Départ : L'Enclus (téléphérique du Pic de Bure) (1485 m)
Topo associé : Tête de Sommarel (Plateau de Bure), par le Vallon devant Baume Noire
Sommet associé : Tête de Sommarel (Plateau de Bure) (2600 m)
Orientation : E
Dénivelé : 840 m.
Ski : 4.1
Sortie du vendredi 26 février 2021
Conditions nivologiques, accès & météo
Grand beau un peu voiléEtat de la route :
Altitude du parking :
Altitude de chaussage (montée) : 1470
Altitude de déchaussage (descente) : 2315
Activité avalancheuse observée :
Lieu | Alt. | Ori. | Heure | Qté. | Type | Com. |
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Parking | 1470 | SE | 0900 | 40 | Gelée | Regel Nocturne |
Corne | 2315 | N | 10:45 | 100? | Damée | Gelée hors la trace de damage |
Skiabilité : 🙂 Bonne
Compte rendu
Superdevoluy (Parking du TSD Pelourenq) pistes jusqu'en haut du TSD Sommarel
En ces temps de fonte impressionnante en Ubac (1700m au bas mot), et de regel/croute/neige trafolée voire pire (raquettes et piétons), bref d'une détérioration importante des conditions de neige au Devoluy, sans doute ailleurs, à l'heure aussi où on est indulgent et on note *** ce qui devrait être **, je salue simplement la station du Dévoluy qui permet d'évoluer jusqu'au sommet de son domaine skiable grace à au damage d'une seule piste, mais qui permet de redescendre de haut en bas dans de bonnes et mêmes plaisantes conditions (le carving est même possible lorsque la trace est assez large). J'insiste car ce domaine est parfois décrié, pourtant magnifique, et là fermés ils ont pris une décision de que je vois pas beaucoup ailleurs (Serre-Chevalier a cessé de damer depuis ....?). Ce qui permet, pressé et seul, et pas le seul à être seul, d'évoluer en sécurité et dans un silence absolu. Les remontées au repos ne me gênent pas, elles m'ont permis d'apprendre à skier, je leur sais gré de cela, et depuis les paraboliques elles ont encore permis de changer totalement la manière de skier et de carver! Certes je préfère le sauvage, mais là, surtout seul, je suis dubitatif sur le plaisir de la descente ces jours-ci. Dernière neige le 13 février, on avait alors de la fraîche **** et on se retrouve 2 semaines plus tard avec des conditions d'un mauvais avril. Du monde, des néophytes qui prendront peut être gout à ce sport, des habitués et de nombreux chasseurs alpins.