A force de déconner, ça va sévir

Vinchy a dit :Et c'est surtout qu'en début de saison, la plupart des départs hauts côté Belledonne sont en station !
Sinon faut porter un peu, ça fait pas de mal et on est souvent bien plus tranquille...

nenessed a dit :
Entre un randonneur qui monte et un skieur à l'arrêt je ne vois pas trop la différence

moi si, Dans le code du ski, les skieurs sont censés s'arrêter dans une zone visible. Un randonneur à ski peut être n'importe où.

davidg a dit :Dans le code du ski, les skieurs sont censés s'arrêter dans une zone visible. Un randonneur à ski peut être n'importe où.

Un skieur alpin peut aussi se boiter et donc être à l'arrêt n'importe où. 😉

Jeroen a dit :On sent l'auteur un brin énervé certes, mais se placer au dessus de la mêlée fait rarement avancer la cause.

Oui j'avoue j'étais un peu énervé sur le coup, moi aussi je remonte les pistes en avant saison pour les mêmes raisons que tout le monde, souvent c'est la que tu touche le moins. Et même domaine ouvert je comprend qu'on descende par la piste. Mais pour rester sur les 7 laux, y'a tellement moyen de monter en dehors de la piste, et de descendre par. Quand t'a que la mataru d'ouverte, t'a toute la face de roche noire par laquelle tu peux monter, mais t'a aussi le chemin qui monte à la base de l'eterlou ...
Bref tu peux monter à coter et descendre par la piste, tu sauve tes skis et tu ne risque pas les accidents.

Et je rebondi sur le fait que monter c'est comme être à l’arrêt. Du coup non, si tu es tout seul ça s'en rapproche et effectivement on peux te comparer à un skieur accidenté derrière une bosse. Mais quand c'est un groupe qui monte, qui se retrouve en intérieur de virage (et pas forcément en file indienne), et qui se dis que passer à l’extérieur ça serait mieux pour la visibilité, ça te fait une belle chenille qui traverse la piste, et ça, ça craint.