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L'an passé avec Lolo, on a un créneau pour filer à la NNE, aux courtes. On compte sur les orages de la veilles pour un peu de poudre.
La réunion au taf à Grenoble s'éternise, on ne peut décoller que trop tard. On s'en cogne, ça fera bien.
On arrivera de nuit, vers 22h au refuge d'hiver : bondé.
"putaing les gars vous faites chier, c'est pas une heure pour arriver, merde" 😮 😮 Ambiance.
On taxe comme des voleurs une couverture chacun aux personnes qui sont dans le dortoir et qui en ont 3 sur elles : on se fait démonter, mais c'est le jeu.
On dort sur la dalle dans la cuisine par tranche de 2minutes, on se caille la mort, on se pète le dos, et dès que l'un de nous fait un geste, on se prend l'éclairage dans la gueule. Tout est archi béton le matin, on arrive au lever du jour à la rimaye, pas de poudre. Le haut n'a pas l'air engageant non plus, et la rimaye merdique. 6h30 on signe le but, on se fait exploser les molaires sur le carrelage à la descente jusqu'aux Grands, et on porte jusqu'en bas. La mis'.
On décide de prendre l'autoroute pour rentrer, on loupe la sortie, on se retrouve à Genève, et on perd 30min mini, et 20 boules aussi mini, Génius.
10h30 on est au taf, la gueule à l'envers.
😊
On dirait un titre de notification débile avec un début de phrase à sens multiple qui laisse planer le mystère sur le sujet véritable de l'article. On pense que le post est lié à la mort puisque le titre parle de mourir. Ce sujet grave interesse tout le monde. Concrètement, quelle désillusion. Au final, ça ne vaut pas mieux qu'une notification débile. Une nouvelle forme de pollution qu'il faudrait éradiquer pour sauver la planète. 😠
Ben ouais, j'ai les boules parce qu'il fait beau et que je ne suis pas au ski... 😡 😄
Aller j’en mets une que j’aime bien raconter aux snowboarders.
Il y a bien longtemps, quand il y avait un télésiège sur l’Olympique Homme à Chamrousse, je me suis fais une sortie nocturne avec ma chienne. On a remonté la piste et arrivé au sommet, je me suis calé sur un siège du télésiège; le snow ayant été posé sous le siège, semelle face à la neige, légèrement calé pour ne pas glisser. Je me suis dit, « tiens, ce n’est pas l’idéal, il ne serait pas bon qu’il glisse ». Nonobstant cet élan de lucidité, je me contentais de regarder les lumières de la ville et de déguster mon thé. Après tout, dans ce calme, qu’est ce qui pourrait bouger ma board… Le repos commença à durer et la chienne me regarda avec insistance. Que voulait-elle me dire ? j’ai froid ? J’ai envie d’aller jouer ? Pour me faire pardonner de cette attente et prolonger de quelques instants le spectacle des lumières de la ville qui s’offrait à mes yeux, je lui ai dit de monter sur le siège : elle pris son élan, sauta, monta trois pattes, mais le balancier qu’elle inculqua au siège la fit zipper… sur ma planche…qui partit droit dans l’abime…
Il était peut être 21h. Je me mis à chercher ma planche dans les barres, je cherchais, je cherchais… en vain.
Retour à pied à la voiture : il était pas loin de minuit.
…
Pour la board, j’ai appelé le lendemain le service des pistes. Un pisteur l’avait trouvée dans des filets sous les barres où j’avais cherché. Je l’ai grandement remercié et lui ai laissé un beau billet.
Bonsoir
texto a dit :
Un de mes fils tête en l'air part en vélo voir ses potes. Je lui dis de mettre son casque. Il le met et il part . Au bout de 500m il se rend compte qu'il a oublié de prendre son vélo ...
J'en rigole encore (il a hérité des gènes du papa ??? 😄 ) je rigole ; moi le fiston il joue à la game boy j'aimerai bien qu'il oubli son vélo ou ses skis (cela voudrait dire qu'il fait du sport peut etre à 25 ans cela revient le sport ??)
Blague à part quand on découpe des peaux de phoques achetées aux mètres il est facile de de les découper à l'envers... Forcement ça marche moins bien.
C'est vrai quand on voit les skis et chaussures de locations ils ont bien du mérite vu le poids
a+
Ah j"en ai une
Il y a assez longtemps fin d'année scolaire (pas trop le moral) fin juin je monte faire un petit tour à pieds à la croix de chamrousse (le téléphérique fonctionnait)
A arrivée au sommet du brouillard je casse la croûte protégé du vent contre une cabane de remontée, petite sieste : plus zic) dans le brouillard (je n'étais pas seul il y avait des gens j'entendais des cris).
Au bout d’environ une heure une famille émerge du brouillard toute excitée en me criant dessus car cela faisait une heure qu’ils étaient perdus dans le brouillard et qu’ils criaient. Ils ne savaient pas comment retourner au téléphérique (qui n’était à moins de 30m 🤨 ). Ils avaient eu peur car plusieurs fois dans le brouillard ils étaient arrivées sur des falaises (falaise de la via ferrata ou au dessus de casserousse)
Bilan quand on est perdu il faut crier ‘’à l’aide ou au secours’’ pas faire que du bruit
a+
Yoann a dit :On dit que les c.... ça osent tout, et que c'est même à ça qu'on les reconnaît.... Et bien toi tu as osé ..... Tu aurais tellement mieux fait de prendre le temps de lui expliquer comment se servir de ses skis plutôt que d'écrire ce texte qui te ferait mourir de honte....
ça y est, on met un petit texte et on se fait traiter de con...
Pour les donneurs de leçon, j'aurai effectivement eu honte si, après que je lui eusse appris le fonctionnement de ses skis, mon gaillard s'était tué dans une coulée en face nord ou une glissade au dessus des barres sur la neige gelée. 2 options possibles ce jour là.
Grâce à moi il n'a pas pu aller se faire mal bien loin. Se former avant d'aller en montagne est un devoir.
Et un des grands principes en montagne est d'aider les autres à descendre, jamais à monter.
frankycham a dit :Pour l'histoire de la crevasse ce que j'en sais elle est un peu différente, effectivement lors d'un secours sur une personne tombée dans une crevasse de la vallée blanche
Un secouriste descendu à eu la surprise de trouver une autre personne qui n'avait pas été détectée au moment de sa chute ,si on y réfléchit bien rien d'étonnant il n'est pas rare sur un week-end chargé que les secours interviennent plusieurs fois sur une même crevasse (soit parcequ'elle est vicieuse ,ou quand des traces y mène)
Oui, ça doit être ça effectivement plutôt que ma version!
thomas a dit :Une petite heure après être parti, le seehorn est dans la lumière du matin, magnifique. Je cherche un bon angle de vu, je soigne mon cadrage, je règle tout, je déclenche et rien ne se passe. Je regarde l'écran: «carte SD absente»... solitude...
Classique! Je pense que ça m'est arrivé déjà au moins 2 ou 3 fois 😯
Classique! Je pense que ça m'est arrivé déjà au moins 2 ou 3 fois 😯
Hier j'ai carrément oublié l'appareil... 🙄
Lui, son fils, il a failli mourir, vraiment!
www.youtube.com/watch?v=xYb0IxK9dXE
Ca me rappelle ma deuxième sortie de ski de rando.
Seul (à ne pas faire) avec le matos prêté par un copain sans explications.
J'avais compris le détachement de talon des Diamir, par contre il y avait des couteaux bizarres qui se rabattaient sur le dessus des skis avec un système d'attaches en plastique, pr les garder sur le ski même lorsqu'on ne les utilise pas (jamais revu cela depuis, ni même bien compris l'intérêt). Je les avais mis pour me rassurer sur un passage vaguement exposé, mais n'avais pas réussi à les enlever par la suite, dans de la neige de plus en plus molle. Petit bide au refuge pour demander au gardien de m'aider à les enlever avant la descente (alors que ça discutait chaussure carbone et régime au riz sec pour préparer la PDG 🤭 Avec ça l'assistance n'a pas été moqueuse et la sortie a largement contribué à attraper le virus, avec en prime un surcroît de mise en condition physique généré par la traîne des couteaux dans la neige molle...
L'année dernière, première sortie de la saison.
Je fais quasi l'intégralité de la montée du Grand Arc avec les couteaux car la neige était dure.
J'arrive sur l'épaule sous le sommet où je laisse mes skis pour finir de monter au sommet à pied.
Au moment de chausser pour attaquer la descente, je chausse le premier pied et va pour mettre le deuxième quand le premier déchausse ( mal clipé et pas de leash). Avec la neige dure il est parti d'un coup en prenant une vitesse incroyable.
J'ai crié " attention" et surtout prié qu'il ne fauche personne sur son passage. Résultat:je réussi tout de même à le retrouver 400 voir 500 de D+ plus bas dans le lit d'un petit ruisseau.
bens a dit :- le gars qui inverse l'avant/arrière de ses peaux et remonte pendant une demi-heure la route du col Agnel sans comprendre pourquoi ça glisse si mal vers avant et si bien vers arrière...
top celle-là 😄
telemaque a dit :Et un des grands principes en montagne est d'aider les autres à descendre, jamais à monter.
heureusement que les guides ont d'autres principes, sans quoi ils seraient au chômage
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