deux petits liens, deux points de vue fort différents pour un sujet pas simple, mais à ne pas nier non plus
www.outsideonline.com/fitness/Climbings-Little-Helper.html?page=all
www.wengerna.com/blog/doped-on-a-rope-peds-the-olympics-and-climbing/
Saucisson et un coup de Monbazillac de temps en temps, c'est de la dop ???
Merci pour les liens et pour la possibilité de réfléchir à ce phénomène.
La première histoire est dramatique. Trop de confiance en son médecin et en soi-même. Il me semble que le seul responsable de ma santé c'est moi-même et que je me fais assister par un médecin en cas de souci.
Dans le cas du dopage on est hors-jeu à tous les sens du terme.
Il y a beaucoup de dopage dans le sport amateur, il n’est que de voir combien de participants déclarent forfait quand un contrôle est annoncé.
Le jusqu’au-boutisme de certains fait la part belle à cette tentation. Si on va en montagne pour se sentir fort pourquoi se droguer ?
De tout une équipe de trekkers en himalaya, je suis le seul à avoir refusé le Diamox parce que ça allait bien. Je précise que la majorité des participants étaient des médecins spécialistes du mal aigu des montagnes. Tous ont décidé de prendre un médicament au cas où.
Comment puis-je être sur de ma décision d’aller au sommet si les réactions de mon corps sont modifiées ? Où est alors ma responsabilité ?
Sans médicament, si ça va tant mieux, je vais au sommet et c’est très beau. Si ça ne va pas, c’est montagnard dans l’esprit, j’ai donné le meilleur ce jour-là et je peux revenir seulement si je fais demi-tour.