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Bonjour à toutes et tous,
Je vous espère en pleine santé en ces temps féroces.
Juste pour signaler, promesses de l'hiver, la sortie de "mon" dernier livre : l'Art de la Trace aux éditions Transboréal.
Il y est question de cette chose essentiellement inutile qui nous réunit tous ici. Skier les montagnes.
En espérant vous revoir bientôt, sur ce sol blanc et libre de mouvement.
A bientôt,
Cédric Sapin-Defour
PS : je voulais joindre la photo du livre à ce message mais je n'y parviens pas. Avis aux tuteurs numériques...
je voulais joindre la photo du livre à ce message mais je n'y parviens pas
Ce n'est pas sorcier 🤣
EAN : 9782361572860
ISBN : 978-2-36157-286-0
ISSN : 1956-0666
Je vous en prie. Quelque chose pour Noël ... si les librairies rouvrent
Idées de cadeaux :
1 ) Pouvoir faire une trace quelque soit son style. 'Même en dos crawlé'
Après la trace dépend beaucoup du matériel. (en light c'est en général plus raide)
''Il y est question de cette chose essentiellement inutile qui nous réunit tous ici. Skier les montagnes.''
On peut avoir un petit résumé plus étoffé ??? Traces physiques, immatérielles ...
Sur le net j'ai trouvé cela :
Une fois transfigurée par l'hiver, sublimée par la neige, la haute montagne devient inaccessible. Seule la randonnée à ski permet alors de s'y aventurer et, partant, d'éprouver tout ce qu'une excursion dans un monde absolument vierge peut offrir. Le ski de randonnée est d'abord un ski de liberté : à l'inverse du ski alpin qui se pratique sur des pistes damées, ne s'agit-il pas de créer son propre itinéraire, de vagabonder par ses propres forces entre terre et ciel ? Et, de surcroît, sans rien laisser d'autre derrière soi qu'une trace éphémère ? Contrairement à l'alpiniste qui prend d'assaut le sommet, le randonneur à ski n'entreprend pas une ascension sportive mais un véritable voyage, coûteux en efforts certes, mais en osmose avec la montagne et le grand mystère blanc. Parmi les récompenses de cet engagement : une communion avec le milieu et, bien sûr, de sensationnelles descentes comme aucune station de ski n'en permet. Plus qu'une simple pratique, l'art de naviguer parmi les neiges ouvre une trace, et celui qui l'emprunte en revient purifié.
Ça donne envie, même si que depuis l'apparition des skis light pas trop d'accord avec ""coûteux en efforts""
Et si le but était de laisser le moins de trace possible pour que chacun trouve sa trace.
En tout cas le prix est très très contenu.
On attend que le livre sorte.
Si le livre sort et qu'il soit impossible de faire de trace on appelle cela la torture.
Il doit être possible de l'acheter ici:
www.transboreal.fr/boutique.php?code=TRAPPTRA
Si le livre traite de '' chose essentiellement inutile'' cela ouvre la curiosité.
a+
Il est dispo en précommande chez decitre (et probablement d'autres) à petit prix.
Et merci à l'auteur d'avoir posté ici sinon je ne l'aurais pas su... étant donné le plaisir que j'ai eu à lire (et relire) ses Espressos, j'achète sans me poser de questions !
Merci Zeb !
Oui, il est disponible chez tous les libraires ou sur le site de Transboréal.
A bientôt en montagne.
Pourquoi contrairement à l'alpiniste?!! Le skieur de randonnée est souvent un alpiniste...
Totalement d'accord. Il s'agit du communiqué de presse des Editeurs sur lequel je ne suis pas du tout intervenu.
Il est question d'alpinisme bien sûr, aussi.
Hello
Précommandé. Par contre sur le site TRANSBOREAL la livraison représente 37% du prix du livre. Peut être essayer de diminuer ce prix en optimisant ces livraisons quitte à augmenter la durée. On n'est pas à un jour près (il faut attendre le 20/11)
Bon alpiniste, randonneur, skieur alpiniste, poète des montagnes… souvent le randonneur a une paire de crabes dans le sac donc il passe en alpiniste… Hâte de lire ce que sont ces ‘’choses essentiellement inutile’’ …..
A+
J’espère que ce ne sera pas écrit trop petit pour ne pas avoir à mettre les lunettes 🙂
La plupart des librairies disposent désormais du livre. Il est possible de le récupérer, après commande, directement auprès de votre libraire ou de vous le faire envoyer avec des frais de port offerts ou réduits.
Bonne lecture et merci.
Re bonjour,
En France les librairies sont fermées, j'ai pu le précommander sur un gros site.
Par contre pas livré avant le 20/11. Pas grave on va attendre.
Question le livre va t il arriver avant la neige ?????????? pas trop de neige en vue ...
a+
J'aime bien le titre
A défaut de faire sa trace en ski , c'est aussi un art de vivre , vivre sa vie ..
L'art de la trace, c'est
# je marche dans les traces de mon père#
# la où il y a la volonté il y a le chemin#
# tirer un point a l'horizon et tirer droit#
#ne pas dévier malgré les eceuils#
Et dans cet état de confinement , je pense aux prisonniers, mon dieu la privation de liberté , que ça doit être dure ...
Je ne sais pas si je tiendrais le coup.....
Bonjour,
@Yves
Les prisonniers effectivement 9 M carré comment peut-on vivre ? Mais il y a une différence la prison c'est là suite à un délit et la prison a comme rôle, efficacité, de faire comprendre à la personne emprisonnée que ce qu'elle a fait nuit à la société.
Dans le cas des 1 km, à priori les montagnards ne sont pas la cause de l'emballement de l'épidémie et le faite de rassembler dans 1 km tous les habitants est illogique est contre-productif.
Petite pensée aussi pour les animaux en cages même pas pensable et imaginer un animal comme un loup tigre même dans des parcs animaliers cela pose question.
Après je ne sais pas si pour un animal qui n'a connu que cela si c'est plus facile ????
Bilan ce n'est pas surprenant que liberté soit ce qui est écrit en premier sur les maires.
a+
balto38 a dit :.
Sur le net j'ai trouvé cela :
Une fois transfigurée par l'hiver, sublimée par la neige, la haute montagne devient inaccessible. Seule la randonnée à ski permet alors de s'y aventurer et, partant, d'éprouver tout ce qu'une excursion dans un monde absolument vierge peut offrir. Le ski de randonnée est d'abord un ski de liberté : à l'inverse du ski alpin qui se pratique sur des pistes damées, ne s'agit-il pas de créer son propre itinéraire, de vagabonder par ses propres forces entre terre et ciel ? Et, de surcroît, sans rien laisser d'autre derrière soi qu'une trace éphémère ? Contrairement à l'alpiniste qui prend d'assaut le sommet, le randonneur à ski n'entreprend pas une ascension sportive mais un véritable voyage, coûteux en efforts certes, mais en osmose avec la montagne et le grand mystère blanc. Parmi les récompenses de cet engagement : une communion avec le milieu et, bien sûr, de sensationnelles descentes comme aucune station de ski n'en permet. Plus qu'une simple pratique, l'art de naviguer parmi les neiges ouvre une trace, et celui qui l'emprunte en revient purifié.
C'est beau ça ! c'est de qui ?