Chapotet, versant NW

Sortie du dimanche 15 janvier 2012

bruno_G

Conditions nivologiques, accès & météo

Grand beau
Etat de la route : Dégagée Altitude du parking : 900m
Quelques passages déneigés sur le chemin en partie basse. Plus de problèmes à partir de 1000m environ. La forêt est assez déneigée par contre, mais passe bien sous les chalets de Verneil. Les pentes au dessus des chalets sont croûtées sauf si on va chercher sous la pointe de Ramavoula en orientation E où on récupère une moquette à poils longs. L'épaule finale est en neige dure mais pas si mal à skier.

Altitude de chaussage (montée) : 900m
Altitude de déchaussage (descente) : 1000m

Activité avalancheuse observée : RAS

Skiabilité : en essayant de respecter l'échelle donnée, je mettrai 2/3 pour la qualité, et +1 pour la quantité car on n'a pas peur pour ces skis. Donc 3.

Skiabilité : 😐 Correcte

Compte rendu

Avec Laurie

Départ tardif suite à une soirée la veille : on décolle à 10h15 de la voiture. Bien sûr, on n'a pas pris la carte donc on y va au nez et en suivant les traces (c'est pas si facile de distinguer celles de montée de celles de descente sur un chemin...). On loupe le chemin NE après les deux épingles qui suivent le torrent de Serraz, puis le suivant (qu'on ne "sent pas"), et on finit par prendre celui qui passe au point côté 1400m. Miracle, il débouche sur les chalets de Verneil. Là, on croise deux randonneurs qui descendent après s'être fourvoyés comme nous. C'est à ce moment et grâce à eux qu'on découvre qu'on est bien sur le bon chemin (on plaçait Chapotet vers le sommet du Grand Chat...). La fin sera donc la bonne surprise puisqu'on ne pensait pas arriver au sommet prévu ! Bien sûr avec un départ tard, un fourvoyage d'itinéraire puis peu d'empressement car on pensait de toute façon avoir raté ce qu'on voulait faire, la fin se fera en vérifiant la montre pour ne pas se faire surprendre par la nuit. On attaque la descente sans savoir ce que nous réservera la descente sous les chalets de Verneil (on compte descendre juste à droite comme prévu) et finalement la grande surprise est que ça passe tout seul. Retour à la voiture avec presque une heure d'avance sur la nuit, facile !

Conclusion de tout ça : on peut bien partir tard, sans connaître l'itinéraire et avec comme seule aide un Toponeige sans carte, on s'en sort parfaitement avec un poil de chance... Pas très moral tout ça !

[Photos : peut-être que j'en mettrai si je les récupère, mais c'est peu probable]

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