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Accueil > Tous les forums > Divers montagne > Le Mont Blanc seul : ce qu'il ne faut pas faire

Le Mont Blanc seul : ce qu'il ne faut pas faire


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mick38
[474 posts] - Le 13/06/2012 21:42

Par mick38

Suite à une discussion sur le forum à propos du Mont Blanc, j'ai décidé d'écrire cet article pour les candidats qui seraient tenté par l'aventure du "solo".

Les 3 Monts et la face nord, c'était mon but depuis plusieurs années.

Avant

La dizaine de copains avec qui je sors étaient motivés et me demandaient de les enmener.
Cette année, je me décide donc à faire cette face nord en poudre qui trône dans mes WC depuis quelques années. Sans me préparer spécialement, je n'arrête pas la saison en avril comme les copains grimpeurs et je continue à faire quelques beaux 3000.

Le créneau météo c'est le samedi ou le dimanche. Le mercredi je réserve le refuge pour le vendredi soir pour 4. Mon épouse, qui me suit partout, a tellement galéré ( froid, MAM) lors de notre 1° au mois d'avril 2007, ne voulait plus y retourner.

Les copains, ils ne sont plus motivés malgré mes appels. J'essaie de contacter des coéquipiers via skitour. Ça ne marche pas vraiment (les solitaires y vont par la 1° benne, d’autres partent le samedi) mais un autre groupe de surfeurs OURIENS y va et je pars seul pour le refuge des cosmiques par la dernière benne du vendredi (16h).

Au refuge

Même pas un autre solo comme moi sur les 150 personnes au refuge. Pas fous les gars ! Si je rencontre 3 Ouriens (avec qui j'avais échangé autour d'une couse exceptionnelle en chartreuse) avec qui je converse un peu et je retrouve les surfeurs avec qui j'avais échangé sur le Net avant de partir. Bizarre de se retrouver seul au milieu des groupes (le gardien est méfiant). Je dine avec 2 australiens qui sont montés pour l’acclimatation (mon anglais ainsi leur français sont très limités). Pour la 1° fois je suis seul dans un refuge bondé, BOF, si on peut éviter.

La montée


Je ne pars pas avec le premier réveil et je monte avec les diverses cordées dont beaucoup d’alpinistes pédestres.
Pas de problème l'itinéraire est tracé et il y a au moins 100 personnes
Montée à ski au début, à pied depuis le milieu de la face Nord du Tacul jusqu'au mur de la côte, puis de nouveau à ski+couteaux jusqu'au sommet.
Montée que je trouve facile sauf les derniers 300m où je tire la langue, mais normal.
Je reste 1h au sommet en polaire, pas de vent.
La descente

Je n’ai pas trop envie de descendre seul au milieu des crevasses alors je demande à un groupe « on descend ensemble ? » et on descend à 6 et en doublant un couple dont la fille est morte de trouille.
Neige très dure et irrégulière dans des parties à 40°, ce qui interdit la chute. Dire que j’avais rêvé de poudre ! bien content de ne pas être seul de chez seul au milieu des séracs de 150m de haut ( bien que si ça tombe !). En dessous de 4000 => moquette 5*, un régal.
Quels enseignements en vrac:

• Partir seul que si vous avez un bon fond avec plusieurs sorties à plus de 3500 où vous vous sentiez bien et un mental habitué à faire des solos, car vous risquez de vous retrouver bien seul.

• Si on est seul partir par la 1° benne du matin et ne s’occuper de personne, mais on est à la bourre pour la descente ( jonction, traversée sous aiguille).
• Le refuge c’est la réussite assurée et vous verrez bien par chance il y aura un autre solo, sinon il faut vous attendre à vous retrouver seul et là ce n’est pas rigolo.
• Ne pas compter sur skitour pour trouver un coéquipier au pied levé.
• Sinon prendre contact bien avant et faire 1 ou 2 sorties ensemble avant pour voir le niveau.
• Ne pas compter nouer contact avec un groupe pour la montée, la différence de niveau de mental et de forme risque d’être trop difficile à gérer ( soit vous êtes le boulet, soit vous allez rater votre course)
• Choisir le 2° départ réveil 2h30. Le 1° à 1h30 c’est pour les alpinistes piétons qui font l’aller retour ou rentrent par Vallot. Vous risquez de vous trouver le premier au sommet et de descendre avec de la neige non revenue.

• La montée : et vous avez un problème de MAM qui va vous en sortir ? (ça peu arriver tout d'un coup aux meilleurs)
• Au col de la Brenva c’est l’hécatombe pas mal de gens sont au plus mal MAM, il est possible de faire ½ tour mais la descente du Maudit sera à faire à pied et si pas de corde fixe.

• Vous croyez en arrivant au sommet trouver un groupe qui descend la face Nord?. Attention peu de candidats, il n’ ya pas foule qui fait la face Nord et veulent ils prendre le risque d’avoir un pépin avec vous ?
• La descente interdit toute chute sauf celles des monstrueux séracs de 100m de haut qui vous surplombent. Inquiétant et on est pressés d’en sortir et même à 6 on ne traine pas, bon mental nécessaire si vous êtes seul.
• Attention aux crevasses en dessous de 3500 et surtout dans la jonction (si on part à la 1°benne du matin c’est pire) voir photo de la sortie 28941.
• Attention à la traversée sous l’aiguille exposée aux avalanches de fonte ( depart 1°benne encore ).
• Mais bien que ce soit très fréquenté, que le portable passe beaucoup mieux qu'au fin fond de la Chartreuse ou du Queyras, cela reste un sérieux cran au dessus de la course moyenne. Il n’ ya que 1450m mais ça fait mal.
• En tous cas ce jour là c’était le top! Le créneau de l’année car le dimanche jour blanc !
• Bien que seul, j’avais tout le matos de glacier ( corde 30m, broches, poulie mini-traction….) ;tu ne va pas jouer l’incruste et compter sur les autres.
• Un dernier truc en préventif: pour éviter l'arrivée du MAM et ses maux de tête, j'ai pris 1gr d'aspirine à l'arrivée au refuge et 1gr au matin, et pour dormir au refuge un stylnox.

6 mois après je me dit que j'ai eu de la chance de rencontrer les 5 gars avec qui j’ai fait la descente, j'aurais moins apprécié la descente en solo intégral.


Commentaires (Afficher/Masquer)

» mick38, le 27.01.11
On m'a reproché le titre initial de l'article trop prétentieux: "Solo au Mont Blanc, récit et enseignements" et certains détails ont été enlevés.
C'est vrai qu'on est loin d'un solo dans l'himalaya avec ce jour là 250 alpinistes dans les diverses voies.
ça aura eu le mérite de faire parler les donneurs de leçons de Camp to camp.
Pour voir le récit d'un vrai Solo voir le lien de Jeroen du 30-01.

» Robert, le 27.01.11
Une expérience à la fois différente mais avec des similitudes:
En 1999, je pars avec 3 amis pour le MTB par les Grands Mulets avec derrière la tête l'idée de skier la face N du sommet. Mais eux n'ont pas le niveau à ski suffisant.
Arrivé à Vallot, je prends les skis sur le sac, eux non. Sur l'arrête des Bosses, un peu plus haut une personne avec des skis et dans la face N un skieur qui remonte la face.
Au sommet, je vois qu'il s'agit d'un couple, elle par les Bosses, lui en reconnaissance par la face. Je parle avec lui, il me dit c'est bon, mais il y a un sérac de 3/4m à descendre en rappel (à la montée il est passé en piolet crampons et avec une broche à glace comme 2ème piolet! (il avait un bon niveau!). Je n'ose pas m'incruster et je ne sens pas de descendre seul, je rejoins les 3 copains qui me disent:"Demande lui, au pire il te refuse et c'est ce que tu attends, tu as monté tes skis (extrême vertical + silvretta 404, j'étais plus jeun!)"
Je demande au gars et à ma surprise il me dit OK.
Nous enchainons un superbe descente avec le rappel (épique ) au milieu, ils filent à partir du Gd Plateau et je récupère les 3 copains, nous retrouvons le couple au bar à Cham pour une bonne mousse. Je ne sais toujours pas pourquoi il a accepté, il ne me connaissais pas. C'était un habitant de Bonneville avec une caisse énorme, faut voir comment il enchainait les godilles à 4700m! Sa copine et moi on soufflait tous les 3 virages!
Je le remercie encore.

» gilles 2Lamb, le 27.01.11
ton récit me fais penser une fois de plus à Bruno G
regarde dans les archives du site, il a fait aussi cette descente en solo (car son pote malade resté au refuge), avec belles photos
perso ça fait 2 fois que je me prends un but météo pour le mont blanc à ski, sachant que quand on bosse et qu'on a une famille, c'est pas un truc qu'on improvise, d'autant plus qu'il faut un minimum d'acclimatation, même si on à la caisse
un jour peut etre...

» b08, le 28.01.11
Pour info, des commentaires sur cet article sont postés ici:
www.camptocamp.org/forums/viewtopic.php?id=190055&action=new

» mick38, le 30.01.11
Bruno G? Je ne trouve dans ses archives le Mont blanc.
Un ourien l'avait fait en solo aussi il y a quelques années et c'est lui qui m'avait décidé. Il est décédé à la verte je crois! Vous n'allez pas le retrouver sur skitour.

» Jeroen, le 30.01.11
www.skitour.fr/sorties/mont-blanc,1701.html

» Ambrevetta, le 02.02.11
Mick, merci pour cet article, où tu exposes de manière honnête tes mésaventures.
je suis sûre que ça pourra servir à d'autres.
Quant aux donneurs de leçons de C2C...c'est pas la première fois qu'on les voit à l'oeuvre ;-)

» Floc, le 02.02.11
Le donneur de leçon de C2C, ce doit être moi... c'est marrant d'ailleurs cette fausse gueguerre skitour/C2C...

J'ai réagi sur C2C parce que je ne trouvais pas le moyen de le faire sur skitour à la suite de l'article (maintenant j'ai vu que le lien est en haut et pas en bas).

Je ne cherchais pas à donner une leçon, mais plutôt déjà à montrer cet article qui est un récit vrai et sincère. Je ne le dit pas dans la première réaction, mais je n'aurai pas pointer et citer l'article comme je l'ai fait si je l'avais trouvé inintéressant au possible.

J'ai préféré par contre réagir sur quelques phrases qui vont à l'encontre de l'esprit montagne auquel je me suis fait depuis quelques années. J'ai également réagis pour demander si d'autres aurait fait des choses similaires (solo ski dans des conditions de risques objectifs non négligeable avec notamment des zones de crevasses et de séracs) et pourquoi en sont ils venu à pratiquer ce tel solo.

Essayer de comprendre pourquoi des gens agissent différemment et toujours mieux, à mon avis, que de les rejeter purement et simplement juste par différence.

» Philippe Bocquet, le 02.02.11
Floc : le ton était un peu agressif mais le fond de ta pensée était bon : j'ai réagi aussi sur CtoC : et même après plusieurs lectures je vois toujours beaucoup de contradictions dans cet article

» gilles 2Lamb, le 08.02.11
pour répondre à Floc
j'ai souvenir que dans les années 88-92, quand on faisait des approches sur terrain glaciaire vers des voies de rocher, on était quasi jamais encordé (sauf qd couloir ou mixte)
on est donc passé sur de nombreux ponts parfois fragiles (et pire dans l'aprem sous le soleil...)
rien que d'y repenser ça fait froid dans le dos

» mick38, le 08.02.11
Au cas où vous penseriez que le mont blanc c’est mon premier solo, je vous relate un de mes solos où là j’étais vraiment tout seul.
Un article paru dans vertical en 1996 sur le dôme des écrins depuis la Bérarde me faisait lorgner sur cette course. A l’époque skitour n’existait pas ( les portables non plus) mais c’est cette sortie www.skitour.fr/topos/dome-des-ecrins,205.html
Mon épouse qui m’accompagne presque partout étant partie je décide de me la faire. Je ne connais personne capable de me suivre sur une course de cette envergure.
Pensant que c’est plus sûr en solo je m’oriente pour Roche Faurio ( pas de crevasses pas de rimaye).
En l’absence de mon épouse mes filles me préparent un diner mais que des salades !
Je quitte Voiron après le diner Arrivée à la Bérarde à minuit, je dors dans mon fourgon.
Réveil 4h puis je me rendors jusqu’à 5h passé. Je décolle à 6h, chausse les skis vers 2200.
Personne dans le vallon, mais le col des tracé.
Montée en crampons le plus haut possible dans la neige dans le col des écrins, puis j’attrape le câble et continue en crampons sur le rocher.
Au sortir du col il est 10h, je vois du monde vers le dôme mais à mi pente. J’avais pas bien vu qu’il fallait descendre autant pour aller chercher le glacier de Roche Faurio. Montée en pleine chaleur, je passe à coté de crevasses et la neige est molle. Pourvu que je ne traverse pas un pont. J’arrive au sommet cuit. Même plus capable d’escalader les 2mètres de rocher pour aller au sommet, ni d’avaler quelque chose. Pas de repos, il me tarde de descendre, la neige transforme.
Bonne transfo pour la descente du glacier de Faurio que je n’apprécie pas (fatigue).
Je dois repeauter pour remonter au col des écrins. Grand moment de solitude au moment de descendre sur le câble que je prend main nue par sécurité. La neige est tout en boules mi glacées et je descends à pied un moment pour trouver une neige plus sure. Je chausse mes alti-plumes équipées de lowtech 1° modèle auxquelles je ne fais qu’a moitié confiance. Je sais que le couloir est exposé. Finalement c’est pas si mal et je suis rejoint par 2 skieurs qui ont fait le dôme.
Le reste est plus coll.
Ce qu’il faut faire :
• Manger des pates la veille,
• partir plus tôt,
• un rappel c’est pas du luxe ( je n’avais que 30m),
• le dôme c’est à peine plus de dénivelle ( j’ai tout de même fait 2250) et on a pas à descendre du col.
• C’est tout de même crevassé (dôme plus crevassé mais plus de monde pour vous sortir)

» Ivan, le 07.03.11
ayant vu hier soir le film 127 heures... ta sortie me fait beaucoup rire....

J'ai lu aussi C2C pour voir essayer de comprendre tes motivations... je reste perplexe....

Tu as -ou penses avoir -un gros niveau de ski, puisque tu
es instructeur FFME, tu semble aussi formé aux dangers de la montagne... mais partir seul au Mont-Blanc par les 3 Monts est tout simplement une connerie énorme.

Le titre de ton article :
ce qu'il ne faut pas faire

la réponse :
y aller seul !!!

puisque la FFME t'es familier lit donc ça :
www.ffme.fr/texte/ffme/ski-securite.pdf
et la phrase "ne jamais partir seul"

Des courses sans crevasses ni risque de plaque,
j'arrive à comprendre... mais là haut c'est la pire
course !

sur des itinéraires fréquentés, tu n'es pas seul,
et tu comptes sur les autres pour te sortir des crevasses et des avalanches...
Mais, que feras-tu au fond d'un pot, la tête en bas avec ta corde de 30m ???

partir seul la haut
c'est pas du solo, mais du parasitage de cordée
c'est du j'men foutisme*
*"j'm en fous les autres vont me sortir de là..."

La seule chose que je comprend, c'est qu'avant
le lien de la cordée était fort, maintenant on part avec des inconnus rencontrés sur C2C & skitour
...et demain on voudrait partir avec les inconnus rencontrés au refuge ou au sommet....

J'adhère pas du tout du tout.


» Emmanuel PLOMB, le 18.03.11
Salut à tous,
Loin de moi l'idée d'imposer quoi de ce soit à qui que se soit mais ... Juste une anecdote à propos de solo au mont blanc ...
En mai 2009 je crois, alors que je montais la pente sommitale coté mont maudit, j'ai suivi du regard un gars qui descendait vers les petits rochers rouges direction la fac nord ... Seul.
En haut de la face, il a pris en longitudinal une énorme crevasse et ... Plouf !
Difficile de savoir s'il aurait été sauvé par quelqu'un autre mais le fait est que j'ai été le seul à le voir, et que la météo changeant rapidement, peu de personnes passeraient par la face. Ameutant alentour, un guide est descendu poser un moufflage pendant qu'un autre guide appelait l'hélico.
Je n'ai jamais su ce qu'il était devenu ...
Bref, avec ses centaines de personnes

» Emmanuel PLOMB, le 18.03.11
.... Le mont blanc peut apporter un faux sentiment de sécurité

» mick38, le 26.03.11
Ben oui tout est dans le titre, il ne faut pas le faire.

» fifdule2, le 30.03.11
Moi je ne pars jamais seul: j'ai un copain formidable, qui arrete les avalanches, bouche les crevasses, bloque les pierres en plein vol, stoppe mes glissades....
Plus sérieusement:
-le nombre de participants à une course en ski de randonnée n'en diminue pas les risques, y compris objectifs, c'est meme plutot le contraire en général. Voir votre petit munter
-il faut clairement distinguer:1) les risques encourus (passer sous une avalanche, y compris a plusieurs) , 2)les consequences qui peuvent en decouler (compter sur ses potes pour t'en degager vivant en moins de 15'), et 3)la decision d'assumer le tout seul ou a plusieurs.
Pour ma part, au niveau des risques encourus, je pense plutot irresponsable d'accepter de faire certaines courses ou de prendre certaines decisions à deux alors qu'on refuserait d'en assumer les risques seul.
Au niveau de la gestion des consequences, (qu'est ce qu'on fait quand on est deux blessés dans la crevasse?) c'est encore un autre debat.Vaut mieux des fois etre seul que mal accompagné, meme en montagne.
Deux skieurs pas au niveau dans du 40°, ça n'a jamais augmenté le niveau de l'ensemble.
La course doit etre choisie en fonction des risques qu'on essaie d'évaluer et que l'on décide d'assumer, et en fonction du niveau du plus faible, et pas du plus fort....

» Vince, le 02.01.12
Juste une question naïve et à retardement : Je ne comprends pas à quoi peut bien te servir une poulie mini-traxion en solo. Tu veux remonter sur quelle corde ? A moins que tu comptes sur la corde de skieurs providentiels qui t'auraient vu tomber dans un trou. T'es pas obligé de répondre, c'est juste une question comme ça.

» mick38, le 02.01.12
Réponse à Vince. Même si je pars seul je prend toujours pelle, sonde, DVA. pour sortir un autre randonneur. Sur glacier c'est pareil. Et puis je comptais bien faire équipe avec un autre solo, mais j'étais le seul, les solos partent avec la 1° benne du matin. De toute façon seul tu tombe en crevasse et tu y reste.

» wild, le 09.01.12
Quand a eu lieu cette course stp?

» wild, le 09.01.12
Quand a eu lieu cette course stp?

» Philippe Bocquet, le 12.01.12
www.skitour.fr/sorties/mont-blanc,28941.html
pour Wild

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