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pynson a dit :c'est vrai que Stéphane Brosse a été un peu coupé dans son élan ! alors que ce qu'il racontait était plutôt important.
mais quand on regarde, l'édition n'a pas durée très longtemps.
En tout cas ils ont eu le mérite d'interroger des personnes compétentes notamment en rando et pas des guignoles.
Coupé ! nooooooooooooooonnnnnnnnnnn 😉
Je ne suis pas sur que ce qu'il disait (sortir en risque 5) soit bien assimilé par tout un chacun. Il est préférable de taire quelquefois certaines informations quitte à ce que les randonneurs l'apprennent par expérience bien plus tard.
Très intéressants reportages.
Trés bonne initiative. Juste un truc : le snowboarder blond dans le rôle du djeun's inconscient, c'était peut être un cliché de trop.
Merci pour le lien! (pour ceux, qui comme moi, ne sont pas en Rhône-Alpes).
Je pense que ça pourrait même passer au niveau national...
Pour avoir regardé aussi le reportage plus particulier avec François Sivardière (ANENA), je regrette que le temps imparti soit limité.
Même si ses réponses sont plus que correctes, il n'a pas le temps nécessaire pour donner les règles de bases.
Point de vue personnel
salut tout le monde,
J'ai vu le reportage et l'ai trouvé intéressant et nuancé. Quelques idées en vrac :
- Stéphane Brosse a pas mal insisté sur la formation, qui doit commencer par celle des jeunes, notamment grâce aux clubs. Dommage qu'on ne l'ait pas laissé parler plus longtemps.
- L'intervention de François Sivardière (merci de respecter son orthographe) était également intéressante, bien que courte. La saison semble particulièrement délicate par formation de nombreuses couches fragiles et l'absence de long redoux... cf. le résumé de la saison sur www.meteofrance.com/FR/actus/evenement/article.jsp?docid=21601
- Les propos du directeur des pistes de Tignes étaient plutôt cohérents, mais on sentait un manque de maîtrise sur ce que font les gens : "Les gens vont vers les hors-pistes dès que les remontées mécaniques ouvrent.". Il a posé quelques problèmatiques intéressantes...
- Le récit de Shashahani et Maraval sur l'avalanche de Côte-Belle était bien détaillé. La "catharsis" opérée par la fait de vivre un accident semblait évidente pour la journaliste, alors qu'en fait Shashahani continue à parcourir la montagne, peut-être avec un regard nouveau... Personnellement, j'ai vécu deux déclenchements de grosses plaques, et ça m'a fait mûrir sur la nivologie et les prises de risques en ski de rando.
- Le matériel de sauvetage (ARVA/pelle/sonde) a bien été abordé tout en insistant sur le fait que ce n'est pas une assurance-vie.
- On a senti un décalage pour les skieurs hors-piste interviewés et les skieurs de randonnée, mais est-ce le cas en réalité ? C'est peut-être vrai dans le sens où le randonneur choisit sa course, son orientation, etc. alors que le skieur hors-piste choisit la belle pente qu'il voit depuis le télésiège... Le surfeur interviewé, qui dit qu'il aime prendre des risques, ça fait "cliché" effectivement mais n'est-ce pas fréquemment le cas ? Je n'en sais rien...
- Le reportage était un peu trop court pour approfondir les interviews, c'est également dommage...
- C'est un manque de formation qui transparaît bien globalement dans le reportage, essentiellement sur la gestion du risque, au sein d'une société qui infantilise de plus en plus les gens... Et c'est ce qui plaît aux randonneurs à ski, cette forme d'autonomie qui consiste à assumer ses choix...
- Je trouve dommage qu'on n'ait pas insisté sur le fait que même les professionnels se font prendre (surtout cette année). Aller avec un professionnel n'est pas une garantie de rentrer sans dommage à la maison...
bon ski,
Alexandre
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