Départ : Freydières (1130 m)
Topo associé : Grande Lance de Domène, Grande Lance et Grand Colon
Sommet associé : Grande Lance de Domène (2790 m)
Orientation : T
Dénivelé : 2040 m.
Ski : 4.1
Faune : cet itinéraire passe près de zones sensibles. Voir consignes sur fiches topo
Sortie du mercredi 21 mars 2012
Conditions nivologiques, accès & météo
Grand bleu, 1,5°C à 6h à Freydières, 18°C à 13h30.
La perturbation annoncée venant du SE y restera, tant mieux pour nous. Etat de la route : dénneigée
Altitude du parking : Freydières
Ca a vite humidifié depuis les dernières chutes. Sauf en N, où la neige a l'air excellente, mais c'est vraiment trop chargé par le vent de S-SE, et on a préféré ne pas y mettre les spatules.
Altitude de chaussage (montée) : 1150
Altitude de déchaussage (descente) : 1150 (mais nombreux déchaussages sur la route ramenant de l'entonnoir W à Freydières.
Activité avalancheuse observée : des coulées (boules surtout) en S. J'ai fait partir une petite coulée de neige lourde dans la SE de la Grande Lance.
Lieu | Alt. | Ori. | Heure | Qté. | Type | Com. |
---|---|---|---|---|---|---|
Grande Lance, montée | SW | 9h | Croutée | variable, croutée sur parfois + de 10 cm | ||
Grande Lance, descente | SE | 10h | Poudre lourde | puis se transformant dans les orientations E | ||
Grand Colon, montée | NE | 11h | Poudre lourde | ça botte | ||
Grand Colon, entonnoir W | W | 12h | Poudre lourde | variable, zones soufflées ou croutées |
Skiabilité : 😐 Correcte
Compte rendu
Avec Fabrice
Freydières > Grande Lance de Domène, descente SE > Grand Colon, entonnoir W
Créneau familial serré, Fabrice devant être à Bourgoin à 15h, créneau météo serré, la pertu arrivant a priori à 11h, tiens si on faisait 2000 D+ ?
Finalement ça passe, à la voiture 5 min en avance sur le prévisionnel.
On avait pensé à la Grande Lauzière face N, le Grand Colon couloir N : pas raisonnable à notre sens avec le vent de S, conforme aux BERA. L'entonnoir W est ici.
Belle journée, peu de monde dans les parages (compté 8 autres personnes au loin ou croisées alors qu'on descendait).