Départ : Le Replat (1000 m)
Topo associé : Grand Miceau, Couloir Sud
Sommet associé : Grand Miceau (2660 m)
Orientation : S
Dénivelé : 1370 m.
Ski : 3.3
Sortie du samedi 5 mars 2011
Conditions nivologiques, accès & météo
Grand beau avec quelques voiles d'altitude passagers. Journée chaude.Etat de la route :
Bon, fin de la route forestière encore enneigée, pneux neige nécessaires
Altitude du parking : ?
Altitude de chaussage (montée) : ? Bout du chemin forestier Altitude de déchaussage (descente) : 2590
Activité avalancheuse observée : Pentes raides bien chauffées, quelques départs de la récente couche tombée, coulées lourdes provoquées par notre passage ( trop tardif )
Lieu | Alt. | Ori. | Heure | Qté. | Type | Com. |
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Ensemble de la descente | Toutes | SE | 14h | 20 cm de neige lourde | Transfo lourde | Lourde, skiable selon niveau de ski |
Skiabilité : 😐 Correcte
Compte rendu
Avec Damien, Elie, Guillaume, Stéphanie
Longue course avec des pentes qui commencent à être raides.
Trace à demi faite, nous avons du la faire dans le couloir.
La fin du couloir se resserre, la pente augmente, les conversions deviennent difficiles, choix de terminer à pied ou en ski, chacun d'entre nous à choisi sa solution. Epuisant à pied dans la neige qui enfonce, flippant en ski dans les conversions.
"Atteindre facilement l'arête sommitale" : pas si facile ! Fonction de la consistance de la neige. Nous avons préféré prendre l'arête rocheuse, plutot que d'enfoncer à mi-cuisse. Seul 1 d'entre nous a monté ses skis au sommet. Il a réussi a le quitter directement à ski, mais je ne l'aurai pas fait vu le contournement qu'il faut faire pour revenir au couloir sud.
Beau sommet assez effilé, fait plus conditions Alpi que ski de rando, superbe.
Mauvaise sortie d'autoroute, route chargée, retard à l'allumage, nous avons clairement commencé cette course trop tard, compte tenu d'une journée qui s'annonçait chaude. A la descente départ d'un belle coulée de neige humidifiée, provoquée par l'ouvreur. Sous la neige humide récente, l'ancienne neige dure était très palpable. Un virage sur une bosse un peu plus raide, et cela partait sur quelques mêtres. Le degré d'inclinaison de déclenchement aurait été interessant à savoir. Pas de peur, nous étions dans des départs progressifs assez lents, pas de crosse cassure soudaine du manteau neigeux, mais cela remet les pendules à l'heure sur les horaires à respecter.
Pouvoir continuer la route forestière jusqu'au bout comme nous l'avons fait, réduit l'approche de manière significative.
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