Départ : Aillon station (les Ginets) (980 m)
Topo associé : Mont Morbié, Par Aillon station (Les Ginets)
Sommet associé : Mont Morbié (1542 m)
Orientation : NW
Dénivelé : 1465 m.
Ski : 1.3
Sortie du dimanche 22 février 2015
Conditions nivologiques, accès & météo
BrunEtat de la route :
blanche
Altitude du parking :
chartreuse d'Aillonsous le col de la Cochette: 25 cm de poudre soufflée sur fond dur, bof
forêt: poudre très sympa
Altitude de chaussage (montée) : 1010
Altitude de déchaussage (descente) : 980
Activité avalancheuse observée : vielle coulées de reptation dans le ravin des Griots, anticlinaux, plis couchés, pli-failles et crevasses
Skiabilité : 🙂 Bonne
Compte rendu
Avec Barbara, Raph, karinette, françois, Arnaud, damien, Pascal et Nico le cycle
col de la Cochette depuis Aillons, Morbié par les Ginet et Ravin des Griots
Un Colombin? oui, et celui ci est de moi (cf paragraphe dédié au ravin des Griots)
Le Morlombier? c'est la réunion d'un demi Colombier et du Morbié, car comme on n'y voyait goutte, il convenait de rester en forêt.
Arrivés au col de la Cochette, déterminés à faire la face N du Colombier et autres gourmandises, le groupe se trouve soudainement moins motivé: y'a du vent et on n'y voit rien, on est là pour skier et pas pour se faire violence.
Demi-tour et avec Pascal, on en profite pour aller visiter un thalweg boisé qui sera une bonne pioche pour éviter toute ces pistes insipides...
Arrivés à la Chartreuse, Pascalou nous lache (lâche?) pour terminer sa journée à la Galoppe. il est comme ça, Pascal... mais même pas ses oreilles ont sifflé.
On remonte par les Ginets et au Sommet, j'ai l'idée du siècle: "et si on descendait le ravin des Griots, j'ai vu ça sur un toponeige (6.2) ça a l'air bien!"
Comme tout le monde n'est pas pour, je vends le truc comme la face intime du Morbié que personne ne connait, la perle des Bauges.
Et bien non, c'est une bouse, ou plutôt, un véritable étron. En plus, y'a des reptations sur la face E, monstrueuses.... La remontée est des plus scabreuse, je n'ai pas osé leur dire qu'on devait descendre jusqu'à la cote 1000 et rejoindre la VN par 1km de plat dans une splendide forêt baujue...
Bref, les Bauges comme on les aime!
Promis les copains, je ne proposerai plus de variantes à la con cette saison! (les promesses n'engagent que ceux qui y croient)
Ouf, pendant ce temps, Pascal n'aura vu que du Brouillard à la Gallopaz, alors qu'il aurait pu découvrir une superbe ravine...