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Intéressant!
Pour ma part le "test du bâton" n'a rien à voir avec un test: c'est une prise d'information en profondeur sur quelques centimètres carrés...
Pour ce qui est des couches dures, il ne faut pas oublier Colbeck:
il y a quelques années, un de mes clients a déclenclé un champ de bosses damé, en bordure de balisage dans les Jeurs (le Tour Chamonix), taille de la plaque un demi terrain de foot par 180 cm d'épaisseur...
A la base une croûte de regel épaisse de 2 à 3 centimètres béton! dessous une pellicule de givre à peine perceptible, il fallait enlever ses gants pour sentir cette couche (comme une couche de poussière sur un meuble) sous cette couche du grain fin.
Après la formation de cette croûte de regel sur un manteau peu épais, un givrage par gradient de température a formé cette fine couche sous la croûte.
Vérification faite avec les pisteurs, la dite couche ne figurai sur aucun sondage de battage ou profil stratigraphique: indécelable.
La morale de cette histoire ( à titre personnel): il est relativement "simple de voir ce qu'il y a sur une couche dure mais il est bougrement important de se poser de sérieuses questions sur ce qu'il y a en dessous....
Colbeck est le nom du nivolgue qui a mis en évidence ces phénomènes de givrages sous croûte de regel.
Bon ski 😉
Rémy Lécluse
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