Départ : Le Villard (Saint Jean Belleville) (1369 m)
Topo associé : Le Cheval Noir, Trois sommets en traversée
Sommet associé : Le Cheval Noir (2832 m)
Orientation : T
Dénivelé : 1280 m.
Ski : 3.3
Sortie du dimanche 10 février 2013
Conditions nivologiques, accès & météo
Clair et glacial (-13°c) en début de matinée, puis progressivement, couverture nuageuse de plus en plus dense avec un plafond qui s'abaisse rapidement en début d'après-midi.
Fortes rafales de S-O aux abords du sommet.Etat de la route :
Enneigée, verglacée au delà de St Jean de Belleville
Altitude du parking :
1369 mDe la poudre légère sur quasiment tout l'itinéraire à l'exception du final sur l'arête Est (souflé) et de la traverséee en pente Sud au dessus de plan de Lombardie (un peu de croûte et neige plus ferme sur les pente balayées par d'anciennes avalanches).
De grosses cassures à franchir dans les pentes Est raides sous Plan d'Aygue (il est préférable de descendre avant Plan D'Aygue)
Altitude de chaussage (montée) : 1369 m
Altitude de déchaussage (descente) : 1369 m
Activité avalancheuse observée : aucun départ observé ce jour, mais de nombreuses cassures, reptations et anciennes avalanches sont visibles principalement dans les pentes Est et Sud.
Skiabilité : 🙂 Bonne
Compte rendu (par veloski)
Pointe de la grande Combe montée par l'arête Est et descente par la face Nord
Encore une rando à l'image des précédentes : départ sous un ciel parfaitement limpide avec un franc soleil, puis progressivement couverture nuageuse jusqu'à terminer sous un ciel complètement bouché. Notre projet initial qui était de réaliser en traversée les sommets de Plan Contaz, Grande Combe et Merbellay voir plus ... a tourné court avec l'arrivée du mauvais temps. C'est sous de fortes rafales de vent et avant une perte totale de visibilité que nous avons stoppé à quelques longueurs sous le sommet, avant d'enchainer rapidement avec du très bon ski cependant, dans la descente du versant Nord.
Malgré tout, une rando bien sympathique, en bonne compagnie et dans la bonne humeur et comme toujours, le plaisir de tracer dans des espaces vierges.