Une question qui me taraude.
On est d'accord que le BRA est fait en grande partie avec les données recueillies auprès des pisteurs des stations.
- Ces pisteurs passent l'hiver à déclencher, donc à détruire les couches fragiles et les accus.
- En montagne, hors des classiques surfréquentées où les randonneurs déclenchent tout, les couches fragiles, les accumulations restent bien en place
Conclusion : au bout d'un certain temps, nivo en station et nivo en montagne devraient être divergentes, non ? comment les nivologues concilient les 2 ?