Sommet : Rocher de l'Homme (2755 m)
Orientation : T
Dénivelé : 1680 m.
Difficulté de montée : F
Difficulté ski : 3.3 E2
Pente : 40°/200m

Parking au village sur les emplacements dédiés.

Au col de Roche Noire, garder les peaux pour traverser à flanc en direction de l'épaule SO du rocher de l'Homme (col évident). Descendre le couloir du Rocher de l'Homme (40° sur 200m, Nord). A la sortie du couloir, bifurquer à droite dans la combe menant au col de la Mine de Fer. Rephoquer pour l'atteindre. Au Col, garder les peaux et descendre 50 m en dessous de la face N du Sommet Colomb avant de remonter à la brèche de Roche Fendue.
Descente par la face NE de la brèche de Roche fendue. Se diriger ensuite vers l'E (grand goulet) à la sortie duquel on ira au S pour rejoindre la forêt et le sentier ramenant au Rivier d'Allemont. (Itinéraire de descente décrit dans le topo "Brèche de Roche fendue depuis le rivier d'Allemont)

Course variée, avec un niveau d'ensemble et un dénivelé (du fait de son fractionnement) très abordables.
(1400m -> Roche Noire, 150m -> Mine de Fer, 150m -> Roche Fendue)
Le Col de Roche Noire présente souvent une grosse corniche sur sa face NE qu'on peut contourner par la droite ou franchir par une faiblesse

1. Tour des 3 officiers , Tour par le col 2594m et Roche fendue (1500 m, ski 3.3, T)
Suivre l'itinéraire du col 2594m, puis descendre sur le versant opposé. 10m à pied (étroit), puis 30m à 40°. Descendre et traverser à droite dès que possible pour rejoindre le replat 2462m. Traverser encore direction Nord sous le col de la Mine de Fer. Remonter au col et suivre le cheminement Roche Fendue et descente sur le Rivier.

Valable jusqu'au 25.04 en soirée
Indice de risque faible évoluant en limité.
Risque Accidentel : Rares plaques en Nord de haute montagne.
Risque Naturel : Départs dans la neige récente qui s'humidifie en journée. Rare avalanche de fond.
Résumé : Départs spontanés : Départs dans la neige récente qui s'humidifie en journée. Rare avalanche de fond. Déclenchements skieurs : Rares plaques en Nord de haute montagne.
Stabilité : HUMIDIFICATION DE LA NEIGE RÉCENTE, ET RARES PLAQUES RÉSIDUELLES EN NORD DE HAUTE ALTITUDE. Départs spontanés : - Peu probables au lever du jour avec le bon regel nocturne, puis la reprise de l'humidification de la neige récente dans les versants au soleil ainsi qu'à moyenne/basse altitude dans toutes les orientations, favorise le départ de quelques avalanches de neige humide. Généralement de taille 1, plus rarement de taille 2. Les départs sont le plus souvent ponctuels en forme de "poire", notamment près des rochers. - Par ailleurs, en secteur fissuré / pente herbeuse / dalles rocheuses, une rare avalanche de fond emportant la totalité du manteau neigeux ne peut être exclue à toute heure, mais avec une période de prédilection entre l'après-midi et la soirée. Taille 1 à 2, et plus rarement de taille 3. Déclenchements provoqués : - Au dessus-de 2400/2600 m environ et dans les versants Nord où la neige récente est restée froide, de rares plaques pourraient encore subsister à proximité des crêtes, généralement peu épaisses et de plus en plus difficiles à déclencher avec le tassement qui se poursuit et qui favorise leur stabilisation progressive. - Partout ailleurs, le principal risque pour le pratiquant est plutôt de faire "couler" de la neige humide sous les skis dans une pente réchauffée, en évoluant par exemple à un horaire trop tardif.
Qualité : Qualification de l'enneigement : L'enneigement est déficitaire pour la saison sur Belledonne. Skiable à partir de 1800 m en Nord, 2100/2300 m en Sud. Peu de sous-couche sous 2000/2500 m selon les orientations. Qualité de la neige : Neige lourde et humidifiée à basse et moyenne altitude, ainsi qu'en versants d'un large Sud/bien exposés au soleil à plus haute altitude, pouvant être croûtée au lever du jour (surfaces glissantes) puis s'humidifiant à nouveau en journée. En Nord pentu au-dessus de 2500/2700 m environ, la neige récente tombée en nuit de mercredi à jeudi peut être restée assez légère et poudreuse, bien qu'en cours de tassement. Vers les hautes crêtes, cette neige a pu être davantage durcie, soufflée ou travaillée par le vent.