Prendre la bonne décision !

Comette a dit :Ne faut-il pas au moins la combinaison de deux paramètres
Non : on a vu des accidents d'avalanche très graves avec la pente comme seul signe évident de danger. La couche fragile était bien là, mais pas facilement détectable. 🤭

Comette a dit :Des cas concrets pourraient peut-être aider à la compréhension et à l'utilisation
C'est ce que tu peux trouver ici :
prezi.com/pdji58daggfl/trame-formation-gestion-de-risque-2018-partage-ensa/
Il s'agit du support de cours que j'ai fait pour l'ENSA (formation des guides et des moniteurs de ski). En bas à droite, il y a 4 cas bien réels que je propose d'analyser sur la base des 4 modes de vigilance et des 6 paramètres.

Alain Duclos a dit :prezi.com/pdji58daggfl/trame-formation-gestion-de-risque-2018-partage-ensa/Il s'agit du support de cours que j'ai fait pour l'ENSA (formation des guides et des moniteurs de ski). En bas à droite, il y a 4 cas bien réels que je propose d'analyser sur la base des 4 modes de vigilance et des 6 paramètres
Il est super ce lien, très instructif ! (j'aurais aimé qu'il y ait plus de détails à propos des "types de neige / gradient" car cela aiderait bien pour mieux lire la neige sur le terrain (en coupe ou en surface), mais bon c'est déjà très bien).
par contre, je n'ai pas trouvé "en bas à droite" les 4 cas analysés. Si tu peux préciser comment faire ? 🤭

edit : ah oui, la molette en plus des clics… 🤭 🤭 cela marche, merci ! 🙂

jpc a dit :j'aurais aimé qu'il y ait plus de zoom
Mais... il suffi de cliquer dessus 😯
Et tu cliques ailleurs pour dé-zoomer, ou sur l'icône de la maison sur la droite de l'écran. Tu dois aussi pouvoir utiliser la molette de ta souris.
Et comme ça, tu devrais accéder à ce dont tu as besoin, y compris les 4 cas concrets (et en zoomant sur les lignes des paramètres, tu trouves encore des informations 😉).

Alain Duclos a dit :jpc a dit :j'aurais aimé qu'il y ait plus de zoom
Mais... il suffi de cliquer dessus 😯


Aaah, les présentations en prezi 🙄
N'empêche, ça a l'air chouette 😊

Alain Duclos a dit :Comette a dit :Ne faut-il pas au moins la combinaison de deux paramètres
Non : on a vu des accidents d'avalanche très graves avec la pente comme seul signe évident de danger. La couche fragile était bien là, mais pas facilement détectable. 🤭

Comette a dit :Des cas concrets pourraient peut-être aider à la compréhension et à l'utilisation
C'est ce que tu peux trouver ici :
prezi.com/pdji58daggfl/trame-formation-gestion-de-risque-2018-partage-ensa/
Il s'agit du support de cours que j'ai fait pour l'ENSA (formation des guides et des moniteurs de ski). En bas à droite, il y a 4 cas bien réels que je propose d'analyser sur la base des 4 modes de vigilance et des 6 paramètres.
Merci pour les infos et la présentation !
De quelle combe s'agit-il pour la toute dernière "diapo" ?

jpc a dit :je n'ai pas trouvé "en bas à droite" les 4 cas analysés. Si tu peux préciser
Voir les 3 dernières diapos où un seul cas est analysé, mais tu peux zoomer sur les 3 autres cas.

merci Alain pour ces diapos.
Nous avions testé ces modes de vigilance dans une sortie en stage ffcam en février dernier et avions apprécié la démarche induite. Sans toutes ces explications il avait fallut qq discussions pour que chacun interprète correctement (donc je comprends les remarques un peu froides de certains !), mais c'est justement ce qui avait amené à des questionnements intéressants (sans aboutir tous au même résultat pour certains endroits donnés).

thomasb a dit :De quelle combe s'agit-il pour la toute dernière "diapo" ?
Hum...
Les Lanchettes aux Arcs 🤭

Alain Duclos a dit :senhal a dit :Par exemple si quelqu'un part seul aujourd'hui (pour dire avant qu'il ne reneige) pour faire un couloir versant nord pente à 45
Sympa 🙂
- Alors si le mec est seul, déjà, je cocherais la case 2 sur la ligne 1 (faut se méfier de toutes façons)
- juste parce que c'est une pente à 45° (et je suppose qu'il y a de la neige), sauf certitude contraire, je cocherais aussi case 3 ligne 2 (l'avalanche est possible, même si éventuellement très improbable). Il doit alors se poser la question de la possibilité de limiter le risque. Et là, c'est simple :
-soit il peut (oui). Il y a là une question d'appréciation personnelle, mais sa décision est raisonnable.
- soit il peut pas (non). Ben c'est clair : en cas d'imprévu, ça peut tourner très mal. Il peut y aller si il veux, mais juste en sachant clairement qu'il y a un côté hasardeux.

C'est aussi simple que ça 😉

Non, avant de cocher quoi que ce soit, la première observation à faire est de ne pas partir seul 🙂