Bonjour mes chers skieurs de l'éxtrème, voilà je pose cette question qui va vous parraitre un peu bete, moi j'adore regarde le Ski Extreme (pas en faire j'ai trop peur mais sa me fascine)
Et je regarde beaucoup de video de Marco Siffredi par exemple, et à un moment il dit en gros hein "Le FreeRide c'est de la merde le plus dure c'est le Ski de Haute Montagne"
Et quand il à dit sa il ma complétement emeller les pinceaux alors le Ski de Haute Montagne je vois se que c'est je suis pas deumeré mais alors qu'elle et la différence entre sa Ski Extreme et Free Ride ? 😯
Merci de vos réponses
C'est tout pareil, mais Rocco Siffredi est équipé d' un bien meilleur matériel.
Pas de quoi!
Comme le dit Mic, Rocco est un fort grimpeur, tres fort meme, il grimpe sur tout ce qui bouge. Ensuite tout est affaire de glisse.....
Disons que le ski extrème concerne essentiellement l'alpinisme, la forte pente, le non droit à l'erreur.
Le ski haute montagne s'apparente plus à la randonnée, accumulation de dénivelé positif.
Et le freeride est moins élitiste. Pour moi c'est le plaisir d'aller poser sa trace là où personne est encore passé.
Quand à Marco, sa passion c'était la pente, l'altitude, mais c'était avant tout un excellent freerider.
Non je pense que c'est plus simple Seb (les 2 autres boulets vous sortez 😉 ).
Si Dav parle bien de la vidéo des Nuits de la Glisse où l'on voit feu Marco dans son atelier pisser joyeusement sur les freeriders avec la verve qui le caractérisait, il y fait référence à un truc précis : la coupe du monde de freeride.
C'est à dire une face repérée par des guides, pas censée présenter de risques objectifs. Pour lui ce n'était pas de l'extrême, pas au sens où lui le pratiquait dans la mesure où il était possible de se la coller de haut en bas et de survivre (en freeride).
C'est sûr qu'un truc comme le Nant Blanc n'entre pas dans cette catégorie. 😮
Après chacun a sa propre définition du freeride, de l'extrême, du ski de montagne, de la pente raide ... ce ne sont que des mots, y a pas de dico.
MDR !
C'est vrai qu'il à pas de bol avec sont putain de nom
Voilà c'est exactement cette vidéo dont je parle il est sur dans sont atelier entrain de faire je sais pas quoi et il parle de sa.
Bon merci 🙂
Je comprend pourquoi il dit que le freeride c'est de la merde
Dav a dit :il parle de sa.
De sa quoi ?
En haute-Savoie, y en a qui font de l'extrème sur des talus alors que le freeride se pratique uniquement sur des collines (cf king of the hill de M Siffredi) et le ski de haute-montagne en montagne > 3000 m.
Au final, la différence est uniquement l'altitude !!!
Moi ce que je trouve extrême c'est de poster une réponse sur un troll pareil...
C'est du flood ni plus ni moins, mais j'y participe volontiers, car c'est toujours un plaisir ici 😄
Le Freestyler, il est fun dans sa tête, fun dans sa vie. Avec sa combi rose et fushia et sa casquette de rap des quartiers riches il a le don de trouver les bons spots qu'il rejoint en hélico avec ses copains fun1 et fun2. Fun1 et fun2 sont un forcément débiles ce qui permet à l'autre de passer pour normal. Ensemble ils vont tourner un film de 4 M de dollars en Alaska. "I just wanted something authentic". Et donc, ils vont tourner une film bourré d'authenticités, un retour aux choses vraies, en Alaska avec hélicos Red Bull. Pour tuer le temps en restant fun, ils coupent des arbres au fusil à pompe, tirent sur un reservoir d'essence avec un fusil sniper et autres funneries forcément authentiques puisqu'en Alaska. Ca y est, il fait beau, on va tourner le film fun, déposes en hélico, caméras, de belles pentes bien raides, 2 ou 3 descentes dans un poudreuse de rêve, quelques saltos inversés, on ajoute de belles images d'un ours qu'on fait fuir avec l'hélico. Bon, ça suffit, il est temps de rentrer. "The Art of Flight".
Puis d'un autre côté, on a le randonneur. Un peu bourru, un peu revêche, un peu écolo, il se tire de chez lui pour pas rester avec bobonne et aime autant la montée qui le plonge dans des pensées profondes que la descente où il ne pense plus qu'à faire une belle trace. Il relie son Camel Back à sa bouteille de pinard et prend du sauciflard en espérant que son pote a pensé au pain. Une vieille carte dans la poche, illisible, il se rappelle vaguement le parking du départ, c'était sur Skitour. Tout est encore brumeux ce matin. 1200m de dénivellation, c'est bien. Où est l'Arva? Qui a pris l'Arva? Fait chier. Il fera sans, il assume, plus le temps, faut partir. Il fait glacial, le jour n'est pas encore levé. Son pote l'attend comme d'hab. Il est toujours à l'heure lui. 10 ans qu'ils montent et descendent, des raids, des rando, de l'escalade et du vieux matos. Ils sont aussi fiers de leur vieux matos usé que de leurs petits exploits. Des histoires, du danger, des gros risques, des fatigues, des blessures, des repas dans les refuges, des rires, du vin et des regards qui pétillent bref des histoires pas fun qui n'intéressent personne et certainement pas la télé ou Red Bull.
Voilà sans aucune exagération, ni stéréotypes, la différence entre les mondes Freeriders et Radonneux.
aha c'est bon ça mais quid de l'extremiste alors?