Topos associés - Tête du Lauzarot
- Tête du Lauzarot, par le Vallon des Muandes (D+ 1300m / Ski 3.1)
Valable jusqu'au 07.06 en soirée
Au-dessus de 2800m risque faible évoluant en risque limité, plus bas risque faible.
Risque Accidentel : départs ponctuels en neige humide
Risque Naturel : départs ponctuels en neige humide surtout au-dessus de 2800m
Résumé : Départs spontanés : départs ponctuels en neige humide surtout au-dessus de 2800m Déclenchements skieurs : départs ponctuels en neige humide
Stabilité : NEIGE DE PRINTEMPS. MANTEAU PLUS INSTABLE EN TRÈS HAUTE ALTITUDE - DERNIER BERA DE LA SAISON, REPRISE DÉBUT NOVEMBRE DEPARTS SPONTANES : - peu probables au levé du jour, puis des départs superficiels en neige humide se produisent rapidement au fil de l'ensoleillement. Possibles en toutes orientations, ces départs sont généralement de taille petite à moyenne. En versant nord au dessus de 2800m, un départ linéaire de plus grande taille est possible localement, notamment au passage d'un averse, générant alors une avalanches pouvant être de grande taille. - risque de déstabilisation d’une épaisse corniche ou d'une reptation encore en place en haute altitude avec la douceur marquée, générant des avalanches de taille moyenne, rarement grandes. DECLENCHEMENTS PROVOQUES : - un skieur évoluant tardivement en pente raide peut provoquer sous les skis un départ de neige pourrie / humidifiée en profondeur. "ceci est le dernier bulletin de la saison, rendez-vous début novembre. Pour les conditions en montagne pendant l'été, consultez les bulletins de prévision Montagne du département : 08 99 71 02 05.
Qualité : Enneigement excédentaire pour un début juin, très excédentaire à haute altitude. Ce jeudi 6 juin, on relève encore 47 cm à la nivôse d'Orcières à 2280 m. Limites skiables à partir de 2200/2500 m selon les orientations, localement un peu plus bas en versant peu ensoleillé du cœur de massif. Qualité de la neige : manteau neigeux très dense et printanier. Après un regel moyen à mauvais, reprise rapide de l'humidification. Les crêtes de très haute altitude sont encore souvent occupées par des corniches, parfois volumineuses.