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bens a dit :Sur la question des moyens, on peut se poser la question de savoir si c'est à la sphère publique de payer pour nos loisirs.
Si un modèle payant pour de l'info nivo plus fine et plus fouillée existait, je serais prêt à y contribuer.
C'est une lecture partielle de consommateur d'espace que tu fais là, mais c'est un biais bien normal, je te rassure... bien d'autres ont besoin de prévisions fiables, les services des routes, les communes, bien entendu les gestionnaires de parcs d'att.... de stations de ski, les services techniques gestionnaires d'infrastructures (lignes, barrages, eau potable...), des boites diverses et variées qui interviennent en milieu montagnard, etc.
Le skieur de rando n'est évidemment pas au premier rang des préoccupations, par contre bien gérer les PIDA ou prendre des décisions sur l'ouverture de routes, ou savoir si tu envoies tes équipes bosser sur le terrain ou non, c'est autrement plus impactant et préoccupant...
Paul a dit :il va falloir également renforcer notre capacité à comprendre ce qui se passe en montagne
C'est évident et ça a toujours été comme ça. Le risque 2 c'est : à l'échelle du massif, le risque est limité à quelques pentes (le bulletin essaie de nous les décrire, mais ce n'est pas toujours très clair ni précis). Si on se trouve en haut d'une de ces pentes, on est seul pour arriver à la reconnaître; et descendre cette pente est aussi risqué que de descendre n'importe quelle pente par risque 5.
bon les coupes du manteau neigeux c'est du "ponctuel", je me vois mal faire ça en sortie....
mais c'était instructif!
quant à signaler ttes les avalanches sur le net il faut être équipé pour et ce n'est pas mon cas!
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