Balade au Galibier

Montée jusqu’au monument = croutée (couteau indispensable)

Monument -sommet 2826 m = poudre tassée

Descente sur refuge du Galibier = dure les 50 premiers mètres puis poudreuse ***

Remontée sur les crêtes = croutée (couteau indispensable)

Descente depuis les crêtes = poudreuse ***** à l’Est du point 2644 m

Montée roche Olvéra = Transformée

Descente jusqu’aux Granges = pas suffisamment transformée sur le haut (trop tôt) puis  **** 

Montée au col du Galibier = poudreuse (parfois tassée)

Descente du col  à la voiture = croute infâme 

Les travaux au chalet ont bien avancé avec Manu et le parquet est terminé.

Pour fêter cela, une bonne sortie pour terminer la semaine avant de rentrer à Lyon ne peut pas nous faire du mal.

L’idée de trouver encore de la bonne neige est le leitmotiv.

Nous partons donc vers le sommet sans nom  2826 m avec assez rapidement les couteaux sur cette neige croutée. A partir du monument henri Desgranges où nous ferons un petit pèlerinage, la neige sera plutôt d type poudreuse tassée jusqu’au sommet. Nous imaginions basculer sur son versant Nord mais le vent violent nous refroidit et nous préférons partir vers le soleil et donc la Roche Olvéra (certainement plus protégé). Nous profitons d’une belle descente jusqu’au refuge du Galibier. La remontée jusqu’aux crêtes est croutée mais une belle surprise nous attend derrière ; après une petite traversée , nous nous laissons porter par nos skis  dans la descente sur une neige poudreuse vierge ***** avant de rejoindre d’autres traces sur les Pré Gelé et les Granges. Le secteur est à l’abri du vent est c’est une bonne chose.

Nous remontons au sommet de la Roche Olvéra en compagnie d’un groupe de jeunes bien sympa. Nous en profitons pour manger (toujours à l’abri du vent) avec un panorama de carte postal (voir photo).

La descente se fait sur une neige pas encore bien transformée sur le haut mais nous trouvons notre bonheur un peu plus bas.

La remontée au col se fait tranquillement et lorsque nous rejoignons la route, la trace de montée est carrément coupée  (un ratrak est passé dans la semaine)=> voir photo

Au col, un vent de folie nous accueille. La descente sera un vrai calvaire sur une neige croutée glacée (avec le vent, la neige n’a pas décaillé). Dommage car la journée s’était franchement bien passée jusque là.

A la voiture et après un bon périple, les sourires sont bien présents. 

On va bien dormi ce soir, c’est sûr.