Aller à la page : 1 2 3 Suivante
Plus que le choix des courses, plus que les comportements ; chacun skie "comme il est". Un oeil exercé pourrait décrypter le langage des corps. Ce à quoi je réfléchis, sans chercher à faire des classifications, pour mieux se connaître et mieux percevoir l' autre. Merci de vos avis.
Complètement vrai, mais comme ça l'est aussi dans la plupart de nos activités "physiques". La descente est peut-être un peu plus parlante que la montée. Pour ma part, même si je skie seul la plupart du temps, je suis toujours très agressif (agressif sur la neige et cool avec les skieurs 🤣 )C'est comme ça, je ne peux pas m'en empêcher 🙂 et surtout, j'aime ça.
Skiez comme vous êtes !
Moi je prendrais deux chamchaudes et un coca !
Jourblanc a dit :Plus que le choix des courses, plus que les comportements ; chacun skie "comme il est". Un oeil exercé pourrait décrypter le langage des corps. Ce à quoi je réfléchis, sans chercher à faire des classifications, pour mieux se connaître et mieux percevoir l' autre. Merci de vos avis.
Je ne comprends rien à ton texte. Les idées sont mal exprimées et confuses, la ponctuation est mal placée.Pour autant, c'est un sujet très intéressant qui mérite réflexion.J'aime bien le passage "un oeil exercé pourrait décrypter le langage des corps". C'est très vrai.
Un ski "agressif" en rando ? Quézako ?! Faut qu'on m'explique !
Finalement, le titre de cette discussion se suffit à lui-même: oui,clairement, notre façon de skier nous révèle. Que l'on soit un perfectionniste ou un esthète, un rêveur ou un poète, nos prédispositions intellectuelles et/ou physiques guident nos choix, déterminent nos aptitudes à passer du statut de skieur moyen à celui de bon, voire de très bon skieur.Notre rapport à ce sport influe notre pratique, selon que l'on considère la discipline comme un simple moyen de déplacement, ou un prétexte pour se dépenser physiquement dans la nature , ou encore, un moyen d'expression comme la danse ou la musique.Poussé à l'extrême, c'est un moyen de s'affronter, de se mesurer dans des disciplines de compétition qui nécessitent des qualités d'adaptation à la vitesse,voire de "dons" ou de capacités innées (glisse, touché de neige, trajectoire, etc).
simboula a dit :Je ne comprends rien à ton texte. Les idées sont mal exprimées et confuses, la ponctuation est mal placée.
Ha ha ! et toi, tu skies comment ? 😄
Moi je suis souvent très en arrière sur mes skis, sans doute le signe que je préférerais être ailleurs. Mais du coup il m'arrive souvent de partir tête baissée en avant (généralement accompagné d'une accélération suivie d'une chute). Une autre face de moi-même que je ne sais pas analyser. Si un psy passe par la... 🤣 🤣
à lire sur ce sujet, le très chouette ouvrage de Thias Balmain : La Glisse intérieure. Bonne découverte en attendant le retour du soleil.
Merci de vos avis. Suite de ma réflexion: Bien sûr, notre morphologie, nos aptitudes physiques et notre technique influent sur notre façon de skier.
Le ski est un mode d' expression comme la danse . La discipline peut être maîtrisée, parfois codifiée, mais l' "être" se révèle toujours.
Jourblanc a dit :mais l' "être" se révèle toujours.
Bref, même en rando on ne peut plus protéger sa vie privée ... 😠
Jourblanc a dit :
Le ski est un mode d' expression comme la danse .
Il n'y a qu'à voir l'effet qu'exerce une musique sur des images d'un skieur de très bon niveau. Elle sublime la technique qui devient chorégraphie.
La musique influe très positivement sur la technique. Évoluer sur une piste avec un fond sonore diffusé par une sono (événements particuliers, slaloms, etc) exacerbe les sensations et pousse le skieur à se dépasser et donner le meilleur de lui-même ! 🙂
A partir d'un certain stade, la musique devrait être obligatoire dans l'apprentissage du ski 🤣
En parlant de danse, la pratique du telemark est intéressante, je pense...
C'est pareil pour tous les sports où il y a un peu d'engagement !
On sent qu'on atteint ses limites , on cesse de progresser ,on se pose des questions , on regarde les autres , quelquefois on est envieux , quelquefois on se prend pour kakou , on se sent vieillir puis un autre jour on se dit que l'on a encore de bonnes années devant soit !
Et quand on est satisfait de sa journée on se dit qu'une bonne bière ça va le faire ! 😉