de risque déterminant dans le déclenchement des avalanches ?
Sans doute déterminant pour les conséquences de l'avalanche. Un article intéressant qu'il faut lire :
www.anena.org/votre_securite/information_prevention/avalanches_prises_de_decision.html

T
tucco
[2105 posts] - Le 16/10/2009 07:49

Je ne parle pas d' effet de groupe mais de surcharge pondérale non des membres du dit groupe mais de surcharge de la pente : la collective parait être accidentogène et augmenter d'un point le BRA . Ne doit-elle pas être remise en question ?

B
Brize08
[166 posts] - Le 16/10/2009 08:57

Pour en revenir sur le "profil", sur le site de l'anena pour certaines années, ya des descriptifs pour les victimes décédées, par exemple pour 2006-2007:
Profil des victimes

• 18 des 20 victimes (90 %) étaient des hommes, proportion supérieure à celle calculée sur les dix-sept dernières saisons (81,5 %).

• Leur âge moyen est de 37 ans, légèrement supérieur à l’âge moyen calculé depuis 1989-90. Cependant, on constate de fortes disparités d’une activité à l’autre. Ainsi, alors que l’âge moyen en randonnée est de 39 ans (37 ans en moyenne depuis 1989-90), il est de 29 ans en ski hors-piste (32 ans en moyenne).

• 6 des 20 victimes (soit 30 %) étaient d’origine étrangère (2 Suisses, 1 Espagnol, 1 Italien, 1 Finlandais, 1 Britannique). Cette proportion est proche de celle constatée sur les dix-sept dernières saisons (28 %). Mais des différences apparaissent entre les trois activités : en randonnée 2 des 12 décédés (16,5 %) étaient étrangers (proportion moyenne sur dix-sept ans : 16 %) ; en hors-piste 1 des 5 décédés (20 %) était étranger (moyenne : 39 %) ; en alpinisme, les 3 décédés étaient étrangers (moyenne : 42 %).

• On compte trois professionnels de la montagne parmi les 20 victimes (1 guide suisse et 2 jeunes moniteurs de ski).

• Concernant l’origine géographique des 14 victimes françaises, on constate que : 4 résidaient en montagne (20 %), 4 en vallées (20 %), 3 dans le piémont (15 %), 3 en plaine (15 %).

• Enfin, concernant l’équipement des victimes en appareils de secours, on constate que 9 d’entre elles n’en avaient aucun (45 %), tandis que 11 (55 %) portaient au moins un Arva en émission. Parmi ces 11 personnes, 7 disposaient également d’une sonde et d’une pelle (35 %). Il est cependant important de noter qu’aucune des victimes en hors-piste et en alpinisme n’était équipée d’un appareil de secours. Seuls les randonneurs en étaient équipés.

Cette saison confirme le constat fait pour les années antérieures : les randonneurs semblent, d’une manière générale, mieux équipés que les personnes pratiquant le hors-piste.

B
bens
[773 posts] - Le 16/10/2009 11:59

Bof, je suis assez sceptique sur ce qu'on peut retirer de ces statistiques : le nombre des accidents reste (heureusement !) faible et quand on regarde dans le détail il n'y a pas deux cas comparables, tant du point de vue des conditions que du "profil" des victimes.
Il me semble plus intéressant de lire les (trop rares) analyses détaillées, surtout quand elles sont faites à froid par un des membres du groupe concerné; dans ce cas on a au moins une bonne partie des éléments et on peux se poser la question "qu'aurai-je fait à leur place".
Sinon à part respecter les règles de base, avoir une connaissance des méthodes de réduction (qu'on utilise ou pas), se renseigner sur les conditions, s'entrainer sérieusement aux recherches arva et ne pas avoir un coup de malchance !...
Reste l'ABS, l'avoir ou pas, that is the question. Si ça n'était pas si lourd j'aurai déjà investi...

B
bens
[773 posts] - Le 16/10/2009 12:26

jacques sourribes a dit :la collective parait être accidentogène et augmenter d'un point le BRA . Ne doit-elle pas être remise en question ?
Tout dépend de ce que tu appelle "collective" (jamais plus de 5-6 personnes dans mon club) et de la manière dont elle est menée : ça peut être un facteur aggravant si les distances ne sont pas respectées mais, si c'est le cas, ça peut être la possibilité de lancer une recherche arva efficace et immédiate.

J'ai bien aimé l'idée d'un formateur qui était de profiter des différences de vitesse des membres du groupe pour créer de la distance entre eux; les rapides doivent partir devant et n'attendre les lents que dans une zone sure.

Bubu
- Le 16/10/2009 14:12

jacques sourribes a dit :surcharge de la pente : la collective parait être accidentogène et augmenter d'un point le BRA
Ce n'est pas la masse totale du groupe qui fait partir une pente. Une plaque de plusieurs dizaine de tonne n'est pas à la limite de la rupture à 100kg près !

Les facteurs aggravant du groupe :
- Si on monte à le queuleuleu, là oui il y a surcharge locale pouvant déclencher une couche fragile. Mais ce cas est une erreur de base, ça ne devrait pas arriver.
- Avec une bonne distance entre les membres du groupe, la surcharge locale n'est que la masse d'un membre. Du coup avec un groupe, il y a plus de chance d'avoir qqun de trop lourd (ou avec des skis avec trop peu de surface).
- Mais le facteur le plus important est le fait de passer plusieurs fois sur la plaque :
- soit dans la même trace (montée), et le tassement de la neige fini par déclencher la couche fragile
- soit dans des traces différente (descente), et il y a plus de chance de toucher une zone où la couche fragile se déclenche au premier passage. Ou autre cas, si on déclenche la couche fragile à coup sûr mais seulement localement, la surface déclenchée sur l'ensemble des traces peut atteindre la valeur limite.

Le facteur améliorant du groupe : secours immédiats.

OlivierC
- Le 16/10/2009 15:06

🙂 Le profil type du personnage à risque est un(e) skieur(se) qui snif la poudre blanche bien froide quelle que soit l'heure du jour ou de la nuit.

Il est littérallement tombé accro un jour, peut être en suivant des skitouriens ou des Cédeusistes croisés en montagne ou rencontrés sur le web qui le feront sortir de son chemin blanc damé qu'il(elle) n'osait quitter.

Tous les hivers, c'est la même chose, il(elle) ne dort plus, scrutant le ciel attendant la nouvelle poudre blanche.
C'est assurément un bandit, il(elle) fait toujours des hold up...il parait!

La mauvaise poudre blanche l'a emporté plusieurs fois, il(elle) dit que ce sera la dernière fois, et qu'il sera renoncer la prochaine fois...

Il(elle) est devenu dépendant dorénavant de cette activité.

Il(elle) oubli sa peur à chaque fois dés qu'il(elle) chausse ses skis, de toute façon, il(elle) sait où sont les plaques et les évite, il connait la nivo par coeur, il est imbattable sur l'analyse du manteau blanc.
Heureusement, parfois il(elle) a de la chance. c'est son joker! et il(elle) se dit qu'il(elle) lui en restera quelque uns dans sa veste...de toute façon il ne se souvient plus, en fait il(elle) est amnésique. 😯

Pour répondre à la question, nous sommes tous un jour ou l'autre à la limite.
Nous le savons ou nous l'ignorons.
Personne n'est parfait, et l'erreur est humaine.

Il n'y a pas pour moi de profil type "à risque".

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